Course à la mort 2

Dans un futur proche, le système carcéral a vécu une véritable révolution ; des fonds privés viennent désormais financer leur fonctionnement. Cela a notamment permis à la Weyland Corporation de s’offrir le pénitencier de Terminal Island ainsi qu’une programmation innovante. Des combats de prisonniers sont organisés et retransmis en direct source de nombreux paris, une manne financière qui les pousse à aller encore plus loin. C’est ainsi que nait la Death race, une course de voitures détonante à laquelle va devoir prendre part notre part Carl Lucas (Luke Goss). Tous les coups sont permis et il n’en restera qu’un !

Encore une fois, voilà la suite d’un film qui se révèle en fait être un prequel puisqu’on assiste ici aux origines de la Course à la mort mais également à la naissance de Frankenstein. Coté casting, de nouveaux visages apparaissent et pas des moindres ; Danny Trejo, Sean Bean & Ving Rhames sont de la partie avec au programme de la baston, du sang et des courses de bagnoles. De quoi ravir les spectateurs qui ont besoin de se vider la tête, c’est certain avec Course à la mort 2, vos neurones ne risquent pas la surchauffe ! Si le 1er épisode avait réussi à vous distraire alors ce 2nd opus vous tend les bras mais je doute quand même que cela séduise le public féminin.



Je m’appelle Arthur (Kad Merad) et je suis vendeur de chaussures de montagnes. J’avais une vie bien tranquille ; ça fait 5 ans que je suis en couple avec Florence (Nathalie Levy-Lang) jusqu’à ce qu’elle me laisse tomber comme une vieille chaussette !
Ah mais je ne vous pas encore dit la meilleure ! Je suis poursuivi par des policiers français car on m’accuse de complicité de vol d’un tableau. Tout ça c’est de la faute d’Émilie (Mélanie Doutey), une voleuse qui n’a rien trouvé de mieux que de glisser cette toile dans mes affaires et évidemment sans que je le sache. Je commence vraiment à regretter d’avoir posé mes RTT !












