Jack Torrance - Shining
Jack Torrance : Here's Johnny ! (Coucou, c'est Johnny !)
En savoir plus sur Shining ?
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Jack Torrance : Here's Johnny ! (Coucou, c'est Johnny !)
En savoir plus sur Shining ?
C’est désormais officiel, notre pote Jack Torrance (Jack Nicholson) s’est entendu avec le directeur de l’hôtel Overlook et va résider dans l’établissement le temps de quelques mois jusqu’à sa réouverture pour la nouvelle saison. Cet écrivain va pouvoir profiter d’un lieu somptueux et unique pour trouver l’inspiration et il sera accompagné par sa femme Wendy (Shelley Duvall) et son fils Danny (Danny Lloyd). Cette aventure plutôt excitante au départ va prendre une tournure dramatique puisqu’au bout de quelques semaines, le comportement de Jack est devenu inquiétant ; l’homme est même parfois agressif. Danny aussi agit bizarrement et l’influence de Tony, son ami imaginaire n’a jamais été aussi prégnante et les choses ne vont pas s’améliorer avec le temps.
En adaptant la nouvelle de Stephen King, Stanley Kubrick se doutait-il qu’il allait marquer le paysage cinématographique ? Pas la peine de mâcher ses mots, Shining est un chef d’œuvre indispensable pour tous les amateurs de cinéma et une si ce n’est LA référence du film d’épouvante. Non seulement le scénario est fascinant, hypnotique mais en plus de ça Jack Nicholson livre une de ses plus belles performances sans oublier son fils Danny Lloyd qui a quand même de drôles de fréquentations. Sorti en 1980, ce classique à la réalisation bien plus complexe qu’il n’y parait, n’a pas pris une ride ; la tension est omniprésente chez le spectateur et on en redemande !
La scène à ne pas louper : L’entrée fracassante de Jack dans la salle de bain !
Richie Norris : Et je voudrais remercier ma grand-mère pour avoir toujours été aussi gentille avec moi, et de m'avoir aidé à sauver le monde et puis tout ça.
L’information a fait le buzz dans le monde entier, alors que les critiques saluaient sa performance dans le film Two lovers ; Joaquin Phoenix annonçait la fin de sa carrière cinématographique. Le plus étonnant reste à venir car dans la foulée, il prétend vouloir se lancer dans la musique et plus particulièrement dans le rap ! C’est le point de départ de ce documentaire, Casey Affleck a suivi son beau-frère dans son difficile parcours car beaucoup pensent que tout cela n’est qu’une mascarade. Au fil des jours, Joaquin se métamorphose : ses atours physiques laissent place à une belle bedaine et sa barbe saillante captera l’attention de tous les médias. Il ne perd pourtant pas de vue son objectif et va tout faire pour percer dans la musique jusqu’à frapper à la porte du célèbre P. Diddy.
Flash-back sur un évènement qui avait secoué à l’époque Hollywood, la retraite anticipée de Joaquin Phoenix qui avait suscité pas mal d’interrogations. Son annonce avait été largement relayé par tous les médias mais on ne savait pas forcément qu’il s’était reconverti en chanteur de rap bouffi et c’est là qu’intervient I’m still here - The lost year of Joaquin Phoenix. Casey Aflleck nous dévoile aujourd’hui toutes les coulisses de cette incroyable supercherie ; un projet assez fou dans lequel Phoenix s’est investi corps et âme pour casser son image d’acteur torturé. Le résultat final en valait vraiment la chandelle vu que les spectateurs se sont vite désintéressés de la nouvelle carrière fictive du comédien.
Il faut le voir pour : Ne pas oublier de vous raser demain matin !
S’ils s’étaient rencontrés dans d’autres circonstances, Edward Cole & Carter Chambers (Jack Nicholson & Morgan Freeman) ne seraient peut-être jamais devenus des potes d’enfance. Seulement en raison de leur santé défaillante, tous deux viennent d’apprendre qu’il ne leur reste maintenant que peu de temps à vivre, ils sont aujourd’hui inséparables. Plutôt que de se morfondre à attendre la faucheuse, ils décident de profiter une dernière fois de tout ce que la vie peut leur offrir à travers une liste de choses qu’ils souhaitent accomplir. Grâce à la fortune d’Edward, toutes les portes leur sont ouvertes ; que ce soit le saut en parachute ou encore une course sur un circuit, il faut en profiter sans plus attendre.
