Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

isabelle huppert

  • Une jeunesse dorée

    star 01.5.jpg

    AFF.jpg

    A 17 ans, Rose (Galatea Bellugi) a été autorisée à vivre avec Michel (Lukas Ionesco) à condition de suivre des cours dans une école de pâtisserie. Une fois installée dans la capitale, la jeune femme passe plutôt son temps à boire et faire la fête et, avec ses potes d’enfance, vous pouvez être à peu près sûr de les retrouver dans les folles soirées du Palace. C’est durant une de ces nuits que Lucille (Isabelle Huppert) s’entiche de Michel, elle veut aider ce peintre à s’affirmer à travers son art, chose qu’apprécie modérément Rose. Hubert (Melvil Poupaud), le compagnon de Lucille va lui aussi se mêler l’histoire et ce quatuor va alors passer pas mal de temps ensemble.

    01.jpg

    Voilà un film qui ne vous laissera pas indifférent à plus d’un titre ! D’abord, parce qu’il se dégage du film une atmosphère libertine (ce qui n’est pas déplaire à certains, oui je parle de toi là !), on est par contre moins à l’aise devant le mauvais jeu d’acteur pour certains personnages. Malheureusement, dès les premiers instants du film, on sent que Galatea Bellugi peine à trouver ses marques et c’est loin de s’arranger par la suite. On n’est pas davantage convaincu par Lukas Ionesco si bien que le tandem Isabelle Huppert / Melvil Poupaud essaye tant bien que mal de sauver les meubles. Si on peut accorder à Une jeunesse dorée d’avoir su plus ou moins bien retranscrire l’atmosphère d’une époque insouciante, cela ne nous empêche pas d'être assommé par la médiocrité des premiers rôles.

     


    Il faut le voir pour : Vous justifier que si vous ne faites pas la vaisselle, c’est parce que vous êtes un artiste !

  • Asphalte

    star 03.jpg

    AFF1 (2).jpg

    Les habitants de l’immeuble n’avaient plus le choix, il fallait remplacer l’ascenseur seulement notre pote M. Sternkowitz (Gustave Kervern) n’en a pas l’utilité puisqu’il habite au 1er étage. Finalement, il n’aura pas à le payer mais s’engage aussi à ne pas l’utiliser ce qui risque d’être difficile puisqu’il va se retrouver dans un fauteuil roulant ! Dans les étages supérieurs, Charly (Jules Benchetrit) va faire connaissance avec sa nouvelle voisine Jeanne Meyer (Isabelle Huppert) qui s’avère être une ancienne comédienne. De son coté, Mme Hamida (Tassadit Mandi) va recevoir une drôle de visite, pas une rencontre du 3ème type mais presque.

    01.jpg

    Entre 2005 et 2010, il avait écrit Les chroniques de l'asphalte et c'est notre pote Samuel Benchetrit himself qui s'est chargé de l'adaptation. On a d’abord une sorte de film choral à l’échelle d’un petit immeuble de cité avant que des duos aussi atypiques qu’attachants ne se forment. Il y aura une tendresse particulière à l’encontre de la formidable Tassadit Mandi (elle m’éclate quand elle sort son "mange" à l’américaine) et de l’astronaute Michael Pitt. On s’amuse aussi en compagnie des deux autres tandems avec notamment les débuts remarqués de Jules Benchetrit, fils du réalisateur. Décalé et drôle, Asphalte est sans conteste une belle découverte !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas hésiter à participer aux frais de l’ascenseur de votre immeuble !

  • La ritournelle

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Et encore une nouvelle victoire pour notre pote Xavier (Jean-Pierre Darroussin), cet agriculteur sait prendre soin de ses vaches qui le lui rendent bien. De son coté, sa femme Brigitte (Isabelle Huppert) est préoccupée par les plaques rouges apparaissant sur sa poitrine ce qui va la pousser à prendre rendez-vous chez un dermatologue. Elle quitte ainsi sa Normandie pour 2 jours mais en arrivant dans la capitale, elle cherche d’abord à revoir Stan (Pio Marmaï), un jeune homme qu’elle a rencontré quelques jours auparavant lors d’une soirée donnée chez ses voisins. La petite bergère semble avoir envie d’aventures et Xavier va l’apprendre bien malgré lui.

    01.jpg

    Si notre pote Marc Fitoussi s’est lancé dans une comédie romantique avec La ritournelle, il le fait de façon plutôt décalé puisque les héros sont ici un couple d’agriculteurs. De là on assiste au besoin de fraicheur d’une délicieuse Isabelle Huppert, un sentiment de liberté qui ne pouvait pas mieux prendre forme que par un voyage dans la ville lumière. Derrière cette légèreté apparente, l’histoire prend une tournure différente avec une révélation sur le couple Brigitte / Xavier traitée avec une grande pudeur. Il ne faut pas se mentir ce n’est pas le film qui va forcément attirer les spectateurs mais une fois qu’on est devant le charme agit malgré de toutes petites longueurs.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à différencier le Rumsteack du Tournedos mais pas la peine d’en faire un esclandre !

