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michael jai white

  • City of crime

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    Un motel à Palm Springs. C’est là que se sont donnés rendez-vous nos potes Roy, Lee & Jorge (Harvey Keitel, Timothy Hutton & Wade Dominguez) et ils ne sont pas venus faire du tourisme ! Un tuyau les a informés qu’il y avait un beau coup à réaliser : une bijouterie reçoit chaque mois une livraison exceptionnelle de diamants, de quoi assurer leurs vieux jours. L’équipe n’est pas encore au complet puisqu’ils attendent l’arrivée de Skip (Stephen Dorff) qui doit ramener les armes et qui est également leur chauffeur. Leur plan se déroule sans encombres sauf que ce vieux Skip a décidé de se la jouer solo et abat froidement ses partenaires, seul Roy est parvenu à s’enfuir et il a bien l’intention de régler ses comptes.

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    Plus tout jeune ce film de John Irvin sorti en 1997 et cela s’en ressent. Le concept est simple ; le braquage d’une bijouterie, une trahison et une vengeance, un plat qui se mange toujours froid. Froid, on le restera devant ce City of crime ; quand on a droit à quelques scènes d’action celles-ci sont relativement pauvres et la seule séquence marquante reste cet "éclatage de gueule" initié par Keitel sur ce pauvre Stephen Dorff. Pour l’anecdote on notera aussi les participations discrètes de Famke Janssen et celle encore plus modeste de Lucy Liu qui décrochaient ici un de leurs premiers rôles au cinéma. Un film qui n’a donc rien de l’indispensable.

  • Universal soldier : Le combat absolu

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    De l'eau a coulé sous les ponts depuis que Luc Devreux (Jean-Claude Van Damme), ancien universal soldier a retrouvé la mémoire et par la même occasion une vie normale. Aujourd'hui père de la petite Hillary (Karis Paige Bryant), il est aussi responsable du nouveau projet Universal soldier développé à partir d'un programme d'intelligence artificielle appelée Seth. Lorsque celui-ci apprend que l'armée américaine a suspendu le projet faute de moyens financiers, Seth devient incontrôlable et soumet tous les Universal Soldiers à ses ordres. Leur objectif est d'anéantir toute trace de l'humanité pour laisser place à une nouvelle ère.

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    Personne n'en avait jamais rêvé mais il l'ont quand même fait, JCVD est de retour dans la peau de Luc Devreux et vient dézinguer des Universal soldiers. Si Dolph Lundgren n'est pas de la partie dans cette séquelle, c'est le non moins talentueux Michael Jai White qui reprend le flambeau du bad guy (accompagné aussi par Bill Goldberg pour les amateurs de catch). Rien à retenir d'Universal soldier : Le combat absolu si ce n'est un film bourrin composé de fusillades et d'explosions sur fond d'hard rock qui agressent nos chastes oreilles. Un film qui aurait mieux fait de rester à l'état de projet mais qui n'enterrera pas pour autant la saga.

  • Black dynamite

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    Ce qui est sur c'est qu'il vaut mieux ne pas trainer dans le coin lorsque Black Dynamite (Michael Jai White) apprendra la mort de son frère. A lui seul il a autant de force d'impact qu'une armée toute entière et il ne laissera pas ce crime impuni. Une vengeance qui lui tient d'autant plus à cœur qu'il avait promis à sa mère sur son lit de mort qu'il veillerait attentivement sur son petit frère. Black Dynamite va donc devoir lancer sa propre enquête et découvrir qui a assassiné son frère mais aussi qui se permet de faire circuler cette drogue qui n'épargne personne, pas même les enfants de l'orphelinat.

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    Hommage assumé à la Blaxploitation des années 1970, Black dynamite avait de quoi devenir un film culte, un potentiel gâché par des gags pas toujours très bien amenés conduisant parfois à des incompréhensions. C'est qu'il ne suffit pas de nous mettre face à un héros improbable - incarné toutefois avec perfection par Michael Jai White - et lancé dans des situations tordues pour faire une bonne comédie. Il y a avait de l'idée avec cette comédie et le personnage a le potentiel pour survivre et revenir dans de nouvelles aventures mais il faudra juste revoir un peu les gags parfois trop superficiels pour réellement déclencher des crises de rires.

     

    Il faut le voir pour : Freiner un peu sur la bière, on ne sait jamais ...