Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Ciné2909 - Page 189

  • Jack & Julie

    cinéma, film, comédie, Jack & Julie, Adam Sandler, Katie Holmes, Al Pacino, Eugenio Derbez, Elodie Tougne, Rohan Chand (II), Gad Elmaleh, David Spade, Dennis Dugan

    aff.jpg

    Notre pote Jack (Adam Sandler) travaille dans la pub et il a quelques sueurs froides à l’idée que son plus gros client Dunkin’ Donuts décide d’aller voir ailleurs. Seule solution pour les garder ; convaincre le grand Al Pacino de participer à leur prochaine campagne de promotion et c’est loin d’être gagné ! Coté vie privée, ce n’est guère plus réjouissant puisqu’il attend Julie (Adam Sandler), sa sœur jumelle qu’il a bien du mal à supporter. Alors qu’il fait tout son possible pour qu’elle retourne au plus vite dans le Bronx, un évènement inattendu vient changer la donne. Al Pacino a en effet eu le coup de foudre pour Julie, une aubaine pour Jack sauf que sa sœur semble totalement impassible face à cet immense comédien.

    01.jpg

    Une comédie où l’acteur principal joue un double rôle dont celui d’une femme part généralement avec un certain handicap. Certains films comme Miss Doubtfire évite de trop en faire quand au contraire un Big Mamma n’hésite pas à user et abuser de l’humour bien gras. Jack & Julie appartient à cette dernière catégorie et Adam Sandler en fait des tonnes pour essayer de nous divertir sans grands résultats. Cette comédie aurait mérité une sortie directe en vidéo mais Dieu seul sait comment, Al Pacino est venu jouer les invités vedettes et on pourra même apercevoir le célèbre Johnny Depp ou notre Gad Elmaleh ce qui a incité certains à l’exploiter au cinéma. Si vous n’avez pas de mal à supporter les comédies bien lourdes alors effectivement vous allez être servi.

     

    Il faut le voir pour : Toujours garder un œil sur les jumeaux !

  • Sex addicts

    star 01.jpg

    sex-addicts-10268_L.jpg.gif

    Depuis sa rupture avec Cynthia après une relation qui a duré 5 ans, Andy (Josh Cooke) souffre de ne plus avoir une vie sentimentale normale. Impossible pour lui désormais de coucher avec une femme lorsqu’il n’y a pas de sentiments derrière. En attendant de retrouver la compagne idéale, il s’est installé chez son pote d’enfance et collègue de travail Jerry (Greg Grunberg) qui lui ne pense pas à des futilités comme l’amour. Un soir, alors qu’Andy se promenait, il finit par entrer dans un bar où il va entendre une magnifique femme chanter. Persuadé qu’il ne faut pas la laisser filer, il la suit et découvre qu’elle est partie rejoindre un groupe très spécial. Elle s’appelle Vanessa (Odette Annable) et … c’est une accro du sexe !

    01.jpg

    Du sexe et du rire, voici donc les 2 ingrédients promis par Sex addicts pour tenter de séduire les spectateurs et je dis bien tenter ! Difficile en effet de percevoir une quelconque alchimie dans le duo formé par Josh Cooke & Greg Grunberg et le reste du film ne réussit hélas pas davantage à relever le niveau. L’idée du groupe de soutien pour accros du sexe aurait pu permettre au film de jouer bien plus la carte de l’irrévérence histoire de ne pas passer pour une énième et banale comédie. La seule consolation ce sera de se contenter de la belle Odette Annable et surtout de l’apparition en guest-star de notre pote Henry Winkler a.k.a. Arthur Fonzarelli ! Un film qui ne risque pas de faire beaucoup d’accros.

  • Millenium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes

    star 03.5.jpg

    aff.jpg

    Le 22 Septembre 1966 a changé la vie de notre pote Henrik Vanger (Christopher Plummer). Ce jour-là, Harriet (Moa Garpendal) a disparu sans laisser aucunes traces, cela fait 40 ans et pourtant chaque année pour son anniversaire, il reçoit le même cadeau offert par sa nièce. Qui s’amuse à le torturer ainsi ? C’est pour éclaircir ce mystère qu’il a décidé de faire appel au journaliste Michael Blomqvist (Daniel Craig) actuellement en plein déboire juridique. En s’installant à Hedestad et sous couvert d’écrire une biographie sur Henrik, il va découvrir une famille atypique mais le travail qui l’attend est immense et il va avoir besoin d’aide, on lui conseille alors une certaine Lisbeth Salander (Rooney Mara).