  • La ritournelle

    Mariée à Jean-Pierre Darroussin, notre pote Isabelle Huppert a besoin de changement et c'est pourquoi elle a soudainement décidé de quitter sa Normandie. C'est dans La ritournelle et à Paris qu'on la retrouve, la ville lumière où elle va faire une rencontre qui pourrait tout changer.

    Date de sortie : 11 Juin 2014.

  • Tip Top

    star 01.5.jpg

    aff.jpg

    Tout commence lorsqu’on a découvert le corps sans vie de Farid Bénamar (Meziane Senane) sur une butte de Villeneuve près de Lille. Il s’agissait d’un indic de la police et l’on cherche évidemment à comprendre les circonstances de sa mort aussi Esther Lafarge (Isabelle Huppert) est envoyée sur place pour en apprendre davantage et elle pourra compter sur l’aide de Sally Marinelli (Sandrine Kiberlain). Mais quand la police des polices débarque à Villeneuve, ça commence à inquiéter certaines personnes comme Robert Mendes (François Damiens) qui n’a vraiment pas besoin qu’on vienne fouiner dans ses affaires.

    01.jpg

    Autant vous prévenir immédiatement, ce film de Serge Bozon librement inspiré du roman de Bill James est totalement décalé. Sandrine Kiberlain joue les mateuses, Isabelle Huppert aime son sang et dort avec son marteau de chevet et François Damiens se ballade dans ce joyeux bordel ; voici un échantillon de ce que peut vous réserver Tip Top. Avec tout ça, on a bien un fil conducteur qui tourne autour de la disparition de l’indic mais il faut bien reconnaitre qu’avec ses multiples facéties on est plus d’une fois largué par l’histoire. Reste que le film est suffisamment imprévisible peut-être pas pour nous accrocher mais conserver un peu d’intérêt jusqu’à cette conclusion brute.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier que personne ne vous mate par la fenêtre !

  • Dead man down

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Animé par la vengeance, notre pote Victor (Colin Farrell) est déterminé à tuer Alphonse Hoyt (Terrence Howard). Cela fait des mois qu’il s’est infiltré dans le gang de ce dernier gagnant peu à peu sa confiance et bientôt il pourra passer à l’acte pour rendre sa justice et honorer ainsi la mémoire d’une femme et d’une fille disparues. Il n’avait par contre pas imaginé qu’une de ses voisines le surprendrait alors qu’il se débarrassait d’un élément gênant. A sa grande surprise, Béatrice (Noomi Rapace) n’a pas l’intention de le dénoncer mais veut faire appel à ses services pour éliminer un homme ; celui qui a provoqué un accident de la route et qui l’a défiguré.

    01.jpg

    Avant même que le film démarre, s’immisce un terrible doute avec Dead man down. C’est en effet en apercevant le célèbre logo des studios WWE (pour l’anecdote, on aperçoit le british Wade Barrett) que j’ai vite réalisé que ce film ne risquait pas de voler bien haut et ba vous savez quoi, les premières impressions sont toujours les bonnes ! L’espoir résidait toutefois dans le générique puisque Niels Arden Oplev, réalisateur du Millénium suédois retrouve Noomi Rapace accompagnée de Colin Farrell mais aussi notre Isabelle Huppert nationale. La déception reprend vite le dessus à cause de son scénario peu palpitant et ce ne sont pas les scènes d’action sans panache qui vont nous consoler, on va vite l’oublier !

     

    Il faut le voir pour : Penser à rendre les Tupperwares, ce n’est pas un cadeau qu’on vous fait !

  • La religieuse

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Dès son adolescence, notre pote Suzanne (Pauline Etienne) a su qu’elle n’aimerait qu’un homme et un seul : Dieu. Alors que ses 2 grandes sœurs ont choisi le mariage, elle décide de rentrer dans les ordres mais avec le temps viennent les premiers doutes qui vont par la suite se transformer en certitudes : elle veut retrouver une vie normale ! Malgré les volontés de ses parents, Suzanne quitte ainsi le couvent et c’est à son retour chez elle que sa mère lui dévoile une stupéfiante vérité. Un bouleversement tel qu’elle acceptera de reprendre ses habits de sœur mais l’attendent encore de nombreuses épreuves.

    01.jpg

    Déjà l’heure est à la confession, la religion est certainement un des thèmes qui me désintéressent le plus alors le film de Guillaume Nicloux partait déjà sur de mauvaises bases. Inspiré d’un roman de Denis Diderot, on y suite le parcours de la jeune Suzanne qui est par ailleurs magnifiquement interprété par Pauline Etienne rendant ainsi La religieuse un peu plus digeste. En dehors de cette petite lueur de lumière c’est un portrait qui, même s’il ne suscite pas l’ennui, a de quoi laisser indifférent même si les apparitions d’Isabelle Huppert & Louise Bourgoin viennent apporter un peu d’animation. Tout simplement un film qui m’échappe déjà par son sujet.

