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daniel prévost

  • Du goudron et des plumes

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    Père séparé, Christian Fellouz (Sami Bouajila) partage la garde de sa fille Vanessa (Talina Boyaci). C’est en assistant à son entrainement de majorette qu’il fait la connaissance de Christine (Isabelle Carré) dont la fille Alizée (Laura Genovino) est la pote d’enfance de Vanessa. Tous les quatre vont passer beaucoup de temps ensemble d’autant plus que Christine connait encore peu la ville de Montauban et n’a pas vraiment eu l’occasion de rencontrer du monde. De son coté, Christian a décidé de rejoindre l’équipe d’aviron - et aussi pour faire plaisir à sa fille - dans la perspective de défendre les couleurs de sa ville lors du triathlon d’été qui se profile.

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    Troisième film pour notre pote Pascal Rabaté qui va une fois encore nous prouver qu’il est réellement un réalisateur singulier. Il avait fait ses premiers pas en adaptant sa bande-dessinée Les petits ruisseaux et son expérience en la matière est de nouveau mise à contribution ici. Que ce soit au travers de certains plans, la récurrence des couleurs bleus, blancs, rouges ou dans les décors ; Du goudron et des plumes fourmille de petits détails qui invitent le spectateur à surveiller tout ce qui se passe autour de nos héros. A ce sujet, même si tous les comédiens sont attachants l’histoire de Christian est la petite faiblesse du film puisqu’elle n’a, à la longue, rien de réellement captivante. Il y a du talent à revendre ici si je peux me permettre l’expression !

     

    Il faut le voir pour : Surveiller de très près les exterminateurs de termites qui entreront chez vous !

  • Du goudron et des plumes

    Nouveau venu sur Montauban, notre pote Sami Bouajila espère se faire sa petite place avec sa fille mais le nouveau départ qu'il espère ne sera pas aussi facile que ça. Du goudron et des plumes c'est la nouvelle réalisation de Pascal Rabaté, l'auteur de BD qui s'est reconverti au cinéma avec Les petits ruisseaux ou encore Ni à vendre, ni à louer.

    Date de sortie : 09 Juillet 2014.


  • Les invincibles

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    Momo, Jacky & Zézé (Atmen Kélif, Gérard Depardieu & Bruno Lochet) ont monté une belle combine pour gagner un peu d’argent grâce à la pétanque. Si cela leur permet d’arrondir leurs fins de mois ça reste quand même une solution provisoire et ils ont besoin d’un gros coup et celui-ci pourrait bien être le World petank tour. Stéphane Darcy (Edouard Baer) a en effet décidé de lancer un tournoi mondial avec une récompense de 500 000€ pour l’équipe gagnante. Il a en outre chargé René Martinez (Daniel Prévost) de constituer l’équipe de France et c’est là que Momo entre en jeu. A lui de montrer toute l’étendue de son talent de bouliste et intégrer ainsi la sélection française ce qui résoudrait pas mal de problèmes.

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    Déjà, ne comptez pas sur moi pour faire cette blague pourrie du film de boules, je suis vraiment au-dessus de tout ça ! Comédie populaire à la manière d’une réalisation de Fabien Onteniente, Les invincibles s’intéresse donc à l’univers de notre sport national à savoir la Pétanque avec en fond un joli message d’intégration. Si le casting est plutôt réussi en particulier avec l’irrésistible Daniel Prévost, ce beau monde n’arrive pas à nous emballer à travers un scénario beaucoup trop plat. On ne peut pas dire non plus qu’assister à des parties de pétanque nous conduise jusqu’aux portes de l’excitation. Alors la question finale c’est on tire ou on pointe ? En tout cas, j’en connais qui ne se priveront pas pour se tirer.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que Depardieu a aussi la nationalité Algérienne !

  • Le dîner de cons

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    La date fatidique du dîner approche et Pierre Brochand (Thierry Lhermitte) n’a toujours pas trouvé son invité. Ce dîner est en fait un rituel qu’il a mis en place avec certains de ses potes d’enfance ; le but est de ramener l’invité le plus con possible et de le laisser parler. Heureusement pour Pierre, les amis sont là et on lui a repéré quelqu’un qui fera sensation, il s’appelle François Pignon (Jacques VIlleret) et a pour passion les constructions en allumettes. C’est exactement la personne qu’il recherchait  mais Pierre pourrait bien être contraint d’annuler le dîner après le tour de rein qu’il s’est fait au golf. Il est encore loin d’imaginer la soirée mouvementée qu’il va vivre !

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    Qui ne connait pas Le dîner de cons ? Que ce soit sur les planches du théâtre ou bien à travers cette adaptation signée Francis Veber, cette comédie est devenue un classique pour beaucoup. C’est sur que ce n’est pas au niveau de la réalisation sobre pour ne pas dire sommaire que le spectateur sera emballé mais l’essentiel réside dans les personnages et des dialogues devenus cultes. Comment résister à l’hilarant Jacques Villeret à coup sur la plus belle incarnation de François Pignon et aux malheurs de ce pauvre Thierry Lhermitte. C’est con et c’est bon, à voir et à revoir sans aucune modération !

     

    La scène culte à ne pas louper : L’appel de François à Juste Leblanc.

  • La vérité si je mens 2

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    Rien ne va plus dans le Sentier et notre pote Eddy (Richard Anconina) l’a compris à ses dépens et maintenant il souhaite développer son business auprès de la grande distribution. C’est en compagnie d’Yvan (Bruno Solo) qu’il est allé prospecter auprès de M. Vierhouten (Daniel Prévost), Directeur des achats de la chaine Euro Discount mais ce qu’il croyait être une belle opportunité va s’avérer être une belle arnaque. Pendant ce temps, Serge (José Garcia) a rencontré le grand amour en la personne de Chochona Boutboul (Elisa Tovati) mais pour la séduire, il a un peu enjolivé la vérité avec l’aide involontaire de son cousin Patrick (Gilbert Melki).

