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danny glover

  • I’m still here - The lost year of Joaquin Phoenix.

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    L’information a fait le buzz dans le monde entier, alors que les critiques saluaient sa performance dans le film Two lovers ; Joaquin Phoenix annonçait la fin de sa carrière cinématographique. Le plus étonnant reste à venir car dans la foulée, il prétend vouloir se lancer dans la musique et plus particulièrement dans le rap ! C’est le point de départ de ce documentaire, Casey Affleck a suivi son beau-frère dans son difficile parcours car beaucoup pensent que tout cela n’est qu’une mascarade. Au fil des jours, Joaquin se métamorphose : ses atours physiques laissent place à une belle bedaine et sa barbe saillante captera l’attention de tous les médias. Il ne perd pourtant pas de vue son objectif et va tout faire pour percer dans la musique jusqu’à frapper à la porte du célèbre P. Diddy.

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    Flash-back sur un évènement qui avait secoué à l’époque Hollywood, la retraite anticipée de Joaquin Phoenix qui avait suscité pas mal d’interrogations. Son annonce avait été largement relayé par tous les médias mais on ne savait pas forcément qu’il s’était reconverti en chanteur de rap bouffi et c’est là qu’intervient I’m still here - The lost year of Joaquin Phoenix. Casey Aflleck nous dévoile aujourd’hui toutes les coulisses de cette incroyable supercherie ; un projet assez fou dans lequel Phoenix s’est investi corps et âme pour casser son image d’acteur torturé. Le résultat final en valait vraiment la chandelle vu que les spectateurs se sont vite désintéressés de la nouvelle carrière fictive du comédien.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier de vous raser demain matin !

  • Panique aux funérailles

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    C'est un triste jour pour Aaron (Chris Rock) qui va rendre un dernier hommage à son père. Toute la famille s'est réunie et c'est également l'occasion pour Aaron de revoir son frère Ryan (Martin Lawrence), écrivain reconnu qui vient tout droit de New York. Entre les 2 frères, il y a une certaine tension ; Aaron est lui aussi écrivain mais peine à voir ses écrits édités. Cela sera d'ailleurs le cadet de ses soucis car il a remarqué la présence d'un homme étrange aux funérailles de son père. Lorsque celui-ci se présente, il prétend être l'amant de son père disparu et réclame la modique somme de 30 000 Dollars pour garder le secret.

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    Passé presque inaperçu lors de sa sortie en salles en 2007, Joyeuses funérailles est une comédie assez réussi faisant preuve d'une bonne dose d'humour noir. A l'affut de bonnes idées, Chris Rock s'est donc engagé dans un remake réunissant un casting impressionnant : Martin Lawrence, Zoé Saldana, James Marsden, Tracy Morgan ou encore Danny Glover. Pour ceux qui ont vu la version originale, cette pale copie présente assez peu d'intérêt car Panique aux funérailles reprend exactement les mêmes scènes et les mêmes chutes. De préférence, il vaut donc mieux privilégier sur Joyeuses funérailles qui présente plus de spontanéité.

  • 2012

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    C'est en 2009 que l'on a découvert les prémices de la catastrophe, le professeur Adrian Helmsley (Chiwetel Ejiofor) était revenu d'Inde avec d'inquiétantes analyses. Très vite, ces informations ont été communiquées au Président des Etats-Unis (Danny Glover) puis aux autres chefs d'Etat. Nous sommes en 2012, chez Jackson Curtis (John Cusack) qui s'apprête à partir camper avec ses enfants du coté du Parc de Yellowstone. Sur place, le lac qu'il avait connu dans le passé s'est asséché et plus étrange, il constate la présence de l'armée. Il l'ignore encore mais le monde est sur le pont d'être profondément bouleversé, la Terre telle que nous la connaissons vit ses dernières heures.

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    Les films catastrophes ont plutôt bonne cote sur le grand écran et pour cause, ce genre d'évènements s'encre plus que jamais dans notre réalité. Selon de nombreuses croyance mayas, 2012 devrait être la date fatidique, celle où toute vie cessera sur Terre et surtout où Ciné2909 disparaitra ! C'est notre ami Roland Emmerich qui vient une nouvelle fois ravager notre planète avec un film gigantesque au niveau visuel mais au contenu peu novateur (Comment ça c'est un pléonasme ?). On retrouve ainsi le héros, un homme ordinaire qui se transcende pour échapper aux catastrophes en chaine et sauvant par la même occasion sa famille et l'humanité égoïste qui va se repentir. Pop-corn movie à apprécier sur grand écran pour ses effets spéciaux mais pas forcément indispensable.

     

    Il faut le voir pour : Mettre 1 milliard d'euros de coté pour 2012, on sait jamais.

     

  • Blindness

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    Quelque part dans le monde. Tout a commencé lorsque ce médecin (Mark Ruffalo) a reçu dans son cabinet un drôle de cas ; un homme était subitement devenu aveugle ne voyant rien d’autre qu’un fond blanc. Quelques temps après, cette cécité s’est propagée à une vitesse phénoménale à toutes les personnes qui sont entrés en contact de près ou de loin avec ce patient. Les autorités sont dépassées par les évènements et ordonnent la mise en quarantaine des malades dont le médecin qui a lui aussi perdu la vue. Pour l’accompagner, sa femme (Julianne Moore) prétend être infectée par le mal et ils se retrouvent alors livrés à eux-mêmes dans un établissement abandonné.

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    Quelle serait notre réaction si nous étions amenés à perdre du jour au lendemain un de nos sens ? Tel est le point de départ du dernier film de Fernando Meirelles, privant tous ses personnages de la précieuse vue hormis Julianne Moore qui va être le témoin d’horreurs inimaginables. Le réalisateur de La cité de Dieu & The constant Gardner n’y va pas de main morte pour montrer que l’homme, poussé dans ses derniers retranchements, est capable de se comporter comme un animal. Blindness est captivant et déroutant (lieu imprécis, personnages sans identités) et mérite qu’on y jette … un œil !

     

    Il faut le voir pour : Se rendre à l’évidence qu’on ne voit que ce que l’on veut voir.

  • Soyez sympas rembobinez

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    Parce que Monsieur Fletcher (Danny Glover) est parti quelques jours, Mike (Mos Def) s’est vu confier la direction du magasin vidéo Be kind Rewind qui a la particularité de ne louer que des VHS. Avant de partir, il l’avait prévenu de ne pas faire entrer Jerry (Jack Black) car ce mec est une catastrophe ambulante. Et ça n’a pas loupé puisqu’après une mission de sabotage avortée à la centrale électrique, Jerry avec ses ondes magnétiques efface malencontreusement tous les films en rayon. Une question se pose maintenant : comment faire fonctionner la boutique avec des cassettes vierges ? Facile, il suffit de retourner tous ces films avec un caméscope!

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    Si vous avez connu la bonne époque des locations de VHS ce que vous êtes dans la même situation que moi : vous vieillissez ! Alors qu’aujourd’hui l’ère du numérique a envahi nos foyers, Michel Gondry nous rappelle de bons souvenirs et surtout les classiques du cinéma avec Ghosbusters, Robocop ou encore King Kong. Soyez sympas rembobinez délivre également un formidable message social frôlant l’utopie où l’esprit de quartier renait à travers un projet commun. Beaucoup plus ouvert que son dernier film La science des rêves, il y a une magnifique idée dont on attendait peut-être un développement vers un univers plus délirant.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir les films suédés.