Comme l’un des héros le dit dans le film, souhaitez-vous connaitre la date de votre mort ? Cette fatalité qui n’échappera à personne sert ici d’échéance à court-terme au duo Jack Nicholson/Morgan Freeman dont les carrières respectives mériteraient un roman en plusieurs tomes. Sans plus attendre se révèle fidèle à ce que l’on attendait, un film où nos héros découvrent que la vie est bien trop courte, qu’on ne prend jamais le temps de faire ce dont on rêve. Des bons sentiments en pagaille avec quelques moments sympas mais certainement pas le chef d’œuvre qui vous convaincra de le mettre sur la liste des films à voir avant votre mort !
Il faut le voir pour : Laissez tomber le Nescafé pour le Kopi Luwac.
Bruce Wayne (Michael Keaton) est un riche héritier qui a eu le malheur d’assister à la disparition de ses parents assassinés en pleine rue. Seul au monde, il peut néanmoins compter sur le soutien inconditionnel du majordome de la famille Alfred (Michael Gough). Dans Gotham City, sa ville le crime reste toujours présent et Bruce est convaincu qu’il doit le combattre. Lorsque les rues deviennent sombres ; il endosse sa tenue de justicier, il est le chevalier de la nuit, il est Batman ! Il aura fort à faire pour contre-carrer les plans du Joker (Jack Nicholson), bien décidé à faire de Gotham sa nouvelle cour de récréation.
Premier grand film consacré à l’homme à la cape noire, Tim Burton marque les esprits du début des années 90 avec une adaptation des plus fidèles. L’ambiance sombre de Gotham City est parfaitement retranscrit ajouté à cela un Jack Nicholson grimé en Joker plus vrai que nature pour nous offrir cette œuvre culte. Si quelques voix se sont élevés face au manque de charisme de sieur Keaton, une fois qu’il endosse le masque de Batman, il est tout de meme impressionnant. A ce jour, le film reste encore une des meilleures adaptations du Dark Knight, un ton au dessus de Batman, le défi réalisé une fois de plus par Burton.
La scène à ne pas louper : La transformation du Joker.
En savoir plus sur Batman, le défi ?
En savoir plus sur Batman Forever ?
En savoir plus sur Batman & Robin ?
En savoir plus sur Batman Begins ?
En savoir plus sur The dark knight-Le chevalier noir ?
En savoir plus sur The dark knight rises ?
En savoir plus sur Batman Year One ?
En savoir plus sur Superman Batman/Public Enemies ?
Joker : N’as tu jamais dansé
avec le diable au clair de
Lune ?
La guerre des gangs ne compte plus ses victimes à Boston, une ville contrôlée par Franck Costello (Jack Nicholson) mais ses affaires dérangent. Du coté des autorités, on a bien l’intention de mettre fin à tout ça et c’est pour cela que l’on confie une mission d’infiltration à Billy Costigan (Leonardo DiCaprio). De son coté, Costello a également une taupe au sein de l’Unité Spéciale avec Colin Sullivan (Matt Damon) qu’il a connu depuis son enfance. Ces 2 infiltrés jouent un jeu dangereux et mettent leur vie en danger chaque jour, qui sera découvert ?
Un film de Martin Scorcese avec Leonardo DiCaprio, Matt Damon, Jack Nicholson, Mark Whalberg, Martin Sheen ou encore Alec Baldwin. Une distribution impressionnante qui vous donne une idée de la qualité des Infiltrés et franchement vous ne vous ennuierez pas ! Haletant du début jusqu’à la fin avec des comédiens au top (mention spéciale pour Nicholson & Whalberg) et un soupçon d'ambiance irlandaise, c’est indéniablement une réussite. En tout cas, ça donne envie de découvrir Infernal Affairs, film hongkongais dont c’est l’adaptation.