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Jacques Weber

  • Les bêtises

    cinéma, film, comédie, les bêtises,  	Jérémie Elkaïm, Sara Giraudeau, Jonathan Lambert, Rose Philippon, Alice Philippon, Anne Alvaro, Alexandre Steiger, Jacques Weber, Frédéric Pierrot, Béatrice de Staël

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    Il est né le 3 Février 1979 et les quelques jours passés dans les bras de sa mère seront les seuls contacts que notre pote François (Jérémie Elkaïm) aura eu avec elle. Aujourd'hui âgé de 35 ans, il a effectué des recherches pour la retrouver mais elle de son coté ne souhaite pas faire la connaissance de ce fils qu'elle avait abandonné. Malgré tout, François se débrouille pour obtenir son adresse et se rend ainsi dans le village d'Andlau. Son arrivée coïncide avec une fête d'anniversaire organisé par Fabrice (Jonathan Lambert) pour les 60 ans de son père André (Jacques Weber). Pour pouvoir entrer en toute discrétion - enfin il faut le dire vite – François va se faire passer pour un serveur et rencontrer ainsi sa mère Élise (Anne Alvaro) !

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    Si Pierre Richard devait avoir un successeur, nul doute que notre pote Jérémie Elkaïm alias François se positionnerait en bonne place dans la course. Il enchaîne en effet les gaffes et quand on ajoute à cela son parcours personnel, cela rend ce personnage extrêmement attachant auprès du spectateur. Le film réalisé à deux mains par les sœurs Alice & Rose Philippon s'appuie avant tout sur le burlesque et cela fonctionne plutôt bien notamment dans l'association du héros avec Sonia, la fille aux hoquets. Les bêtises c'est donc une comédie qui n'a pas de grandes prétentions si ce n'est celle de nous faire passer un petit moment agréable et on s'en contentera volontiers.

     

    Il faut le voir pour : Réfléchir à deux fois avant de prendre un serveur en "extra" !

  • Les yeux jaunes du crocodile

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    C’en est trop pour notre pote Joséphine (Julie Depardieu) qui a pris son courage à deux mains et qui a mis son mari Antoine (Samuel Le Bihan) à la porte. Ce dernier végétait à la maison depuis qu’il s’est retrouvé au chômage et puis surtout il entretient une relation avec une autre femme. Ce sera dur pour Joséphine de s’en sortir financièrement surtout avec ses 2 filles Hortense & Zoé (Alice Isaaz & Apollonia Luisetti) mais cette chercheuse au CNRS a de l’énergie à revendre. De son coté, sa sœur Iris (Emmanuelle Béart) a une vie bien plus confortable mais semble s’ennuyer. Quand elle annonce qu’elle veut écrire un livre, beaucoup se montre incrédules surtout lorsque cela évoque le destin d’une femme marchande du XIIème siècle. Un sujet que connait particulièrement bien sa sœur ce qui lui donne une drôle d’idée.

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    Adaptation du roman homonyme de Katherine Pancol, Les yeux jaunes du crocodile se pare déjà d’une belle distribution féminine. Outre le duo Depardieu / Béart, on est aussi sous le charme d’Alice Isaaz & Edith Scob  dans un rôle certes plus caricatural. L’histoire de ces 2 sœurs est plutôt intense mais curieusement pas assez développé et plus précisément dans leurs rapports qu’elles entretenaient avec leurs parents durant leur enfance. Un aspect trop vite balayé alors que dans le même temps, on ne comprend pas trop ce que vient faire le couple Karole Rocher / Jacques Weber dans tout ça. Coté réalisation, on ne peut pas dire que Cécile Telerman fasse de vraies merveilles, c’est assez banal et le pompon reste tout de même ce baiser échangé sous une belle pluie de neige carbonique.

     

    Il faut le voir pour : Savoir ce qu’il vous reste à faire si vous voulez qu’on vous embrasse lors d’un rendez-vous mesdemoiselles !