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    Avec le succès qu’a rencontré le premier épisode, il était presque naturel de voir apparaitre un second épisode et la bonne nouvelle c’est qu’on retrouve presque toute l’équipe. Presque oui car Vincent Elbaz laisse sa place à Gad Elmaleh en dehors de ça la bande potes est au complet et la vérité, la bonne humeur est toujours au rendez-vous ! Bon l’effet de surprise n’est plus là mais pour compenser on a droit à un Serge Benamou déchainé et qui éclipserait presque ses petits camarades. La vérité si je mens 2 est une comédie digne de son prédécesseur, le seul reproche c’est que les personnages féminins finissent par faire de la simple figuration.



    La scène à ne pas louper : Le passage sous le tunnel !


    En savoir plus sur La vérité si je mens ?

    En savoir plus sur La vérité si je mens 3 ?

  • Les petits ruisseaux

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    Pour nos amis Emile & Edmond (Daniel Prévost & Philippe Nahon) rien ne vaut une bonne partie de pêche. Ces deux-là se connaissent depuis maintenant 7 ans mais Edmond est un homme à secrets. Tout d'abord il est bien décidé à ne pas finir ses vieux jours seul et après quelques aventures, il semble avoir trouvé la femme de sa vie, une certaine Lucie (Bulle Ogier). Et puis Emile va également découvrir que son pote d'enfance est un artiste d'un genre bien particulier et lorsque Edmond meurt, c'est le choc ! Tout d'abord Emile est révolté de voir comment le mépris avec lequel est traité Edmond par sa propre famille et par la suite, il se rapproche de Lucie.

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    Pour adapter au mieux sa BD, Pascal Rabaté n'a pas eu à réfléchir trop longtemps puisqu'il s'est lui-même qui s'est installé derrière les caméras. Les petits ruisseaux c'est la tranche de vie d'un veuf installé confortablement dans sa campagne et qui perd soudainement son pote d'enfance. A l'image d'un ruisseau, c'est une comédie plutôt calme où déambule un personnage naïvement sympathique et incarné avec justesse par Daniel Prévost. L'ensemble est un peu trop paisible, on aurait bien aimé quelques chutes d'eau histoire de nous sortir un peu de la torpeur.

     

    Il faut le voir pour : Vous mettre à la peinture.

  • Lucky Luke

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    C’est sur la tombe de ses parents assassinés par le Gang des tricheurs qu’il avait juré de ne jamais tué personne. Une promesse qu’il a rompu aujourd’hui en laissant pour mort Pat Poker (Daniel Prévost) et depuis ce drame, Lucky Luke (Jean Dujardin) n’est plus le même cow-boy. Celui que l’on considérait comme la meilleure gâchette de tout le Far-West, l’homme qui tire plus vite que son ombre a pris la décision de raccrocher son colt. Il a repris la ferme de ses parents en compagnie de Belle (Alexandra Lamy) pour mener une vie paisible ; loin des malfrats. Mais le Far-West sans Lucky Luke c’est comme un saloon sans bagarres et il va se rendre compte que sa retraite était un peu anticipée.

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    Si l’on excepte la version légère de Terence Hill et son apparition anecdotique chez Les Dalton de Philippe Haim ; Lucky Luke connait ici sa première véritable adaptation au cinéma. Après Brice de Nice, James Huth célèbre ses retrouvailles avec Jean Dujardin impeccable dans ses bottes et incarnant à la perfection le célèbre cow-boy. Après une première partie très riche aussi bien en action qu’en détails se référant à l’œuvre de Morris & Goscinny, le film perd un peu de sa vigueur. Ce ne sont pas les apparitions de Calamity Jane (étonnante Sylvie Testud), Billy the kid ou Jesse James qui parviendront à relancer la machine. Et puis il y aura de la déception également à ne pas voir à l’écran Ran Tan Plan ou Les Dalton.

     

    Il faut le voir pour : Foutre une baffe à tous ceux qui vous disent merci car faut jamais dire merci !

  • Home sweet home

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    Pour son anniversaire, on lui avait organisé une jolie fête mais Claire (Judith Godrèche) n’est revenue chez elle que le lendemain. En guise de surprise, elle n’a pas été déçue puisqu’elle a découvert son petit-ami Edwin (Nicolas Gob) au lit avec une autre femme. Ni une, ni deux, elle part se ressourcer dans la maison familiale auprès de son père Albert (Daniel Prévost) et de leur pote d’enfance Gédéon (Patrick Chesnais). Sa venue coïncide avec un fait divers qui chamboule tout le village, la mort suspecte d’un homme va déterrer un lourd secret familial concernant la jeune femme.

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    Nombreux sont les spectateurs qui seraient tentés de quitter la salle au bout de la première demi-heure tant on s’ennuie ferme ! Non pas que le reste de Home sweet home soit beaucoup mieux mais au moins il y a un peu plus d’animation et quelques scènes susceptibles de vous faire rire. Maigre lot de consolation avec le tête à tête entre Patrick Chesnais & Lorant Deutsch ou encore avec le personnage totalement caricatural du flic gaffeur. En dehors de ça, le manque de rythme et le peu d’humour rendent donc le film plus que quelconque.



    Il faut le voir pour : S’assurer que votre scooter volé n’as pas été volé/retrouvé par des flics