Un prince (presque) charmant
C’est signé ! Notre pote Jean-Marc (Vincent Pérez) est sur un nuage après avoir conclu cet accord avec ses nouveaux partenaires russes. Ce grand patron obnubilé par son travail en oublierait presque le mariage de sa fille Marie (Chloé Coulloud) qui a lieu prochainement dans le Sud. Celle-ci est totalement paniquée et son père peine à la rassurer d’autant plus qu’il a encore un détail à régler pour le juteux contrat qu’il vient de conclure. Après avoir déposé Marie à bord d’un jet privé, il règle ses affaires avant de prendre la direction du Sud. Au même moment, une certaine Marie Lavantin (Vahina Giocante) se rend dans les bureaux de Jean-Marc pour demander des comptes.
Du titre jusqu’au scénario, ça fleure bon la comédie romantique cul-cul la praline et effectivement à ce niveau-là, Un prince (presque) charmant tient toutes ses promesses. Le scénario signé Luc Besson nous confronte donc à un patron égoïste et hautain parti bien malgré lui dans un road-trip et qui va faire une rencontre providentielle en la personne de Vahina Giocante. Evidemment, l’amour ça change un homme et il ne faut pas être un grand devin pour connaitre la suite et ce n’est pas la réalisation standardisée de Philippe Lellouche qui provoquera en nous le coup de foudre. Enième film à l’eau de rose, il contentera ceux qui adorent le genre mais pour les autres on l’oubliera (à coup sur) vite !
Il faut le voir pour : Vous mettre à la voiture électrique.