  • Un prince (presque) charmant

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    C’est signé ! Notre pote Jean-Marc (Vincent Pérez) est sur un nuage après avoir conclu cet accord avec ses nouveaux partenaires russes. Ce grand patron obnubilé par son travail en oublierait presque le mariage de sa fille Marie (Chloé Coulloud) qui a lieu prochainement dans le Sud. Celle-ci est totalement paniquée et son père peine à la rassurer d’autant plus qu’il a encore un détail à régler pour le juteux contrat qu’il vient de conclure. Après avoir déposé Marie à bord d’un jet privé, il règle ses affaires avant de prendre la direction du Sud. Au même moment, une certaine Marie Lavantin (Vahina Giocante) se rend dans les bureaux de Jean-Marc pour demander des comptes.

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    Du titre jusqu’au scénario, ça fleure bon la comédie romantique cul-cul la praline et effectivement à ce niveau-là, Un prince (presque) charmant tient toutes ses promesses. Le scénario signé Luc Besson nous confronte donc à un patron égoïste et hautain parti bien malgré lui dans un road-trip et qui va faire une rencontre providentielle en la personne de Vahina Giocante. Evidemment, l’amour ça change un homme et il ne faut pas être un grand devin pour connaitre la suite et ce n’est pas la réalisation standardisée de Philippe Lellouche qui provoquera en nous le coup de foudre. Enième film à l’eau de rose, il contentera ceux qui adorent le genre mais pour les autres on l’oubliera (à coup sur) vite !

     

    Il faut le voir pour : Vous mettre à la voiture électrique.

  • Mauvaise fille

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    Parfois notre pote Louise (Izïa Higelin) se dit qu’elle aurait aimé grandir dans une famille normale. Entre Alice (Carole Bouquet), une mère qui n’a jamais su assumer ses responsabilités et Georges (Bob Geldof), un père rock star perpétuellement en tournée ; elle a du grandir très vite. Aujourd’hui, Louise est une jeune femme épanouie en couple avec Pablo (Arthur Dupont) et ils viennent d’apprendre qu’ils attendaient un heureux évènement. Alors que cette nouvelle devrait la rendre folle de joie bien au contraire elle est rongée par un sentiment de culpabilité car sa mère est gravement malade au point de lui cacher cette grossesse.

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    Qui mieux que le propre compagnon de Justine Lévy pouvait adapter son roman et c’est donc l’occasion pour Patrick Mille pour se lancer dans la réalisation. Bien que son scénario se révèle un peu plat, on concédera que Mauvaise fille possède un certain charme qu’il doit essentiellement à son actrice principale Izïa Higelin. La chanteuse fait des premiers pas remarqués au cinéma apportant dans ses bagages une spontanéité qu’on accueille avec plaisir. Pour le reste, il y a quelques couacs comme ces quelques passages où passé et présent se confondent qui nous font un peu perdre pied ou encore cette scène du repas de réveillon  qui sonne faux. Pas inoubliable.

     

    Il faut le voir pour : Mieux comprendre pourquoi certaines femmes veulent changer de gynéco !

  • Bienvenue parmi nous

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    Les journées passent et se ressemblent pour notre pote Paul Taillandier (Patrick Chesnais) ; il est totalement lassé par la vie et songe à mettre fin à ses jours. Sa femme Alice (Miou-Miou) et l’ensemble de sa famille sont pourtant à ses cotés pour essayer de le soutenir mais ce peintre décide soudainement de tout quitter. Roulant sans trop savoir quelle sera sa destination, il va alors croiser le chemin de Marylou (Jeanne Lambert), une adolescente chassée de son foyer par un beau-père violent et une mère qui feint l’indifférence. Taillandier décide alors de la prendre sous son aile pendant quelques jours, il loue une maison près de la mer où ils vont pouvoir tous deux se poser et apprendre à se connaitre l’un l’autre.

