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ioan gruffudd

  • San Andreas

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    Sauver des vies, tel est le quotidien de notre pote Ray (Dwayne Johnson) et il s’apprête à vivre des heures difficiles. Tout a commencé avec un séisme qui s'est manifesté au Nevada et qui a littéralement pulvérisé le barrage Hoover et le pire reste encore à venir ! D'autres tremblements de terre plus violents vont provoquer la panique générale sur la cote Ouest ; la faille de San Andreas semble s’être rouverte. Pour Ray, la priorité sera de prendre des nouvelles de sa femme Emma (Carla Gugino) avec qui il est en instance de divorce mais il y devra également retrouver leur fille Blake (Alexandra Daddario).

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    Les films catastrophes se font un peu plus rares ces dernières années mais avec eux le grand spectacle est généralement au rendez-vous. San Andreas n'échappe pas à cette règle puisque les effets spéciaux déferlent à l'écran pour nous présenter l'Apocalypse sur Terre avec les destructions du barrage Hoover ou du Golden Gate Bridge. Dans ce genre de productions, les personnages n'ont pas vraiment l'opportunité d'exister et là aussi malgré la présence musclée de Dwayne Johnson, on ne peut que constater que la tradition est respectée. Au final aucune surprise à la vue de ce film ; on a droit à un divertissement qui ne cherche qu'à briller à travers ses images et dont on se lasse rapidement.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre quelques règles de survie.

  • Sanctum

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    Les cavernes d’Esa’Ala situé dans la jungle de la Papouasie Nouvelle-Guinée ferait rêver plus d’un spéléologue. Une fois le gouffre descendu, ce sont des dizaines de kilomètres de galeries creusées par les eaux qui sont à explorer ; un véritable paradis pour Frank McGuire (Richard Roxburgh) et son équipe. Carl Hurley (Ioan Gruffudd) finance toutes ces recherches et pour l’occasion, il a également invité sa petite-amie Victoria (Alice Parkinson) à venir explorer ces lieux où nul homme n’a encore mis les pieds. Le temps leur est cependant compté car on annonce une tempête dans la région et cette caverne pourrait donc se retrouver inondée en un rien de temps.

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    Pas besoin de se rendre sur Pandora pour admirer de beaux paysages, sur notre planète aussi il y a de belles choses à découvrir ! Produit par James Cameron fana de plongée ; Sanctum nous émerveille au cours du premier quart d’heure, on découvre la splendeur offerte par Mère nature à l’état pur. La suite du film est beaucoup moins éclatante et rejoint d’autres réalisations du même acabit que The descent ou La crypte mais avec l’aspect fantastique en moins. Un réalisme que l’on doit à l’histoire vraie vécue par Andrew Wight, proche de Cameron dont s’est inspiré le scénario de ce film qui tient plutôt bien la route.

     

    Il faut le voir pour : Garder une dent d’ours autour de votre cou, ça peut vous sauver la vie !

  • Le secret de Moonacre

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    Alors qu’elle vient d’assister aux funérailles de son père, la pauvre Maria Merryweather (Dakota Blue Richards) doit quitter sa maison pour s’installer dans la demeure de son oncle Sir Benjamin (Ioan Gruffudd). Une pénible épreuve qu’elle traverse avec le soutien de sa nounou Miss Heliotrope (Juliet Stevenson) qui est venue l’accompagner dans cette nouvelle vie. L’ambiance est assez froide entre l’oncle et la nièce aussi cette dernière se plonge dans l’ouvrage que lui a légué son père, le seul souvenir qu’il lui a laissé. Elle y découvre la légende d’une princesse, une histoire beaucoup plus proche de la réalité qu’elle ne le pense !

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    Malgré les apparitions furtives d’une licorne, d’un lion noir ou la présence d’une princesse possédant un collier aux pouvoirs magiques ; Le secret de Moonacre ne fait pas longtemps illusion. Il faut dire qu’on s’attendait à plonger dans un univers façon Le monde de Narnia et qu’on se retrouve plutôt devant un mauvais téléfilm de Walt Disney. Les enfants pourront au moins se consoler avec les personnages de Miss Heliotrope & Marmaduke Scarlet qui viennent apporter un peu d’humour potache, maigre lot de consolation. Le roman d’Elizabeth Goudge aurait du mieux fait de ne rester qu’une œuvre littéraire car au cinéma il ne fait pas le poids face aux films du même genre.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas inviter de femmes si vous voulez profiter du silence.