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philippe lellouche

  • Tu veux ou tu veux pas

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    Thérapeute spécialisé dans les couples, notre pote Lambert (Patrick Bruel) est chargé de se trouver une nouvelle assistante. Seul petit souci, cet homme a un lourd passif puisqu’il a beaucoup de mal à résister aux charmes des femmes mais il fait des efforts ! Sa bonne volonté risque toutefois de voler en éclat lorsqu’il fait la connaissance de la séduisante Judith (Sophie Marceau), fraichement revenue à Paris. Evidemment, il ne peut résister à la tentation de l’engager tout en sachant que chaque minute passée en sa compagnie sera un vrai calvaire. De son coté, Judith ne va pas l’épargner car l’idée d’une aventure avec son nouveau collègue n’est pas pour lui déplaire.

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    Couple glamour qui capte les regards dans un premier temps, le duo Sophie Marceau / Patrick Bruel révèle rapidement ses limites au sein d’un film totalement insignifiant. Le jeu de Chat et de la souris entre les deux personnages nous laisse indifférent et puis surtout la comédie de Tonie Marshall peine à nous arracher un sourire. Les couples qui défilent dans le cabinet auraient pu offrir un petit éventail d’excentricités mais non on préfère nous endormir avec cette romance au dénouement tellement prévisible. On ne sait pas non plus d’où sort cette scène quand même bien étrange où des clients se voit doter de têtes d’animaux … Tu veux ou tu veux pas, on dirait bien que le choix va être vite fait !

     

    Il faut le voir pour : Repérer les femmes aux chaussures vertes !

  • Le jeu de la vérité

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    Réunis pour leur traditionnel diner ; nos potes Jules, Pascal & Fabrice (Philippe Lellouche, Christian Vadim & David Brécourt) sont loin d’imaginer la soirée mouvementée qui les attend. C’est en fait la présence d’un 4ème invité qui va apporter un peu d’animation et il ne s’agit pas de n’importe qui. En effet, Jules a eu la surprise de reprendre contact avec Margaux (Vanessa Demouy) via Facebook et au temps du lycée elle avait fait tourner la tête de tous les garçons. L’occasion était donc trop belle pour ne pas organiser leurs retrouvailles 20 ans après. Alors qu’ils sont déjà comme des fous à l’idée de la revoir s’imaginant déjà la séduire, lorsque celle-ci fait enfin son apparition ils vont avoir une drôle de surprise.

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    Quand on rencontre le succès au théâtre, on est évidemment tenté de le mettre en scène sur le grand écran. La formule n’est pas nouvelle mais ne garantit pas toujours le succès et Le jeu de la vérité laissera un sentiment mitigé. On ne peut pas dire que le passage au cinéma mette en valeur des dialogues pas toujours très raffinés et un humour loin de nous garantir les crises de rires malgré l’alchimie évidente de cette bande. En revanche, ce qui est bien plus intéressant, ça reste cette histoire autour du personnage de Margaux (qu’on ne peut évidemment pas dévoiler)  qui vient peut-être pas briser mais ébranler quelques tabous. Une adaptation qui n’ose pas beaucoup et c’est bien ce qu’on regrette le plus.

     

    Il faut le voir pour : Insister pour que vos enfants regardent plutôt Bambi que Le roi lion !

  • Un prince (presque) charmant

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    C’est signé ! Notre pote Jean-Marc (Vincent Pérez) est sur un nuage après avoir conclu cet accord avec ses nouveaux partenaires russes. Ce grand patron obnubilé par son travail en oublierait presque le mariage de sa fille Marie (Chloé Coulloud) qui a lieu prochainement dans le Sud. Celle-ci est totalement paniquée et son père peine à la rassurer d’autant plus qu’il a encore un détail à régler pour le juteux contrat qu’il vient de conclure. Après avoir déposé Marie à bord d’un jet privé, il règle ses affaires avant de prendre la direction du Sud. Au même moment, une certaine Marie Lavantin (Vahina Giocante) se rend dans les bureaux de Jean-Marc pour demander des comptes.

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    Du titre jusqu’au scénario, ça fleure bon la comédie romantique cul-cul la praline et effectivement à ce niveau-là, Un prince (presque) charmant tient toutes ses promesses. Le scénario signé Luc Besson nous confronte donc à un patron égoïste et hautain parti bien malgré lui dans un road-trip et qui va faire une rencontre providentielle en la personne de Vahina Giocante. Evidemment, l’amour ça change un homme et il ne faut pas être un grand devin pour connaitre la suite et ce n’est pas la réalisation standardisée de Philippe Lellouche qui provoquera en nous le coup de foudre. Enième film à l’eau de rose, il contentera ceux qui adorent le genre mais pour les autres on l’oubliera (à coup sur) vite !

     

    Il faut le voir pour : Vous mettre à la voiture électrique.

