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  • Radin

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    Il faut bien dire ce qui est ; notre pote François (Dany Boon) est un vrai radin ! Depuis sa plus tendre enfance, il a appris à économiser sur tout et cela ne s’est pas vraiment arrangé avec l’âge quitte à se mettre à dos ses collègues de travail et son voisinage. Tout cela pourrait pourtant bien changer lorsqu’une jeune femme du nom de Laura (Noémie Schmidt) se présente devant sa porte et lui annonce être sa fille ! Non seulement cette dernière veut vivre avec son père mais ce qu’elle ne sait pas encore c’est que le portrait que lui avait dressé sa mère est bien loin de la réalité. Elle est ainsi persuadée que son père déborde de générosité et s’occupe notamment d’un orphelinat au Mexique ; on est bien loin de la réalité. Cette cohabitation risque donc de réserver son lot de surprises !

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    On a tous dans notre entourage une personne près de ses sous et pour certains c’est même maladif ! Cette comédie joue donc sur un pitch aussi simple qu’efficace et n’hésite pas à exagérer les traits d’un Dany Boon parfaitement à l’aise dans cet exercice. La présence du comédien associé à Laurence Arné semble être un argument suffisant pour que le film se contente d’un scénario qui n’apportera pas beaucoup d’originalité jusqu’à son dénouement prévisible. La seule surprise qu’on aura c’est de constater que derrière la caméra il y a notre pote Fred Cavayé (réalisateur de l’excellent Pour elle) qui s’essaye pour la première fois à la comédie. Radin ! n’a pas beaucoup d’arguments à faire valoir, si comme le personnage principal vous voulez faire des économies pourquoi ne pas commencer dès maintenant ?



    Il faut le voir pour : Renouveler régulièrement vos préservatifs !

  • Nos futurs

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    Alors qu'une journée de travail se termine pour Yann (Pierre Rochefort), à son retour à la maison il découvre sur sa télé quelques photos faisant ressurgir de nombreux souvenirs. Tout ceci a en fait était mis en scène par sa femme Estelle (Mélanie Bernier) qui lui a fait la surprise d'organiser une fête pour son anniversaire. C'est un geste qui a beaucoup touché Yann et il est encore bouleversé d'avoir revu le visage de son pote d'enfance Thomas (Pio Marmai) et dès le lendemain il tente de le recontacter. Coup de chance, celui-ci a conservé le même numéro de téléphone et les retrouvailles s'organisent très vite. Thomas reste fidèle à lui-même avec sa petite chambre de bonne, sa mobylette ou encore son boulot chez Burger Forever !

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    Un petit bain dans le passé ne fait jamais de mal et paradoxalement à son titre, Nos futurs respire la nostalgie à plein nez. On suit ainsi nos potes d'enfance Pierre Rochefort & Pio Marmai dans leur entreprise improbable de reconstituer une boum qui aura marqué un tournant dans leurs vies. Si on se plonge avec un certain plaisir dans le partage des souvenirs de ce duo bien complémentaire, le film de Rémi Bezançon ne montre pas beaucoup de subtilités. Difficile en effet de ne pas deviner la conclusion de l'histoire et l'émotion qu'elle est censé apporter s'envole un peu ; ça nous laisse tout de même un film plaisant.

     

    Il faut le voir pour : Vous faire une raison ; si vous terminez vos soirées à 0H30, vous êtes vieux !

  • A coup sûr

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    Grace à son père, Emma (Laurence Arné) a hérité d’un tempérament de vainqueur et c’est ainsi qu’elle a toujours donné le meilleur d’elle-même. Alors quand un homme, en l’occurrence son dentiste, lui dit qu’elle est aussi énergique qu’une limace au lit, elle voit rouge. D’autant plus qu’après un quiproquo avec son collègue de travail Tristan (Eric Elmosnino), le doute va s’installer un peu plus dans l’esprit de la jeune femme. Et si justement son célibat était la conséquence de ses piètres performances sexuelles ? Emma se met ainsi à étudier sérieusement la question d’abord en consultant les meilleurs livres sur le sujet et elle ira jusqu’à interviewer un acteur porno pour obtenir avec plus ou moins de discrétion quelques conseils.

