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côme levin

  • Un prince (presque) charmant

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    C’est signé ! Notre pote Jean-Marc (Vincent Pérez) est sur un nuage après avoir conclu cet accord avec ses nouveaux partenaires russes. Ce grand patron obnubilé par son travail en oublierait presque le mariage de sa fille Marie (Chloé Coulloud) qui a lieu prochainement dans le Sud. Celle-ci est totalement paniquée et son père peine à la rassurer d’autant plus qu’il a encore un détail à régler pour le juteux contrat qu’il vient de conclure. Après avoir déposé Marie à bord d’un jet privé, il règle ses affaires avant de prendre la direction du Sud. Au même moment, une certaine Marie Lavantin (Vahina Giocante) se rend dans les bureaux de Jean-Marc pour demander des comptes.

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    Du titre jusqu’au scénario, ça fleure bon la comédie romantique cul-cul la praline et effectivement à ce niveau-là, Un prince (presque) charmant tient toutes ses promesses. Le scénario signé Luc Besson nous confronte donc à un patron égoïste et hautain parti bien malgré lui dans un road-trip et qui va faire une rencontre providentielle en la personne de Vahina Giocante. Evidemment, l’amour ça change un homme et il ne faut pas être un grand devin pour connaitre la suite et ce n’est pas la réalisation standardisée de Philippe Lellouche qui provoquera en nous le coup de foudre. Enième film à l’eau de rose, il contentera ceux qui adorent le genre mais pour les autres on l’oubliera (à coup sur) vite !

     

    Il faut le voir pour : Vous mettre à la voiture électrique.

  • Radiostars

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    Notre pote Ben (Douglas Attal) est de retour de New-York où il était parti pour tenter sa chance en tant que comique mais les choses ne se sont pas très bien passées. A peine de retour en France, Sabrina (Ana Girardot) son ex-petite-amie le pistonne pour qu’il vienne travailler chez Blast FM et plus précisément dans l’émission du morning qui cartonne actuellement : le Breakfast. Il découvre ainsi ses nouveaux collègues, une joyeuse bande de drilles qui oublient parfois leur conscience professionnelle. Quand leur patron apprend que le dernier sondage place la radio en seconde position, le couperet tombe ; pas de vacances pour l’équipe et ils vont devoir partir en tournée pour booster les audiences sinon l’émission sera tout simplement supprimé.

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    C’est une belle équipe qu’a constitué là notre pote Romain Lévy et inutile de vous dire que cela constitue l’essence même de ce Radiostars. Ça ne se prend (presque) jamais au sérieux, ça n’arrête pas de se balancer des vannes et du coup cette bonne ambiance se ressent aussi bien dans les salles obscures. On pardonnera facilement certains personnages très caricaturaux comme Léonard de Vitry, Smiters ou Jérémie d’autant que pour ces derniers cela permet de faire fonctionner un superbe running-gag avec Daniel(le ?). A cela on peut aussi reprocher un manque de profondeur, on pensait tenir quelque chose avec l’excellent Pascal Demolon et puis ça s’envole aussitôt. Une comédie qu’on regarde avec l’esprit léger, le choix idéal pour qui veut se détendre sans se prendre la tête et prendre un vrai plaisir.

     

    Il faut le voir pour : Toujours avoir le dernier mot !