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Ciné2909 - Page 191

  • La naissance de l’incroyable Hulk

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    David Banner (Bill Bixby) a échappé de peu à la mort après un terrible accident de la route qui aura toutefois couté la vie à sa compagne Laura (Lara Parker). Depuis cette tragédie, il continue de faire de nombreux cauchemars ce qui inquiète sa pote d’enfance et collègue Elaina (Susan Sullivan). Tous deux font actuellement des recherches et s’intéressent notamment à la force physique que les humains sont capables de déployer dans les situations les plus extrêmes. Une force qui lui aurait permis de sauver Laura et c’est pourquoi il est obnubilé par cette découverte jusqu’à prendre des risques considérables. David décide en effet de s’exposer volontairement aux rayons Gamma mais il ignore que cela va le transformer en un immense monstre vert ; l’incroyable Hulk.

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    Bien avant les films d’Ang Lee et de Louis Leterrier, vous n’êtes pas sans savoir que le monstre vert de chez Marvel Comics a eu droit à sa série télévisée. La naissance de l’incroyable Hulk est donc un téléfilm et le point de départ des aventures de David Banner interprété par le regretté Bill Bixby et son alter ego Lou Ferrigno. Evidemment, ça n’a rien à voir avec les récentes adaptations au cinéma, les effets spéciaux les plus impressionnants ici étant de voir Bixby avec des lentilles vertes. Le look de Hulk vous fera également bien sourire notamment au niveau capillaire mais les fans de comics et les plus nostalgiques et d’entre vous ne rechigneront pas à (re)-voir les incroyables aventures d’Hulk !


    En savoir plus sur L'incroyable Hulk ?

  • Parlez-moi de vous

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    C’est un rendez-vous immanquable pour de nombreux auditeurs, à 21 heures la radio s’allume pour assister à l’émission de Mélina (Karin Viard). C’est une libre-antenne où elle aborde bon nombre de sujets mais surtout où elle prodigue de précieux conseils, des conseils qu’elle devrait peut-être suivre. En effet, dans l’intimité elle s’appelle Claire Martin et souffre d’une profonde blessure : celle de n’avoir jamais connu sa mère. Aujourd’hui, après de nombreuses recherches, elle a enfin retrouvé sa trace en banlieue parisienne. Elle s’appelle Jaëlle (Nadia Barentin) et est à la tête d’une nouvelle famille ; de peur de révéler sa véritable identité, Claire va jouer les bénévoles pour approcher celle qui hante ses pensées.

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    Ça n’est peut-être qu’une impression personnelle mais au cours de ses dernières années, Karin Viard semble de plus en plus s’imposer comme une figure incontournable du cinéma français. Déjà savoureuse dans Ma part du gâteau, on la retrouve une nouvelle fois dans un rôle sur mesure où elle se glisse dans la peau d’une femme à la recherche d’une mère qu’elle n’a jamais connu. Animatrice populaire la nuit, elle se transforme ensuite en une femme solitaire à la vie complètement aseptisée et à l’affut du moindre microbe ce qui donne quelques jolis moments de rigolade. Si ce personnage sait nous séduire, on attendait davantage des retrouvailles avec cette mère qui auraient du être le point d’orgue du film. Parlez-moi de vous reste néanmoins un bon moment de cinéma.



    Il faut le voir pour : Toujours nettoyer avant de vous asseoir !

  • 10 jours en or

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    Beau parleur et séducteur devant l’éternel, notre pote Marc (Franck Dubosc) était voué à devenir commercial et d’ailleurs chez Man, c’est un excellent élément. C’est au cours de sa tournée qu’il fait une rencontre pour le moins particulière, celle de Marie (Tatiana Rojo) avec qui il va terminer la soirée. Une autre surprise l’attend au réveil puisqu’en partant à la recherche de la jeune femme, il tombe nez à nez avec un petit garçon du nom de Lucas (Mathis Touré). Marie, sa mère, se trouve en effet sous la menace d’un arrêté de reconduite à la frontière et a ainsi confié le destin de son fils à Marc. Individualiste et égoïste, le commercial se retrouve dans une drôle de situation et n’a d’autres choix que de ramener Lucas auprès de son père dans le sud de la France.