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    Le sujet devient de moins en moins tabou et il n’y a rien de plus confortable qu’une comédie pour évoquer le sexe. On accompagne ainsi Laurence Arné au cours de son apprentissage bien particulier ce qui lui réserve quelques situations insolites mais c’est un premier grand rôle au cinéma qui la dépasse un peu. A la limite les quelques apparitions de Valérie Bonneton sont même plus amusantes. Il y a bien quelques moments qui vous dérideront le visage mais sur la durée, les rires sont loin d’être assurés A coup sûr ! On ne s’attardera donc pas sur les personnages caricaturés (comme le stagiaire) quand ils ne sont pas tout simplement transparents. Une comédie téléphonée qui ne laissera pas un grand souvenir.

     

    Il faut le voir pour : Envisager d’acheter une nappe en PVC parce que ça a l’air bien pratique.

  • Mais qui a re-tué Pamela Rose ?

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    On pensait l’affaire Pamela Rose définitivement enterrée et c’est un vrai choc lorsqu’on découvre que son cercueil a été dérobé ! L’enquête est confiée aux 2 agents qui s’en été déjà chargé il y a 10 ans c’est-à-dire Richard Bullit & Douglas Riper (Kad Merad & Olivier Baroux) mais entretemps leurs rapports ont changé. Une femme a brisé leur amitié et ils vont devoir surmonter ce conflit pour retrouver celui qui a re-tué Pamela Rose. Grace à leur flair, ils identifient rapidement le coupable : Kowachek (Guy Lecluyse) qu’ils connaissent bien pour l’avoir déjà arrêté. Celui-ci parvient à s’enfuir mais Bullit & Riper savent maintenant ce qu’il complote : l’assassinat de Barbara Applepie (Audrey Fleurot), la Présidente des Etats-Unis of America !!

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    Sorti en 2003, Mais qui a tué Pamela Rose ? s’est vite imposé comme une référence de la comédie française pour son univers barré posé par le duo Kad & Olivier. Ces derniers reprennent leurs rôles et pour la première fois la réalisation d’une comédie qui, rassurez-vous, est bien fidèle à l’épisode précédent. On tape plus que jamais dans l’humour absurde et décalé auquel tout le monde n’adhère pas forcément mais un domaine dans lequel le duo de comiques excelle. A l’image de son titre, Mais qui a re-tué Pamela Rose ? vous promet une bonne salve de rires et qu’on reverra certainement avec grand plaisir.

     

    Il faut le voir pour : Examiner votre chien !

  • Bowling

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    Un hôpital situé à Carhaix en Bretagne, c’est là que Catherine (Catherine Frot) vient d’être nommée DRH. Elle est venue pour dresser un bilan et le directeur de l’établissement souhaiterait notamment se débarrasser du service Maternité qui est largement déficitaire. Il y a le travail d’un coté et le loisir de l’autre et c’est ainsi qu’elle va rejoindre le club de bowling de la ville où l’accueillent ses nouvelles potes d’enfance Mathilde, Firmine & Louise (Mathilde Seignier, Firmine Richard & Laurence Arné). Une amitié qui sera mis à mal puisque Mathilde & Firmine travaillent justement à la maternité de Carhaix et elles sont effondrées à l’annonce de sa fermeture. Loin de baisser les bras, elles vont tout faire pour sauver leur emploi.

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    Drame social, film de bonnes copines ou encore comédie franchouillarde ; Bowling c’est un peu un mélange de toute cela à la fois. L’histoire inspirée de faits réels est belle et la réalisatrice Marie-Castille Mention-Schaar qui signe sa première expérience sur le grand écran ne fait que l’enjoliver. Pas beaucoup d’enthousiasme non plus à travers notre quatuor d’héroïnes, elles peuvent heureusement compter sur la gouaille de la bretantillaise Firmine Richard pour nous amuser un peu. Il y avait ensuite ce "sport" ; le bowling qui n’a pas su être mis en valeur et qui se résume en un quelconque championnat sans engouement. En résumé on est loin du Strike !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier d’avertir les autres automobilistes lorsque vous vous garez.

