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didier bénureau

  • Brèves de comptoir

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    Il est 6H30, les premières lueurs du jour apparaissent et L’hirondelle ouvre ses portes. Ce petit bistrot sans prétentions est le rendez-vous quotidien de nombreux habitants du quartier comme la Moule (Régis Laspalès) à la mémoire courte, Pivert (François Morel) qui a à peine le temps de boire un coup ou encore la Postière (Anne Grégorio) qui ne manquerait pour rien au monde cette étape pour s’en jeter un. La journée est toujours animée pour le Patron & le Garçon (Didier Bénureau & Christian Pereira) qui se démènent derrière le bar tandis que la Patronne (Chantal Neuwirth) assure le service.

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    Il y a d’abord eu le livre, puis différentes adaptations au théâtre et c’est donc en toute logique que Brèves de comptoir s’invite maintenant au cinéma. Après les planches, Jean-Michel Ribes se charge lui-même de la transposition sur le grand écran toutefois on peut difficilement la considérer comme un film. Il faut surtout se dire qu’il s’agit d’une compilation de phrases, de pensées mis sommairement en images et surtout à considérer avec beaucoup de second degré. En fait, on pioche dedans comme on se plongerait dans un recueil de blagues mais tout le monde n’y trouvera pas son compte.

     

    Il faut le voir pour : Passer moins de temps au bistrot !

  • Les visiteurs

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    En l’an de grâce 1079, le Comte Godefroy de Montmirail (Jean Reno) vient de sauver la vie de son roi qui lui accorde ainsi le droit d’épouser Dame Frénégonde (Valérie Lemercier). C’est donc avec une certaine allégresse qu’il part retrouver sa bien-aimée mais la sorcière qu’il a capturée plus tôt va faire voler en éclat le bonheur qui lui tendait les bras. Empoisonné, le comte est victime d’hallucinations et pensant abattre un ours menaçant tue accidentellement le père de Frénégonde. Il doit alors faire appel au mage Eusebius (Pierre Vial) qui lui propose de remonter le temps et de dévier cette flèche mais une potion incomplète et Godefroy et son fidèle Jacquouille (Christian Clavier) se retrouvent propulsés en 1992 !!

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    Enorme succès lors de sa sortie en salles, Les visiteurs fait partie de ces comédies françaises que l’on prend toujours grand plaisir à revoir. Certes, techniquement on voit que le film de Jean-Marie Poiré vient lui aussi d’une autre époque mais l’essentiel réside dans son histoire originale et surtout ses succulents personnages. Entre Jean Reno, Christian Clavier et surtout une magnifique (et irremplaçable !) Valérie Lemercier avec son accent embourgeoisé ; le casting est un atout incontestable. Du rire, des répliques cultes, c’est assurément un incontournable et le seul regret c’est qu’on aura cherché à exploiter le succès de cet épisode à travers une suite peu inspirée et un remake américain tout simplement navrant.

     

    La scène culte à ne pas louper : Le bain de Godefroy & Jacquouille !

  • Bienvenue parmi nous

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    Les journées passent et se ressemblent pour notre pote Paul Taillandier (Patrick Chesnais) ; il est totalement lassé par la vie et songe à mettre fin à ses jours. Sa femme Alice (Miou-Miou) et l’ensemble de sa famille sont pourtant à ses cotés pour essayer de le soutenir mais ce peintre décide soudainement de tout quitter. Roulant sans trop savoir quelle sera sa destination, il va alors croiser le chemin de Marylou (Jeanne Lambert), une adolescente chassée de son foyer par un beau-père violent et une mère qui feint l’indifférence. Taillandier décide alors de la prendre sous son aile pendant quelques jours, il loue une maison près de la mer où ils vont pouvoir tous deux se poser et apprendre à se connaitre l’un l’autre.

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    Si on imagine aisément notre cher Patrick Chesnais dans la peau de ce vieux grincheux dépressif, très vite on sent que le film ne sonne pas très juste. Un sentiment qui ne fait que se confirmer avec l’apparition de la jeune Jeanne Lambert qui à vouloir faire preuve de spontanéité joue trop souvent avec excès. Agaçant également cette galerie de personnages antipathiques composée du réceptionniste de l’hôtel, la femme de l’agence immobilière et le serveur à se demander si Becker n’a pas voulu réaliser une comédie. Bienvenue parmi nous ne lésine donc pas dans la caricature ajouté au jeu des comédiens qui est loin d’être au diapason, on aura surtout envie de faire rapidement ses adieux au film !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que les jeunes peuvent manger autre chose que des hamburgers !

  • Godefroy de Montmirail - Les visiteurs

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    Godefroy de Montmirail : Que trépasse si je faiblis !