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    On savait Dubosc populaire en tant que comique, on avait beaucoup moins l’occasion de le découvrir dans des rôles plus dramatiques. 10 jours en or est un road-movie qui rassemble une galerie de personnages assez atypiques entre la jeune femme qui parle plus vite qu’elle ne pense et un grand-père adepte du canard WC mais tous sont unis par une profonde solitude. On retrouve du mec très égoïste qui va finir par se transformer au contact d’un enfant, le déroulement de l’histoire est malheureusement un peu trop classique. Il n’y a rien qui puisse donner un peu de caractère à ce film pas même la première prestation plus que correcte du petit Mathis Touré, aussi vite vu qu’oublié !



    Il faut le voir pour : Ne pas oublier d’acheter un siège rehausseur pour vos enfants !


    Découvre le film Dans la peau de Marc !

  • Marley & moi 2

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    Notre pote Bodi Grogan (Travis Turner) s’est vu confier la garde provisoire de Marley et il en est très heureux au point qu’il aimerait désormais lui aussi avoir un chien. Avant cela, il devra convaincre sa mère qu’il est assez responsable pour s’en occuper et puis surtout qu’il est capable de le dresser. Parce que sa mère doit s’absenter dans le cadre de son travail, Marley et lui sont donc recueillis par Fred (Donnelly Rhodes), le grand-père de Bodi et ils ne vont pas s’ennuyer. Ils entendent en effet parler du championnat des bébés chiens et c’est l’occasion ou jamais de faire ses preuves ! Il parvient à trouver 2 autres labradors d’une voisine et se lance dans un rigoureux entrainement car il faudra bien ça pour battre Hans (Alex Zahara) et son Woof gang.

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    Comment détruire le souvenir d’un film émouvant … Je vous l’accorde Marley & moi n’était pas du grand cinéma mais c’était tout de même un bon et respectable divertissement familial capable de vous tirer une petite larme des yeux. Voilà donc qu’ils ont eu la mauvaise idée d’en faire une suite et surtout d’en faire un pathétique film où nos potes à 4 pattes se voient doter de parole à l’instar de la saga des Toutous de chez Disney. Aucun rapport avec son prédécesseur donc en dehors d’une rapide allusion au couple vedette que vous n’apercevrez évidemment pas, Marley & moi 2 pourra à peine contenter les moins de 7 ans sauf si ceux-ci préfèrent aller jouer avec leur chien et franchement on ne leur en voudra pas !

     

    En savoir plus sur Marley & moi ?

  • The darkest hour

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    Avec leur idée de réseau social conçu spécialement pour les globe-trotters du monde entier, nos potes Sean & Ben (Emile Hirsch & Max Minghella) sont certains que la gloire leur tend les bras. C’est d’ailleurs pour présenter leur projet qu’ils se rendent à Moscou mais une fois arrivés, ils ont la mauvaise surprise de constater que leur idée leur a été dérobée. C’est donc dans un bar qu’ils vont noyer leur chagrin et leur moral remonte légèrement lorsqu’ils croisent Natalie & Anne (Olivia Thirlby & Rachael Taylor). Alors que la soirée suivait tranquillement son cours, une panne d’électricité générale vient perturber les fêtards et lorsqu’ils sortent, ils aperçoivent de nombreux points de lumières descendant du ciel. Ils n’en n’ont pas encore conscience mais l’humanité vit peut-être ses dernières heures !

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    L’histoire d’aliens qui débarquent sur notre planète pour nous massacrer et nous piquer nos ressources naturelles, on y a droit quasiment chaque année et The darkest hour ne risque pas de marquer sa différence. Le scénario est vite expédié, tout l’intérêt reposant sur les combats entre les survivants et ces espèces de pieuvres aussi lumineuses qu’une guirlande de noël. C’est donc du rabâché et il n’y a hélas rien pour nous satisfaire pas même une version 3D inexistante ; que ce soit du déjà-vu ok mais au moins mettez-y un peu de fun que diable ! Même en le considérant au 2nd degré, on a du mal à rester attentif devant ce film qui aurait bien mérité d’atterrir directement en DVD et encore !



