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danny trejo

  • Les ailes de l'enfer

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    Un soir tout a bousculé pour notre pote Cameron Poe (Nicolas Cage). Alors qu'il voulait simplement se défendre, ce militaire tue accidentellement un de ses agresseurs ce qui le condamnera à une peine de prison. Il faudra attendre 8 ans pour qu'il soit libéré mais avant de revoir sa femme Tricia (Monica Potter) et surtout sa fille Casey (Landry Allbright) qu'il n'a jamais vu, il va lui falloir encore un peu de patience. Il prend en effet place dans un avion particulier puisqu'il sert pour les transferts de prisonniers et voilà comment il se retrouve accompagné des pires criminels du pays. Les choses vont s'empirer lorsque ces prisonniers parviennent à prendre le contrôle de l'avion sous le commandement d'un certain Cyrus (John Malkovich).

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    Soyons clairs, Les ailes de l'enfer c'est avant tout un petit plaisir coupable. En fait, il s'agit d'un de mes souvenirs d'adolescence qui remonte à la surface dès que je vois Nicolas Cage et sa coupe improbable (une de plus diront certains). Paré d'un scénario aussi basique que caricatural où brille notre héros boy-scout, ce film signé Simon West ne fait pas dans la dentelle et offre son lot d'action faisant son effet. N'oublions pas non plus un casting bien riche qui rassemble entre autres John Malkovitch, Steve Buscemi, John Cusack ou encore Danny Trejo ! C'est comme une mauvaise friandise ; on a beau savoir que c'est gorgé d'artifices, on finit quand même par se laisser tenter.

  • La légende de Manolo

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    En ce jour des morts, la Muerte et Xibalba trouvent le temps long et décident de se lancer un pari. L’enjeu ce sont leurs royaumes respectifs à savoir le pays des âmes chéries et celui des oubliés, pour les départager il faudra attendre de savoir qui emportera le cœur de la belle Maria. Cette dernière a en effet deux prétendants avec d’abord le courageux Joaquin et le brave Manolo mais alors que ce trio était inséparable, la petite fille est soudainement envoyée en Espagne. Après plusieurs années, elle fait son retour à San Angel et elle retombe petit à petit sous le charme de Manolo ce qui n’arrange pas les affaires du fourbe Xibalba.

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    Puisant dans les traditions et croyances mexicaines, La légende de Manolo brille d’abord visuellement avec cet incroyable  festival de couleurs. Comment ne pas être émerveillé lors des premiers pas dans le Pays des âmes chéries ? Les studios de Reel FX Animation ont aussi pris le parti de proposer un graphisme particulier en mettant en scène des héros sous la forme de marionnettes articulées en bois. Ajoutez à ça des personnages attachants, des séquences musicales et une dose d’humour et ça donne un film d’animation spectaculaire où on s’amuse comme des petits fous quel que soit notre âge et c’est donc un joli Coup de cœur Ciné2909 qu’on a là !

     

    Il faut le voir pour : Porter la moustache !

  • Five thirteen

    La rédemption, c'est ce que cherchent Avelawance Phillips et son frère Malik Barnhardt. Malgré leurs bonnes volontés, ils vont se retrouver impliqué dans un braquage, un dernier coup qui risque de mal tourner. Five thirteen, ça sera aussi l'occasion de voir Danny Trejo ou encore Gary Dourdan.

    Date de sortie : 11 Juin 2014.


  • Machete Kills

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    Condamné à la pendaison, notre pote Machete (Danny Trejo) s’est vu sauvé grâce au coup de fil du Président des Etats-Unis (Charlie Sheen) himself. On veut en effet lui confier une mission de la plus haute importance : neutraliser l’omnipotent Mendez (Demian Bachir) qui menace de lancer un missile sur Washington. En récompense Machete verra son lourd passé effacé et obtiendra dans le même temps la citoyenneté américaine. Il part à la frontière américaine où l’attend Miss San Antonio (Amber Heard) son contact avec l’aide de laquelle il réussit rapidement à mettre la main sur Mendez mais un autre homme se cache derrière tout ça, un certain Luthor Voz (Mel Gibson).