    01.jpg

    J’avoue que lorsque j’ai entendu que nos potes américains préparaient une nouvelle adaptation du désormais célèbre roman de Stieg Larsson 3 années seulement après la version suédoise, j’étais vraiment circonspect. Mais quand c’est David Fincher qui s’attelle à la réalisation ça change pas mal de chose et le résultat final est à la hauteur de ce que l’on pouvait attendre. Avec un scénario aussi habilement écrit, le réalisateur de The social network ne pouvait que s’en donner à cœur joie et Millenium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes constitue ainsi un thriller efficace et solide. Une adaptation réussie donc mais s’il faut la comparer avec la version de Niels Arden Oplev, on peut réellement s’interroger sur l’intérêt d’avoir produit aussi tôt cette nouvelle interprétation.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus laisser votre chat trainer dehors !


    En savoir plus sur Millénium, le film ?

    En savoir plus sur Millénium 2 - La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette ?

    En savoir plus sur Millénium 3 - La reine dans le palais des courants d'air ?




  • Et si on vivait tous ensemble ?

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Pas facile de vieillir ! On se découvre des problèmes de mémoire, une santé de plus en plus défaillante ou alors on se sent parfois très seul. C’est à l’occasion de l’anniversaire de Claude (Claude Rich) que nos potes d’enfance Jeanne, Annie, Albert & Jean (Jane Fonda, Géraldine Chaplin, Pierre Richard & Guy Bedos) se sont réunis et qu’a été évoqué cette idée folle de vie en communauté. Cette proposition à priori fantaisiste va cependant devenir une réalité après l’hospitalisation d’Albert et le placement de Claude en maison de repos. Après tout, ils s’entendent tous très bien et il n’y aucune raison que cela se passe mal à moins peut-être qu’une histoire vieille de 40 ans ne vienne jeter le trouble.

    01.jpg
    Ce n’est pas parce qu’on est vieux qu’on va s’arrêter de vivre ! C’est un peu la philosophie de ce film porté par son casting 5 étoiles avec entre autre les 2 stars internationales que sont Jane Fonda & Géraldine Chaplin. Et si on vivait tous ensemble ? est la photographie d’une génération un peu perdu dans une société où les personnes âgées semblent plus une gêne qu’autre chose et qui sont ainsi confinées à l’isolement. On regrettera juste que le rythme ne soit pas un peu plus soutenu bien que la présence de Daniel Brühl apporte un brin de vigueur à l'ensemble. Drôle et parfois même mordant, voici une gentille comédie qu’on appréciera tout d’abord pour ses interprètes mais qui risque tout de même de vous plomber le moral quant à votre avenir !



    Il faut le voir pour : Economiser dès maintenant pour vous faire construire une piscine si vous souhaitez voir plus souvent vos petits-enfants.

  • Les sous-doués

    star 04.jpg

    aff.jpg

    C’est intolérable ! Une fois encore le Cours Louis XIV de Versailles est la risée de la France affichant un taux d’admission au bac de 0%. Lucie Jumaucourt (Maria Pacôme), proviseur de cet établissement est bien décidée à redresser la barre quitte à employer la manière forte. L’année scolaire ne sera donc pas de tout repos pour les bacheliers même si Bébel (Daniel Auteuil) et sa bande sont bien décidés à ne pas se laisser faire. Ils vont tout mettre en œuvre pour glander tranquillement. Tout ça était vrai jusqu’à un évènement inattendu qui va les pousser à obtenir leur baccalauréat et ce par n’importe quel moyen !