    Il faut le voir pour : Attacher une ampoule autour de votre cou quand vous sortez le soir.

  • Louise Wimmer

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    Chaque jour qui passe est une véritable épreuve pour notre pote Louise Wimmer (Corinne Masiero) qui se retrouve actuellement dans une situation difficile. Cela fait 6 mois que son dossier traine et qu’elle attend de se voir attribuer un logement décent et jusque-là elle a élu domicile dans sa voiture. La vie au quotidien est éprouvante ; pour se nourrir elle guette les clients sur le départ au restaurant et pour la toilette, elle se rend dans les stations-services. Son travail de femme de ménage ne lui permet malheureusement pas à se sortir de cette spirale infernale. Louise est criblée de dettes et se demande si elle entreverra un jour le bout du tunnel.

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    Louise Wimmer constitue certes le portrait d’une femme tombée dans les affres de la précarité mais c’est aussi et surtout une photographie réaliste de notre société contemporaine. Au-delà du triste sort réservé à notre héroïne c’est en effet aussi l’occasion de découvrir un environnement hostile où l’individualisme et l’égoïsme des uns et des autres prend le pas. Louise est une femme qui refuse la pitié et est représentative d’une frange de la population plongée dans la misère mais qui fait tout son possible pour préserver les apparences perpétuellement à la recherche d’une bouée de sauvetage. Tout repose donc sur la comédienne Corinne Masiero plus habituée au théâtre qui se voit proposer là son premier grand rôle sur le grand écran et qui mériterait largement d’enchaîner avec d’autres.



    Il faut le voir pour : Penser à investir dans un Espace, on ne sait jamais ce qui peut arriver.

  • La cité de la peur

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    Sortie dans une complète indifférence, Red is dead est promis à un désastreux avenir malgré les efforts de l’attachée de presse Odile Deray (Chantal Lauby). Un drame va cependant lui redonner le sourire puisque son projectionniste est retrouvé assassiné et il aurait été tué par un marteau et une faucille comme le monstre du film ! Les médias commencent donc à s’intéresser à ce drôle de fait-divers et Odile décide de profiter de l’engouement pour participer au Festival de Cannes. Elle réussit également à faire venir l’acteur vedette Simon Jérémi (Dominique Farrugia) et vu le danger qui plane au-dessus de leurs têtes, elle va demander une protection rapprochée assurée par l’unique Serge Karamazov (Alain Chabat).

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    Premier et unique film de Les Nuls, La cité de la peur est une de nos références en matière de comédie française. Evidemment, il faut être adepte de leur esprit profondément absurde et dès lors c’est une cascade de rires qui nous est offerte. Les répliques cultes se ramassent à la pelle, des guests-stars (Eddy Mitchell, Tchéky Karyo ou Jean-Pierre Bacri) sont invités à se faire massacrer et on a même droit à l’apparition du regretté Bruno Carette dans la peau du célèbre pétomane Misou-mizou. A cela s’ajoute plein de références à des films comme Terminator, Basic Instinct ou bien encore Pretty woman. Le genre de film que 1000 personnes pourraient voir 1 fois … non qu’1 personne pourrait voir 1000 fois … bon bref cultissime !!



    La scène à ne pas louper : La poursuite du tueur par un Serge Karamazov ballonné !

  • Pigs

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    Elle s’appelle Gabrielle Xeropolous (Melanie Marden) et est devenue le centre d’attention de nombreux mecs. Oui c’est vrai qu’elle est d’une beauté renversante et pourtant l’intérêt de ces garçons se porte sur tout autre chose : un pari ! Miles (Jefferson Brown) est un beau gosse et il s’est spécialisé dans les relations à durée déterminée ce qui a donné une idée saugrenue à ses potes d’enfance. Au vu de son succès phénoménale auprès de la gente féminine, un pari est lancé : il devra coucher avec 26 filles dont les noms correspondent à l’alphabet. Certaines lettres passent plus facilement que d’autres et vient alors le tour du X !

