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roel reiné

  • The condemned 2

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    Il y a encore 6 mois notre pote Will Tanner (Randy Orton) était un chasseur de primes mais en voulant neutraliser le dangereux Cyrus Merrick (Wes Studi), il l’a accidentellement tué. Aujourd’hui, Will est retourné vivre auprès de son père Frank (Eric Roberts) et est devenu dépanneur. Un jour, il croise Michaels (Morse Bicknell) qui faisait autrefois partie de son équipe de chasseurs de primes mais après quelques gorgées de bière, celui-ci cherche à le tuer. Les surprises ne vont pas s’arrêter là puisque un peu plus tard, Lange (Michael Sheets) un autre ancien partenaire pointe à son tour le bout de son nez. Les ennuis ne font que débuter !

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    Il avait succédé à John Cena sur 12 rounds : Reloaded, voilà que notre pote Randy Orton prend la suite de Steve « 3 :16 » Austin pour The condemned 2. Il retrouve Roel Reiné, un réalisateur habitué des productions WWE pour des résultats loin d’être brillants ; ce nouveau film ne va pas révolutionner sa carrière, pire que ça il fait même un peu peine à voir. Scénario insipide, mise en scène ennuyeuse en dehors d’un faiblard spectacle pyrotechnique à la fin (il se murmure que tout le budget est allé dans le drone !), voilà de quoi le condamner aux oubliettes. La star du catch n’est pas prête de quitter le ring pour se lancer sérieusement au cinéma, prochain objectif s’incruster sur la sage The marine ?

  • L’homme aux poings de fer 2

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    Après son terrible combat avec Lion d'argent, notre pote Thaddeus (RZA) aspire désormais à trouver la paix en suivant le chemin de Bouddha. Un répit qui ne sera que de courte durée puisqu’il est de nouveau attaqué par les hommes du frère de Lion d'argent ; un féroce combat qui va le laisser en piteux état. Alors qu’il dérivait entre la vie et la mort, il est sauvé par Innocence (Pim Bubear) et ramené jusqu’à un village minier placé sous le joug du tyrannique Maître Ho (Carl Ng). La légende de l’homme aux poings de fer le précède et ses talents de forgeron pourraient être un atout pour Li Kung (Dustin Nguyen) qui veut renverser Ho et ramener ainsi la paix au village.

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    Si le premier épisode était sorti en grandes pompes dans les salles obscures, cette suite n’aura pas cet honneur et on comprend vite pourquoi. RZA répond toujours présent mais laisse sa place de réalisateur Roel Reiné (The marine 2, Death race 2...). Si les combats proposés font preuve d’une certaine violence, on ne peut pas dire qu’ils se montrent impressionnants visuellement au même titre que ce scénario convenu. Déjà peu convaincu par le premier volet, L’homme aux poings de fer 2 réussit la prouesse de se montrer encore moins intéressant et fait partie de ces suites qu’on va vite remiser au placard.

     

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  • 12 Rounds: Reloaded

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    Il y a 1 an, Nick Malloy (Randy Orton) et Sarah (Cindy Busby) ont été les témoins d’un terrible accident de la route impliquant deux véhicules. Cet ambulancier s’est précipité auprès des victimes afin de leur porter les premiers secours malheureusement une femme décédera. Retour au présent, Nick commence sa journée avec son pote Jay (Colin Lawrence) lorsqu’ils sont appelés pour une intervention. Ils trouvent alors un homme dans un drôle d’état et c’est ainsi que le cauchemar commence puisqu’un inconnu entre en contact avec Nick et le force à participer à un jeu composé de 12 rounds. S’il refuse c’est tout simplement la vie de Sarah qui est menacée.

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    Après The marine, voici donc une nouvelle licence initiée par la superstar de la WWE John Cena qui bénéficie d’une suite avec un nouvel héros. C’est désormais au tour de Randy "The viper" Orton d’avoir droit à son premier grand rôle au cinéma avec 12 Rounds: Reloaded mais là où il a moins de chance, c’est qu’il ne bénéficie pas des mêmes moyens que son collègue. Autant avec 12 rounds (connu aussi sous le titre de Shoot & Run), la réalisation avait été confiée à Renny Harlin qui nous avait proposé un film d’action plutôt plaisant autant ici on a un résultat assez désastreux. Intrigue identique, scènes d’action au rabais, un méchant de service ridicule ; même mon pote Randy me fait de la peine à courir dans le vide. Pas sur que vous supportiez plus de 2 rounds sur ce coup !

     

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  • Death Race : Inferno

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    C’est un coup de tonnerre médiatique : les industries Weyland viennent de céder les droits de la Course de la mort au milliardaire Niles York (Dougray Scott). Un concept que celui-ci a l’intention d’exporter dans le monde entier mais son succès dépend également d’un homme : Frankenstein. Derrière ce masque se cache Carl Lucas (Luke Goss) que beaucoup croyait mort et il a déjà remporté 4 courses. S’il parvenait à remporter une 5ème et dernière course, il obtiendrait alors la liberté qu’on lui avait promise mais York n’entend pas laisser filer sa poule aux œufs d’or. Pour la première fois, la course aura lieu en dehors de Terminal Island et c’est en Afrique que tout va se jouer !

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    L’aventure avait commencé chez nous au cinéma pour se poursuivre dans nos salons et c’est plutôt frustrant car cette saga ne démérite pas. Nous sommes dans la continuité de l’épisode précédent qui rappelons-le est un prequel du remake (vous suivez ?) et cette fois de nouveaux paysages s’offrent à nous puisque nous partons en Afrique. La cour de récréation est donc plus vaste dans Death Race : Inferno et le spectacle est toujours au rendez-vous à coups de missiles téléguidés et d’explosions. Bien entendu, le scénario n’a lui rien de transcendant mais le constat est là, c’est un bon amusement et on ne cracherait pas sur de nouvelles courses à venir.

  • Course à la mort 2

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    Dans un futur proche, le système carcéral a vécu une véritable révolution ; des fonds privés viennent désormais financer leur fonctionnement. Cela a notamment permis à la Weyland Corporation de s’offrir le pénitencier de Terminal Island ainsi qu’une programmation innovante. Des combats de prisonniers sont organisés et retransmis en direct source de nombreux paris, une manne financière qui les pousse à aller encore plus loin. C’est ainsi que nait la Death race, une course de voitures détonante à laquelle va devoir prendre part notre part Carl Lucas (Luke Goss). Tous les coups sont permis et il n’en restera qu’un !

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    Encore une fois, voilà la suite d’un film qui se révèle en fait être un prequel puisqu’on assiste ici aux origines de la Course à la mort mais également à la naissance de Frankenstein. Coté casting, de nouveaux visages apparaissent et pas des moindres ; Danny Trejo, Sean Bean & Ving Rhames sont de la partie avec au programme de la baston, du sang et des courses de bagnoles. De quoi ravir les spectateurs qui ont besoin de se vider la tête, c’est certain avec Course à la mort 2, vos neurones ne risquent pas la surchauffe ! Si le 1er épisode avait réussi à vous distraire alors ce 2nd opus vous tend les bras mais je doute quand même que cela séduise le public féminin.