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    Si on imagine aisément notre cher Patrick Chesnais dans la peau de ce vieux grincheux dépressif, très vite on sent que le film ne sonne pas très juste. Un sentiment qui ne fait que se confirmer avec l’apparition de la jeune Jeanne Lambert qui à vouloir faire preuve de spontanéité joue trop souvent avec excès. Agaçant également cette galerie de personnages antipathiques composée du réceptionniste de l’hôtel, la femme de l’agence immobilière et le serveur à se demander si Becker n’a pas voulu réaliser une comédie. Bienvenue parmi nous ne lésine donc pas dans la caricature ajouté au jeu des comédiens qui est loin d’être au diapason, on aura surtout envie de faire rapidement ses adieux au film !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que les jeunes peuvent manger autre chose que des hamburgers !

  • Arrête de pleurer Pénélope

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    Chloé (Juliette Arnaud) a décidé de faire peau neuve, un projet qui lui coutera au bas mot 45 000 Euros. Un investissement important mais elle va bientôt recevoir un bel héritage du moins c’est ce qu’elle pensait jusqu’à ce qu’elle voit débarquer Léonie & Pénélope (Corinne Puget & Christine Anglio), 2 potes d’enfance qu’elle n’avait pas vu depuis 4 ans. Dans son testament, sa Tante Lise (Maria Pacôme) a décidé de léguer sa maison aux 3 femmes qui avaient pour habitude de venir passer leurs vacances ensemble dans leur jeunesse. Encore sous la surprise de la nouvelle, elles vont rapidement organiser un week-end afin de vider la maison et la mettre en vente car Chloé est bien décidée à récupérer sa part !

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    Dans la collection "Adaptation d’une pièce de théâtre", voici donc la dernière ; Arrête de pleurer Pénélope lancée avec succès depuis 2002. La différence c’est que l’histoire a été crée pour le cinéma et sera donc plus considéré comme une suite de leurs aventures sur les planches. Non seulement, nous retrouvons le trio de comédiennes que sont Christine Anglio, Corinne Puget & Juliette Arnaud mais ces deux dernières assurent également la réalisation. Au vu de la renommée de la pièce, je présume qu’il doit y avoir du potentiel qui n’est aucunement mis en valeur dans cette mièvre comédie où s’alternent légers sourires et plus souvent une profonde affliction. Manque de rythme et d’humour, des relations entre les personnages peu approfondies ; on n’est pas prêt de s’arrêter de pleurer !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas laisser votre femme partir en week-end avec sa robe de campagne !

  • Sur la piste du Marsupilami

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    Journaliste télévisé sur le déclin, notre pote Dan Geraldo (Alain Chabat) est à deux doigts de perdre son poste sur la chaine V8. On lui a posé un ultimatum ; sa dernière chance est de faire un carton d’audience pour sa prochaine émission qu’il présentera en direct de Palombie sur les lieux-mêmes où sa carrière a commencé. A lui de se débrouiller pour dénicher le scoop du siècle en l’occurrence l’interview exclusive du chef de la tribu des Payas. Sur place, il devra retrouver son guide Pablito Camaron (Jamel Debouzze), un homme dont tout le monde se moque car il aurait vu un animal qu’on pensait qui n’existe pas mais qui n’existe : le Marsupilami !!

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    Après Astérix, c’est désormais le célèbre Marsupilami du génial Franquin qui se voit adapter sur le grand écran confié aux bons soins d’Alain Chabat. Il fait de nouveau confiance à l’intenable Jamel Debbouze pour nous faire bondir dans tous les sens et nous pondre une comédie familiale réussie. L’ex-Nul est fidèle à sa réputation et a glissé de nombreuses références au cœur d’un scénario riche en personnages ; les rires ne manqueront pas avec Sur la piste du Marsupilami. On gardera notamment à l’esprit un splendide hommage de Lambert Wilson à Céline Dion, une séquence d’ores et déjà culte et rien que pour ça c’est un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’acheter un gâteau au fruit de la passion, personne n’aime ça !