  • Dépression et des potes

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    Pour Talia & Franck (Gyselle Soares & Fred Testot), ces vacances à l’Ile Maurice aurait du être un avant-gout de paradis au lieu de quoi le couple n’a cessé de se disputer jusqu’à provoquer une inévitable rupture. Cette déception sentimentale va alors peu à peu tirer le jeune homme vers la dépression et quand il confie cela à ses potes d’enfance William, Benoit & Romain (Jonathan Lambert, Arié Elmaleh & Ary Abittan) ; ces derniers s’affolent un peu. Enfin, c’est surtout William qui devient clairement parano persuadé que Franck va vouloir mettre fin à ses jours ce qui n’est évidemment pas le cas. En tout cas, si jamais il a besoin de ses meilleurs amis, il pourra toujours compter sur eux !

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    Rien de plus indiqué pour sortir d’une dépression qu’une petite comédie mais encore faut-il que celle-ci réussisse à nous faire rire ! Alors que notre pote Fred Testot commence à broyer du noir après sa rupture, il se voit plus ou moins réconforté par sa bande d’amis qui vont eux aussi connaitre à leur tour cette période trouble. Tous les thèmes sont bons pour nous plonger dans la dépression ; le gars qui galère professionnellement parlant, l’autre incapable de trouver une relation stable ou encore celui qui souffre de ne pas pouvoir connaitre les joies de la paternité. Dépression et des potes fait donc office de fourre-tout autour d’un thème qui n’est qu’un faible alibi pour nous servir un énième film de potes à l’ambiance trop artificiel et aux gags éculés.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’utiliser des expressions dépassées !

  • Un jour mon père viendra

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    C’est une période difficile pour notre pote Bernard Beu (François Berléand) qui vient de perdre sa femme laissant derrière elle une fortune colossale. Il va cependant découvrir un tout autre trésor ; un coffret renfermant toutes les lettres de Chloé (Olivia Ruiz), une fille dont il ignorait jusque-là l’existence. Il part donc à sa recherche et se rend en France où il apprend que sa fille a déjà un père en la personne de Gustave (Gérard Jugnot). Chloé quant à elle est en froid avec ce père et on la retrouve à Bordeaux où elle mène un casting aussi fastidieux qu’insolite puisqu’elle cherche un comédien pour incarner son père ! La jeune femme se marie bientôt et a quelque peu enjolivé la vérité pour séduire l’ancien champion de tennis Stephen (Jamie Bamber).

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    Un jour mon père viendra va surtout faire parler de lui par rapport à la première apparition sur le grand écran de l’artiste Olivia Ruiz car le reste est franchement anecdotique. La prestation de la chanteuse est correcte avec encore quelques approximations mais elle ne parvient en aucun cas à illuminer l’ensemble. Le scénario aurait bien eu besoin de plus de clarté, on a un peu l’impression que l’histoire nous est vite jetée à la figure pour dérouler le reste. Quant à la paire Jugnot / Berléand, elle est sympathique et réussit à nous arracher quelques timides sourires mais largement insuffisant pour dépasser le stade d’une comédie totalement quelconque.



    Il faut le voir pour : Ba .. euh… en fait… allez portons un toast !

  • L'amour c'est mieux à deux

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    C'était écrit d'avance pour Michel (Clovis Cornillac), son mariage était voué à l'échec pour une simple et bonne raison ; il n'a pas rencontré sa femme par hasard. Le hasard, voilà l'ingrédient indispensable pour une relation solide selon lui, une croyance que ne partage pas son pote d'enfance Vincent (Manu Payet) qui aimerait bien le convaincre du contraire. Ce dernier va donc organiser un rendez-vous pour Michel, l'heureuse élue se nomme Angèle (Virginie Efira) et tout va pour le mieux pour ce nouveau couple. Malheureusement, quand Michel apprend que leur rencontre avait été arrangée, il décide rompre persuadé que leur relation n'a pas d'avenir.

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    Une bonne petite comédie sentimentale avec un casting plutôt sympathique et 2-3 répliques bien amenées. On pourra toujours reprocher un scénario un peu cul-cul, quelques personnages un poil caricatural (Swan notamment interprétée par la belle Shirley Bousquet) mais terriblement drôles ! Il n'y a évidemment rien de bien original avec L'amour c'est mieux à deux si ce n'est le personnage obtus qu'est Michel convaincu que le hasard dictera son bonheur. On passe un bon moment, on se marre et tout ça c'est loin d'être du hasard alors en faut-il vraiment plus pour aller voir le film ?

     

    Il faut le voir pour : Travailler votre regard et avoir le regard b... !