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    Toujours plus fort et toujours plus délirant, tel pourrait être le credo du héros imaginé par Robert Rodriguez et qui revient dézinguer à tout va. Si le premier épisode était une merveille de kitsch, on ne pourra pas en dire autant de Machete Kills où la sauce ne prend pas et où on a davantage l’impression qu’il fait dans la surenchère sans bornes. Le plaisir de retrouver Danny Trejo est en effet rapidement atténué par des délires qui agacent comme ce personnage du Caméléon incarné notamment par une Lady Gaga amorphe. Pas de fun et donc pas d’enthousiasme pour cet épisode mais on a envie de garder un petit espoir pour le troisième volet qui espérons-le nous fera voir des étoiles !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que Machete ne tweete pas !


    En savoir plus sur Machete ?

  • Machete kills

    C'est le rôle de la vie de Danny Trejo, Machete est de retour et ce n'est pas pour tricoter ! Charlie Sheen est the President of United states et a besoin d'un homme pour faire le ménage avec un seul mot d'ordre : Machete kills !!

     

    Date de sortie : 02 Octobre 2013


  • Le joyeux Noël d’Harold & Kumar

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    Ils ont été les meilleurs potes d’enfance mais aujourd’hui c’est comme si Harold & Kumar (John Cho & Kal Penn) ne se connaissaient plus ! C’est là l’œuvre du temps ; les priorités changent et si certains se sont construit une vie bien rangée, d’autres cherchent ont encore l’esprit embrumé ou plutôt enfumé. Plongé en plein cœur des fêtes de Noel, Harold fait preuve de nervosité puisqu’il attend l’arrivée de la famille de sa femme Maria (Paula Garces). Pour l’occasion, son père Mr. Perez (Danny Trejo) a apporté un superbe sapin, une tradition familiale qui lui est très chère mais un drame est si vite arrivé ! Kumar se présente en effet devant la porte d’Harold pour lui remettre un paquet et en moins de temps qu’il ne faut pour allumer un joint, le sapin part lui aussi en fumée.

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    On n’attendait pas vraiment d’avoir de leurs nouvelles mais c’est tout de même un grand plaisir de retrouver pour la troisième fois ce duo culte désormais ancré dans la mémoire de milliers de spectateurs. Amis de la déconne, vous pouvez être rassurés c’est toujours aussi délirant avec de superbes idées comme l’enfance de Danny Trejo, un bébé dopé à l’herbe et à la cocaïne ou bien un Père Noël shooté en pleine tête. C’est simple ; si les 2 premiers épisodes vous avez déjà fait triper alors il est évident que vous ne pouvez pas manquer Le joyeux Noël d’Harold & Kumar et serez enchanté de revoir nos zéros de service !

     

    En savoir plus sur Harold & Kumar chassent le burger ?

    En savoir plus sur Harold & Kumar s'évadent de Guantanamo ?

  • Death Race : Inferno

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    C’est un coup de tonnerre médiatique : les industries Weyland viennent de céder les droits de la Course de la mort au milliardaire Niles York (Dougray Scott). Un concept que celui-ci a l’intention d’exporter dans le monde entier mais son succès dépend également d’un homme : Frankenstein. Derrière ce masque se cache Carl Lucas (Luke Goss) que beaucoup croyait mort et il a déjà remporté 4 courses. S’il parvenait à remporter une 5ème et dernière course, il obtiendrait alors la liberté qu’on lui avait promise mais York n’entend pas laisser filer sa poule aux œufs d’or. Pour la première fois, la course aura lieu en dehors de Terminal Island et c’est en Afrique que tout va se jouer !

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    L’aventure avait commencé chez nous au cinéma pour se poursuivre dans nos salons et c’est plutôt frustrant car cette saga ne démérite pas. Nous sommes dans la continuité de l’épisode précédent qui rappelons-le est un prequel du remake (vous suivez ?) et cette fois de nouveaux paysages s’offrent à nous puisque nous partons en Afrique. La cour de récréation est donc plus vaste dans Death Race : Inferno et le spectacle est toujours au rendez-vous à coups de missiles téléguidés et d’explosions. Bien entendu, le scénario n’a lui rien de transcendant mais le constat est là, c’est un bon amusement et on ne cracherait pas sur de nouvelles courses à venir.