    03.jpg  02.jpg  01.jpg
    Alors c’est sur ce n’est pas une comédie exempte de toutes reproches mais elle est restée culte pour toute une génération de spectateurs par la richesse de ses gags. C’est un peu comme si on retrouvait la bande des Bronzés en salle de classe et chaque rediffusion à la télévision fait aujourd’hui encore des millions d’heureux. Comment ne pas éclater de rire devant ces cancres et surtout face à l'imagination débordante dont ils font preuve pour passer les épreuves du bac ; des idées qui en ont peut-être inspiré certains d’entre vous ! Les sous-doués sont donc sans aucun doute entrés dans la légende du cinéma français, une référence en termes de comédie à mes yeux en tout cas.



    La scène à ne pas louper : La machine à claques !

  • La vérité si je mens 2

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Rien ne va plus dans le Sentier et notre pote Eddy (Richard Anconina) l’a compris à ses dépens et maintenant il souhaite développer son business auprès de la grande distribution. C’est en compagnie d’Yvan (Bruno Solo) qu’il est allé prospecter auprès de M. Vierhouten (Daniel Prévost), Directeur des achats de la chaine Euro Discount mais ce qu’il croyait être une belle opportunité va s’avérer être une belle arnaque. Pendant ce temps, Serge (José Garcia) a rencontré le grand amour en la personne de Chochona Boutboul (Elisa Tovati) mais pour la séduire, il a un peu enjolivé la vérité avec l’aide involontaire de son cousin Patrick (Gilbert Melki).

    01.jpg
    Avec le succès qu’a rencontré le premier épisode, il était presque naturel de voir apparaitre un second épisode et la bonne nouvelle c’est qu’on retrouve presque toute l’équipe. Presque oui car Vincent Elbaz laisse sa place à Gad Elmaleh en dehors de ça la bande potes est au complet et la vérité, la bonne humeur est toujours au rendez-vous ! Bon l’effet de surprise n’est plus là mais pour compenser on a droit à un Serge Benamou déchainé et qui éclipserait presque ses petits camarades. La vérité si je mens 2 est une comédie digne de son prédécesseur, le seul reproche c’est que les personnages féminins finissent par faire de la simple figuration.



    La scène à ne pas louper : Le passage sous le tunnel !


    En savoir plus sur La vérité si je mens ?

    En savoir plus sur La vérité si je mens 3 ?

  • Ici bas

    star 01.jpg

    aff.jpg

    Plongé en plein cœur de la Seconde Guerre Mondiale et de l’occupation allemande, la France vit une des heures les plus sombres de son histoire. Autrefois prêtre, notre pote Martial (Eric Caravaca) a pris une décision lourde de conséquence en délaissant sa soutane pour revêtir l’habit de résistant ; un nouveau rôle qui n’est pas sans danger. Lors d’une mission, il se retrouve touché par une balle et en réchappe de justesse grâce notamment aux soins prodiguées par Sœur Luce (Céline Sallette). Pour cette dernière, la rencontre avec cet homme va être déterminante ; elle est totalement subjuguée par lui et est même prête à tout abandonner pour le rejoindre mais les sentiments sont-ils réellement réciproques ?

    01.jpg
    Bon je sais bien que le cinéma français a fait de beaux progrès ces dernières années mais quand je me retrouve devant Ici bas, je me croirais revenir dans les années 1990. Tout semble concourir pour que ça ait l’air vieillot alors forcément la différence est juste flagrante avec des productions plus modernes. Cet aspect finit donc par prendre le pas sur une histoire plutôt correcte inspirée d’un véritable fait-divers et servie par une double interprétation de qualité mais ça n’empêche pas que ce soit en compagnie d’un profond ennui qu’on va passer toute la séance. Si le fait de voir un espèce de téléfilm digne du dimanche après-midi de France 3 ne vous rebute pas alors peut-être vous laisserez-vous tenter.



    Il faut le voir pour : Ne jamais tromper une bonne soeur !

  • L’amour dure trois ans

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Son premier mariage s’est soldé par un véritable fiasco et notre pote Marc Marronnier (Gaspard Proust) n’a eu d’autres choix que d’augmenter à son tour les statistiques du divorce. Il ne fallait donc surtout plus parler d’amour à cet écrivain et pourtant c’est ce même thème qui va inspirer son futur succès en librairie L’amour dure trois ans. Son livre dresse un constat plutôt pessimiste des relations sentimentales et si vous deviez demander l’avis d’Alice (Louise Bourgoin), elle irait même jusqu’à vous dire que l’auteur de ce bouquin fait preuve d’une misogynie maladive. On comprend mieux pourquoi  Marc qui s’est épris d’elle fait tout pour lui cacher sa véritable identité mais la vérité finira bien par éclater au grand jour !