     

    Il faut le voir pour : Prendre une religieuse à la prochaine visite à la boulangerie !

  • Amour

    star 03.jpg

    2535282206.17.jpg

    C’est une retraite paisible que vivent nos potes Anne & Georges (Emmanuelle Riva & Jean-Louis Trintignant) mais du jour au lendemain, leur quotidien ne sera plus jamais le même. Tout a commencé un matin alors qu’ils prenaient leur petit-déjeuner ; sans s’en rendre compte Anne est resté figée imperméable aux interpellations de son mari. Le verdict tombe implacablement quelques jours plus tard, elle est atteinte d’un cancer et la maladie ne cessera d’empirer. Conséquence de ce mal, elle est entièrement paralysée du coté droit et doit désormais se déplacer dans un fauteuil roulant et avec l’aide de Georges. Ce dernier assiste impuissant aux souffrances de sa femme.

    01.jpg

    Paré de sa Palme d’or glanée au Festival de Cannes 2012, ce film de Michael Haneke divisera une fois encore les critiques. D’un coté, il faut bien se dire qu’il ne se passe quasiment rien au niveau de l’histoire ; on est les témoins du parcours difficile d’un couple de retraités au cœur d’un combat contre la maladie. Là où on pourra trouver un point d’accord c’est concernant les prestations conjuguées d’Emmanuelle Riva et de Jean-Louis Trintignant qui sont tous deux poignants dans leurs rôles. Cet Amour ne frappera donc pas tout le monde de la même façon ; on pourra aussi bien le considérer comme une longue agonie cinématographique ou comme le chef d’œuvre annoncé.

     

    Il faut le voir pour : Laisser les pigeons entrer chez vous.

  • Dubaï Flamingo

    star 0.jpg

    aff.jpg

    Drôle de surprise au réveil pour notre pote Vincent (Sergi Lopez). Sa femme Livia (Florence Thomassin) avait disparu de la chambre, commence alors une étrange d’aventure qui va le conduire auprès de Jackie (Vanessa Paradis). Pour cette dernière aussi c’est une journée difficile puisqu’elle vient de perdre son loup et qu’elle est bien décidée à lui rendre un dernier hommage en l’enterrant au cimetière des loups accompagné d’un certain Victor Hugo (Pratheen Ramalingam). Tous trois prennent donc la route et se dirige vers le Nord du pays mais la recherche s’annonce particulièrement ardue et pleine de surprises !

    01.jpg
    Attention, on tient peut-être déjà là l’ovni de l’année 2012 et cela n’a pas vraiment le sens d’un compliment. Un couple au bord des larmes pour avoir remporté une assiette de frites, une chèvre qui parle, une femme de ménage qui balaie le désert ou encore une paire de lunettes super filtrantes voici un avant-gout du paysage fantasmagorique de Dubaï Flamingo. Complètement décalé, la majorité des spectateurs vont sans doute rester au bord de la route et laisser cette belle bagnole customisées filer toute seule. A l’image de la première scène, c’est étrange et la curiosité laisse vite place à un profond ennui qui se limite heureusement à 1H24 malgré les présences de Vanessa Paradis et de Sergi Lopez !



    Il faut le voir pour : Apprendre à "tuner" une voiture !

  • Mon pire cauchemar

    aff.jpg

    Leur première rencontre n’a pas été des plus cordiales et quelle ne fut pas la surprise d’Agathe (Isabelle Huppert) lorsqu’elle a vu Patrick (Benoit Poelvoorde) sonner à sa porte. Il faut dire qu’il s’agit là d’un sacré personnage qui n’a pas la langue dans sa poche et on s’étonne souvent du contraste qu’il y a avec son fils Tony (Corentin Devroey), véritable petit génie. Le hasard fait que ce dernier est un pote d’enfance d’Adrien (Donatien Suner), fils d’Agathe et de François (André Dussolier) et ça va être le début d’une longue histoire. Patrick est engagé pour faire des travaux dans l’appartement mais sa présence n’a pas l’air d’enchanter tout le monde.

    01.jpg

    Entre la réalisatrice Anne Fontaine et Benoit Poelvoorde, le courant semble merveilleusement bien passer puisque Mon pire cauchemar marque leur 3ème collaboration. Le belge forme cette fois un duo avec Isabelle Huppert qui se glisse avec une aisance considérable dans la peau de cette bourgeoise coincée. Reste ensuite à la comédie de dérouler son histoire et aux personnages de dévoiler leurs caractères malheureusement on ne se marre pas beaucoup, le couple Poelvoorde / Huppert est sympathique mais l’alchimie n’est pas là. Quant à celui formé par Efira / Dussolier, il ne réussit pas plus à rattraper le coup pour ce film au final assez mièvre.   

     

    Il faut le voir pour : Inviter votre copine à passer la soirée chez Ikea sans oublier un diner avec boulettes !