  • Nos plus belles vacances

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    Notre pote Simon (Edwyn Penot) s’en souvient encore, c’était en 1976 l’année où il a passé ses plus belles vacances. Accompagné de ses parents Isabelle & Claude (Julie Gayet & Philippe Lellouche) et de son petit frère Bibou (Solal Lellouche). C’est en Bretagne et plus précisément au Rocher Abraham qu’ils s’étaient installés. Rejoints ensuite par 2 autres couples, la présence de ces vacanciers allait rester dans la mémoire des villageois. Il faut dire que ceux-ci étaient bien méfiants au départ, la présence d’un juif après les évènements de la Seconde Guerre Mondiale a fait beaucoup parler. Pour Simon, c’est une tout autre histoire ; lui qui a connu cette année-là Marie-France (Isaure De Grandcourt), son premier grand amour.

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    Pour ceux qui suivent le cinéma français, il est difficile de ne pas penser au récent Skylab de Julie Delpy qui proposait déjà une réunion de potes d’enfance dans une maison de campagne. Cette fois, c’est Philippe Lellouche qui nous propose de faire vibrer la fibre nostalgie à travers les pantalons à pattes d’eph’, les pistes de danse rythmées par l’inimitable Dave. Autant Gayet & Lellouche forment un couple crédible, autant les 2 autres duos ont vraiment du mal à exister et ne parviennent à aucun moment à faire vivre le film. Dans la globalité, ça sonne faux et franchement ça m’étonnerait que Nos plus belles vacances vous laisse vos plus beaux souvenirs.

     

    Il faut le voir pour : Se demander pourquoi ça s’appelle le Rocher Abraham ?

  • Bienvenue à bord

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    Bienvenue à bord ! C’est par ces mots que notre pote Rémy Pasquier (Franck Dubosc) a appris qu’il avait réussi à décrocher ce job d’animateur sur un bateau de croisière. Pourtant, il est loin d’être le candidat idéal mais pour Isabelle (Valérie Lemercier), c’est l’homme parfait pour accomplir sa revanche. Elle a en effet appris par un mail que son supérieur et amant depuis 5 ans Jérôme (Lionnel Astier) allait effectuer la prochaine croisière avec sa femme et il a également prié Isabelle de se trouver un autre job. Elle a donc eu l’idée d’engager Rémy avec l’idée que celui-ci allait semer une véritable zizanie au cours de cette folle croisière.

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    Après le film de Pascale Pouzadoux, les spectateurs sont de nouveaux invités à prendre part à une nouvelle croisière en compagnie cette fois de Franck Dubosc, Valérie Lemercier ou encore Gérard Darmon. Tout comme son confrère, Eric Lavaine pond une comédie très bateau qui malheureusement nous anesthésie par son rythme trop tranquille et un scénario minimaliste au possible. Malgré toute la sympathie que j’éprouve pour Dubosc, son personnage qui se veut solaire finit par agacer plutôt qu’à nous faire rire et à partir de là on peut considérer que Bienvenue à bord est plutôt loupée. Ceux d’entre vous qui monteront à bord seront donc prévenus !

     

    Il faut le voir pour : Réserver une croisière pour aller jouer aux machines à sous.

  • Mineurs 27

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    Il ne fait aucun doute que notre pote Stan (Finnegan Oldfield) a changé ses derniers temps, il s’est plus que jamais renfermé sur lui-même. La seule façon qu’il ait trouvée pour exprimer ses sentiments est de réaliser des graffs, le reste du temps il le passe à la plage pour admirer la belle Deborah (Marie-Ange Casta) qu’il a connu au lycée. Celle-ci n’a pourtant d’yeux que pour Wilson (Nassim Si Ahmed) qui a eu une adolescence mouvementée et qui a même mis un pied dans la délinquance ; un passé pas totalement enterré. Ces 2 garçons ont d’ailleurs une histoire commune, un drame qu’on a tenté d’oublier mais le dossier Mineurs 27 est sur le point de revenir hanter les mémoires.

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    En dehors de Jean-Hugues Anglade, le casting du reste des rôles principaux est un vent frais pour le cinéma français et on n’aura pas manqué la première médiatisée de Marie-Ange Casta, sœur de Laetitia. Le réalisateur Tristan Aurouet n’est pas un amateur puisqu’il avait déjà coréalisé avec Gilles Lellouche Narco et il revient cette fois en solo pour un thriller autour du sujet sensible de la pédophilie. Intrigue alambiquée, déséquilibre des personnages et rythme haché sont autant de défauts qui font qu’on a beaucoup de mal à se laisser absorber par l’histoire et on voit alors poindre un ennui sans équivoque. Il y avait de bonnes intentions mais cela ne semble pas être un argument assez suffisant pour se laisser tenter par Mineurs 27.

     

     

    Il faut le voir pour : Considérer les graffitis d’une autre façon.