    01.jpg
    On le voyait déjà partout et voilà qu’il se décide de se lancer dans la carrière de réalisateur, Frédéric Beigbeider signe là une comédie sentimentale hélas sans grande passion. Difficile d’imposer sa patte dans un genre déjà bien encombré, l’écrivain tente bien quelques fantaisies mais rien qui ne permette à l’adaptation de son roman hautement autobiographique de marquer nos esprits. Il s’est trouvé un bon alter-ego en la personne de Gaspard Proust même si celui-ci se laisse parfois effacer par ses camarades de jeu d’un casting assez hétérogène. L’amour dure trois ans ne réussit donc pas à nous séduire outre-mesure, on dira juste que pour une première réalisation ça tient la route pour notre pote Beigbeider.



    Il faut le voir pour : S’interroger sur votre couple avant de fêter votre 3ème anniversaire !

  • City of crime

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Un motel à Palm Springs. C’est là que se sont donnés rendez-vous nos potes Roy, Lee & Jorge (Harvey Keitel, Timothy Hutton & Wade Dominguez) et ils ne sont pas venus faire du tourisme ! Un tuyau les a informés qu’il y avait un beau coup à réaliser : une bijouterie reçoit chaque mois une livraison exceptionnelle de diamants, de quoi assurer leurs vieux jours. L’équipe n’est pas encore au complet puisqu’ils attendent l’arrivée de Skip (Stephen Dorff) qui doit ramener les armes et qui est également leur chauffeur. Leur plan se déroule sans encombres sauf que ce vieux Skip a décidé de se la jouer solo et abat froidement ses partenaires, seul Roy est parvenu à s’enfuir et il a bien l’intention de régler ses comptes.

    01.jpg
    Plus tout jeune ce film de John Irvin sorti en 1997 et cela s’en ressent. Le concept est simple ; le braquage d’une bijouterie, une trahison et une vengeance, un plat qui se mange toujours froid. Froid, on le restera devant ce City of crime ; quand on a droit à quelques scènes d’action celles-ci sont relativement pauvres et la seule séquence marquante reste cet "éclatage de gueule" initié par Keitel sur ce pauvre Stephen Dorff. Pour l’anecdote on notera aussi les participations discrètes de Famke Janssen et celle encore plus modeste de Lucy Liu qui décrochaient ici un de leurs premiers rôles au cinéma. Un film qui n’a donc rien de l’indispensable.

  • Dubaï Flamingo

    star 0.jpg

    aff.jpg

    Drôle de surprise au réveil pour notre pote Vincent (Sergi Lopez). Sa femme Livia (Florence Thomassin) avait disparu de la chambre, commence alors une étrange d’aventure qui va le conduire auprès de Jackie (Vanessa Paradis). Pour cette dernière aussi c’est une journée difficile puisqu’elle vient de perdre son loup et qu’elle est bien décidée à lui rendre un dernier hommage en l’enterrant au cimetière des loups accompagné d’un certain Victor Hugo (Pratheen Ramalingam). Tous trois prennent donc la route et se dirige vers le Nord du pays mais la recherche s’annonce particulièrement ardue et pleine de surprises !

    01.jpg
    Attention, on tient peut-être déjà là l’ovni de l’année 2012 et cela n’a pas vraiment le sens d’un compliment. Un couple au bord des larmes pour avoir remporté une assiette de frites, une chèvre qui parle, une femme de ménage qui balaie le désert ou encore une paire de lunettes super filtrantes voici un avant-gout du paysage fantasmagorique de Dubaï Flamingo. Complètement décalé, la majorité des spectateurs vont sans doute rester au bord de la route et laisser cette belle bagnole customisées filer toute seule. A l’image de la première scène, c’est étrange et la curiosité laisse vite place à un profond ennui qui se limite heureusement à 1H24 malgré les présences de Vanessa Paradis et de Sergi Lopez !



    Il faut le voir pour : Apprendre à "tuner" une voiture !