  • Ensemble c'est trop

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    Toute la famille s'était réunie pour célébrer l'anniversaire de grand-mère et soudain le drame arriva. En voulant sortir un mouchoir, notre pote Henri (Pierre Arditi) retire involontairement de sa poche une culotte. Ni une ni deux, sa femme Marie-France (Nathalie Baye) pique une crise et pour la calmer, sa belle-fille Clémentine (Aissa Maïga) l'invite à passer quelques temps à la maison en compagnie de son fils Sébastien (Jocelyn Quivrin) et de leurs enfants. Ils pensaient que cette crise ne serait que passagère mais quand ils apprennent qu'Henri sort avec une ancienne camarade de classe de son fils et que celle-ci attend un enfant, ils savent qu'ils ne sont pas prêts de voir Marie-France les quitter.

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    Fallait pas l'inviter ! Ensemble c'est trop est une petite comédie française qui tourne sur la crise de la soixantaine de notre chère Nathalie Baye provoquée par les coucheries de son mari. Il y avait là matière à nous proposer quelque chose de drôle et surtout de plus rythmé ; dommage que Nathalie Baye ne se soit pas lâchée davantage. Il y a quand même quelques bonnes répliques et un casting riche mais inexploitée avec Aissa Maïga, Laurent Lafitte, Jacques Weber ou encore Eric Cantona. On retiendra évidemment la dernière apparition du comédien Jocelyn Quivrin tragiquement décédé avant la sortie de ce film en salles.

  • Intrusions

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    Parce qu’elle est tombée accidentellement enceinte, Pauline (Natacha Régnier) a été contrainte de se marier sous la pression de son Père (Jacques Weber). L’heureux élu est d’ailleurs un de ses employés, François (Eric Elmosnino) qui n’a pas vraiment eu le courage de refuser cet arrangement mais aujourd’hui il veut divorcer. Entre lui & Pauline, il n’y a rien et c’est aux bras d’une autre femme qu’il a trouvé le bonheur ; il veut donc que cette mascarade cesse au plus vite. Les évènements tournent au drame lorsque François meurt d’un accident de voiture et voici qu’entre en scène un certain Alexis Target (Denis Podalydès) qui va bouleverser les choses.

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    Les premières minutes résument bien le film ; ça commence bizarrement et on se demande vite ce qu’on est venu faire dans cette salle. Une femme mariée de force et enceinte se retrouve victime d’un chantage par un parfait inconnu, du moins au départ ! On passe alors d’une situation déjà incongrue à des évènements encore plus loufoques où cet individu s’installe dans la demeure de Pauline avant de fricoter avec la femme de ménage. Intrusions c’est donc un sacré bordel et à l’issue de la séance on se demande encore ce qui a bien pu passer derrière la tête du réalisateur.

     

    Il faut le voir pour : Se rendre compte qu’on a payé son ticket de cinéma bien trop cher !

  • Nos amis les terriens

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    Pendant longtemps nous avons cru être les seuls créatures vivantes dans l’immensité de l’univers mais récemment une forme de vie a été découverte sur une planète appelée Terre. Des milliards de petits êtres y cohabitent et leurs mœurs sont plus qu’étranges et c’est pourquoi il serait intéressant de mener des recherches sur ces terriens. Ainsi, nous allons suivre les aventures de 2 humains ordinaire, les sujets 1 & 2 (Annelise Hesme & Thomas Le Douarec); respectivement une femme & un homme tout à fait ordinaires mais également les sujets A & B (Audrey Dana & Boris Ventura Diaz) observés cette fois en captivité. L’être humain semble vraiment fascinant !

     

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    J’étais assez curieux de découvrir ce film, 1ère réalisation de Bernard Werber qui n’est autre que l’auteur du livre éponyme. Premier constat d’importance, Nos amis les terriens n’a rien d’un film dans le sens où l’on ne nous sert pas de véritable trame historique mais simplement une batterie d’observations illustrées. Plus proche du documentaire animalier, le concept est plaisant les premières minutes mais au bout d’1H30, cela devient vite rébarbatif d’autant que Werber ne va pas assez loin dans l’introspection et le tout manque cruellement d’humour. Il y avait matière à construire une belle condamnation de l’humanité toute entière au lieu de quoi il les condamne à l’ennnui.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus aller se promener en foret de Fontainebleau.