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robin wright

  • Everest

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    Depuis que des hommes comme Tensing Norgay ou Edmund Hillary ont escaladé jusqu’au sommet de l’Everest dans les années 1950, cela a fait de nombreux émules par la suite. Nous sommes en 1996 et de nombreuses sociétés ont vu le jour afin de proposer cette incroyable expédition à toute personne se sentant l’âme d’un aventurier. Pour conquérir l’Everest, il faut cependant une condition physique optimale car dans cet environnement hostile vous pouvez y laisser votre vie ! A la tête d’Adventure consultants, notre pote Rob Hall (Jason Clarke) prépare sa prochaine ascension et sa priorité est et restera toujours de tout faire pour ramener ses clients en vie.

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    Qui n’aurait pas envie de fait un tour sur le toit du monde ? Atteindre le sommet de l’Everest n’est pas à la portée du premier venu mais surtout cette ascension est bordée de dangers comme en témoigne cette histoire rendant hommage à Rob Hall et ses compagnons. Avec des paysages enneigés à perte de vue, quelques plans qui vous donneraient presque le vertige ; on est happé dans leur incroyable aventure et vous n'échapperez pas à quelques frissons. On regrette juste que le réalisateur Baltasar Kormákur parasite son film avec ces quelques scènes ne cherchant qu'à tirer quelques larmes aux spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous plaindre quand vous devez monter des escaliers !

  • Le congrès

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    C’est un constat flagrant ; Robin Wright est une actrice en plein déclin et Jeff (Danny Huston) qui est à la tête des studios Miramount Le lui a bien fait comprendre. Sa dernière chance serait d’accepter un contrat où elle accepterait de se faire scanner et dans le même temps de cesser complètement sa carrière de comédienne. Cette nouvelle prouesse technologique va révolutionner le cinéma ; elle permet en effet de recréer à l’écran une actrice plus vraie que nature rendant ainsi Robin Wright éternelle aux yeux des spectateurs. Cette dernière a longtemps hésité à accepter cette proposition et c’est son agent Al (Harvey Keitel) qui a fini de la convaincre mais ne risque-t-elle pas de regretter ce choix ?

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    Après s’être fait remarquer avec Valse avec Bachir, Ari Folman récidive avec Le congrès, réflexion autour de l’industrie du cinéma. Il y a d’abord une première partie assez passionnante où Robin Wright en prend quand même plein la gueule et offre, face à Keitel, une séquence pleine d’émotion puis à partir du moment où l’animation prend place, le vrai voyage commence. A partir de ce moment précis, soit vous partez dans le délire du réalisateur israélien soit vous restez cloué à votre siège en vous demandant si on n’aurait pas oublié de vous donner quelque chose à sniffer avant la séance. Probablement qu’une seconde séance ne serait pas du luxe mais cette première impression est pour le moins déroutante.

     

    Il faut le voir pour : Repérer les acteurs qui font des clins d’œil !

  • Perfect Mothers

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    Véritables potes d’enfance, Roz & Lil (Robin Wright & Naomi Watts) forment avec leur fils respectifs Tom & Ian (James Frecheville & Xavier Samuel) un quatuor qui a tissé des liens extrêmement forts. Un soir, ils franchissent une ligne dangereuse. Tom surprend sa mère avec Ian et ne tarde pas  révéler toute l’histoire à Lil qui a encore bien du mal à le croire. Contre toute-attente, un autre couple va se former mais les 2 mères décident de faire preuve de raison et veulent stopper immédiatement leurs relations or l’appel du cœur est le plus fort. Le temps passe et les 2 couples continuent de se fréquenter mais Ian doit se rendre à Sidney pendant 1 mois où il va rencontrer Mary (Jessica Tovey).

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    Pour cette adaptation du roman de Doris Lessing, c’est la française Anne Fontaine qui a hérité du projet qui ne vous laissera certainement pas indifférent. Il y a en effet un certain malaise qui s’instille dans Perfect Mothers puisque ce qui lie ces 2 mères dépasse le stade de la simple amitié et on pourrait les assimiler à des sœurs. Même si l’on ne peut pas qualifier leurs relations d’incestueuses on en est pas loin et le spectateur est donc forcément troublé par l’histoire. Naomi Watts & Robin Wright sont parfaites au point d’éclipser totalement leurs jeunes prétendants qui ont du mal à exister.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jamais ramener vos potes à la maison !

  • Le stratège

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    Le baseball fait partie de la vie de notre pote Billy Beane (Brad Pitt) et on lui prédisait un bel avenir en tant que joueur hélas il n’a jamais su confirmer les espoirs qu’on plaçait en lui. Nous sommes en 2001 et il est désormais manager de l’équipe des Athletics d’Oakland avec laquelle il a frôlé l’exploit. Une nouvelle saison démarre mais ses meilleurs éléments ont été vendus aux autres grandes équipes et il manque de financement pour son recrutement. Au cours de ses nombreux démarchages, il croise alors Peter Brand (Jonah Hill), un jeune homme qui l’intrigue puisque celui-ci dresse d’impressionnantes statistiques qui révèlent qu’il y a beaucoup de joueurs sous-estimés dans le championnat.

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    Ce n’est certainement pas le sport le plus médiatisé chez nous alors qu’Outre-Atlantique il s’agit d’une véritable institution ; il vaut donc mieux s’intéresser un minimum au baseball pour apprécier Le stratège. La présence du beau Brad Pitt incitera également peut-être quelques demoiselles à tenter l’expérience dont le scénario s’inspire, comme de nombreuses belles histoires, de faits réels. Une fois plongé dans le film, on n’en décroche jamais et on prendra d’autant plus de plaisir qu’on ne connait pas forcément l’exploit historique réalisé par cette belle équipe. Même si ce n’est pas un home run, c’est un joli coup qui devrait toucher sans mal les spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Croire encore qu’une victoire sportive ne s’achète pas toujours !