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    Le sexe c’est toujours un thème qui marche au cinéma alors il suffit de trouver un scénario aussi bancal soit-il pour faire un film. Il aura suffit de réciter son alphabet pour trouver la trame de Pigs où un groupe de mecs jouent les parieurs sur les performances disons de séduction d’un de leur pote d’enfance pour se divertir un peu. Evidemment, il y a des mecs qui n’hésitent pas à prendre les femmes pour des objets et un autre gars offusqué par ce comportement néandertalien bref, vous connaissez déjà la chanson. A l’image du scénario, voilà donc un teen movie relativement affligeant qui ne trouvera aucun intérêt à vos yeux à moins de vouer un culte à la médiocrité.

  • Les acacias

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    Une longue route attend notre pote Rubén (Germán De Silva) ; il doit transporter du bois du Paraguay vers l’Argentine soit 1500 km de bitume. A cette occasion, on lui a demandé de rendre service à Jacinta (Hebe Duarte) car elle aussi doit se rendre à Buenos Aires pour rejoindre sa famille mais le routier n’avait pas entendu parler d’un bébé, la petite Anahi (Nayra Calle Mamani). Malgré cette surprise, il accepte d’accompagner cette femme mais il se sent vraiment mal à l’aise et songe plus d’une fois à les abandonner ou encore à les inviter à continuer leur route en car. Finalement, Rubén se laisse attendrir par l’enfant mais également par l’histoire de Jacinta et sans réellement s’en rendre va se laisser séduire par cette courageuse mère.

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    Road-movie à la sauce sud-américaine, Les acacias est vraiment une belle découverte, un de ses films qui vous redonne le sourire à la sortie de la salle. Les personnages sont attachants à commencer par Rubén, un homme qu’on perçoit comme quelqu’un d’assez rugueux mais qui va finir par briser sa carapace sous le regard attendrissant de l’adorable Anahi. Si d’apparence ce film ne dévoile pas grand-chose, il se révèle autrement plus riche à travers les silences et les regards échangés avec une intensité accrue par la proximité de ses protagonistes. Simplicité et sincérité caractérisent ce 1er film de Pablo Giorgelli qui constitue la parfaite surprise du moment et le petit Coup de coeur Ciné2909 !


    Il faut le voir pour : Penser à se mettre au covoiturage ou plutôt au cocamionage !

  • Take Shelter

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    Ces derniers temps notre pote Curtis (Michael Shannon) peine à trouver la paix dans son sommeil, il fait régulièrement des cauchemars. Il voit apparaitre à l’horizon une énorme tornade qui ne présage rien de bon et cela s’accompagne par une étrange pluie jaune. Il y a également cette vision où son chien perturbé par la tempête s’est mis soudainement à l’attaquer. Ces cauchemars vont totalement bouleverser sa vie familiale ; sa femme Samantha (Jessica Chastain) et sa fille assistent à de drôles de réactions notamment lorsque Curtis se met en tête de réaménager l’abri situé dans le jardin. Une autre question se pose ; son mari a-t-il vraiment toute sa tête sachant que sa mère a été placée dans un institut spécialisé quand on lui a diagnostiqué qu’elle était atteinte de folie.

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    Une famille tout ce qu’il y a de plus ordinaire et un homme qui commence à perdre les pédales ; certains diront qu’il y a comme des airs de Shining. Alors c’est vrai qu’esthétiquement Take Shelter est vraiment impressionnant et que Michael Shannon a certainement trouvé son meilleur rôle par contre on ne peut pas en dire autant du rythme du film. Qu’il est difficile de ne pas trouver le temps long ! Ce qui s’apparentait alors comme un tortueux thriller psychologique devient alors un énième film contemplatif malgré la présence de la désormais indispensable Jessica Chastain (qui les collectionne après The tree of life). Potentiel très intéressant mais une fois de plus on est largué et contre ça il n’existe malheureusement pas d’abri !


    Il faut le voir pour : Arreter d'harceler votre mari pour qu'il fasse les travaux, sinon vous voyez ce qui vous attend !