  • Anaconda

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    C’est au cœur de la jungle amazonienne que notre pote Terri Flores (Jennifer Lopez) va réaliser son premier documentaire ayant pour thème les Shiri-Shama, le peuple de la brume. Accompagnée de toute son équipe, ils remontent la rivière lorsqu’il croise sur leur chemin Paul Sarone (John Voight) dont le bateau est tombé en panne. Ce chasseur de serpents, pour les remercier, leur propose de les guider mais ce périple va soudainement tourner au cauchemar. D’abord avec l’accident de Steven (Eric Stoltz) et par la suite quand un anaconda vient s’inviter à la fête et dévorer quelques hors d’œuvre. Seul Paul n’est pas surpris et pour cause, il tient à capturer cet animal hors-norme qui pourrait lui rapporter un beau paquet d’argent.

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    L’Anaconda possède quelque chose de fascinant ; capable d’atteindre plus de 7 mètres on l’imagine comme un vrai prédateur capable de faire d’un homme qu’une bouchée. Ce film s’inspire donc de ces croyances pour nous offrir un divertissement avec un casting étonnamment étoffé pour ce genre rassemblant Jennifer Lopez, John Voight, Owen Wilson, Ice Cube ou encore Eric Stoltz. Surprenant puisque la véritable star est bien entendu ce serpent géant qui ne demande qu’à s’amuser reproduit à travers des effets spéciaux numériques mêlés à un animal reproduit mécaniquement (le réalisme étant plus probant dans le dernier cas). A sa sortie, Anaconda avait des allures de blockbuster avant de prendre avec les années le statut de film de série B et cela reste une récréation pas désagréable.

  • Course à la mort 2

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    Dans un futur proche, le système carcéral a vécu une véritable révolution ; des fonds privés viennent désormais financer leur fonctionnement. Cela a notamment permis à la Weyland Corporation de s’offrir le pénitencier de Terminal Island ainsi qu’une programmation innovante. Des combats de prisonniers sont organisés et retransmis en direct source de nombreux paris, une manne financière qui les pousse à aller encore plus loin. C’est ainsi que nait la Death race, une course de voitures détonante à laquelle va devoir prendre part notre part Carl Lucas (Luke Goss). Tous les coups sont permis et il n’en restera qu’un !

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    Encore une fois, voilà la suite d’un film qui se révèle en fait être un prequel puisqu’on assiste ici aux origines de la Course à la mort mais également à la naissance de Frankenstein. Coté casting, de nouveaux visages apparaissent et pas des moindres ; Danny Trejo, Sean Bean & Ving Rhames sont de la partie avec au programme de la baston, du sang et des courses de bagnoles. De quoi ravir les spectateurs qui ont besoin de se vider la tête, c’est certain avec Course à la mort 2, vos neurones ne risquent pas la surchauffe ! Si le 1er épisode avait réussi à vous distraire alors ce 2nd opus vous tend les bras mais je doute quand même que cela séduise le public féminin.

  • Predators

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    A son réveil, il s'est retrouvé en chute libre et s'il n'avait pas été équipé d'un parachute, notre pote Royce (Adrien Brody) serait déjà mort. Il n'est pas le seul, d'autres personnes ont vécu la même situation et tous se retrouvent désormais au cœur d'une jungle sans la moindre idée sur la façon dont ils ont atterrit en ce lieu. Ils partagent cependant un point commun, ce sont tous des soldats ou des criminels et tout porte à croire qu'ils ont été sélectionnés pour une partie de chasse où ils font office de gibier. Au cours de leur marche, ils s'aperçoivent en effet qu'ils sont sur une autre planète et que d'étranges et redoutables créatures ont également été parachutées.

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    Après quelques tatanes échangées contre son cousin Alien peu convaincantes, voilà un reboot lancée par les studios de Robert Rodriguez. On ne s'est pas beaucoup embarrassé coté scénario, il suffit de balancer quelques mercenaires et des Predators sur une planète inconnue et on laisse monter la sauce. Ça aurait pu être un bon pop-corn movie mais au final ça manque cruellement de fun. Si cela avait été fait avec un peu plus de panache ; on aurait certainement moins rechigné devant le vide scénaristique, les personnages complètement futiles (avec une palme à Laurence Fishburne) tandis que là on ne peut que s'interroger sur l'intérêt de cet énième remake.

     

    Il faut le voir pour : A 5 heures, il y en a qui prennent leur gouter et d'autres....