Love addict
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C’est plus fort que lui, il ne peut pas résister aux femmes et cela attire pas mal de problèmes à notre pote Gabriel (Kev Adams) ! Dernièrement, il a été viré après avoir approché d’un peu trop près la femme et les filles de son désormais ancien patron. Si son CV est impressionnant, sa réputation de séducteur ne plaide pas en sa faveur et s’il veut garder un emploi les choses doivent changer. Gabriel va donc faire appel à un Minder, un coach qui devrait lui permettre de réfréner ses pulsions mais cela commence mal puisque c’est une femme qui va s’occuper de son cas. Après un problème de fenêtres, Marie-Zoé (Mélanie Bernier) doit en effet gérer ce cas plutôt particulier et elle ne va pas lui faciliter la tâche en emménageant avec lui et son oncle Joe (Marc Lavoine).

Acteur, scénariste ; Frank Bellocq s’essaie maintenant à la réalisation avec cette comédie romantique qui a tout du produit réchauffé ! Un pressentiment qui se vérifie une fois qu’on se retrouve devant Love addict ; déjà qu’on est loin de s’écrouler de rires on devine très vite un dénouement on ne peut plus téléphoné. Au casting, le réalisateur retrouve Kev Adams, son compère de Soda, qui fait le job avec sa partenaire Mélanie Bernier sans pour autant créer de véritables étincelles. Coup de chapeau d’avoir attiré le charismatique Michael Madsen même si on se demande parfois ce qu’il vient faire dans cette histoire. Un film qui n’a pas vraiment les atouts nécessaires pour faire naitre chez nous la moindre addiction.
Il faut le voir pour : Éviter de laisser vos fenêtres ouvertes !





On pensait la franchise en panne sèche mais c’était sans compter sur Franck Gastambide qui s’attelle à cette suite et vient remettre les compteurs à zéro. Exit l’ancien casting en dehors des fidèles Bernard Farcy & Edouard Montoute, le jeune réalisateur s’entoure de ses potes de Pattaya à savoir Malik Bentalha, Sabrina Ouazani, Anouar Toubali ou encore Ramzy Bedia. Un lifting qui ne change cependant rien à ce qui définit la saga Taxi à savoir un scénario expédié pour mieux laisser place aux courses-poursuites, aux carambolages improbables tout cela saupoudré d’un humour déjà pas très subtil et qui n’hésite pas à prendre parfois le chemin du graveleux. Dans la lignée de ses prédécesseurs, Taxi 5 n’apporte strictement rien à une saga que certains d’entre nous ont mis sur le bord de la route depuis bien longtemps !













