Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

film - Page 144

  • Chasing Mavericks

    star 01.5.jpg

    2535282206.19.jpg

    Fasciné par la mer, notre pote Jay Moriarty (Cooper Timberline / Jonny Weston) a échappé de peu à la noyade alors qu’il n’était encore qu’un enfant. Le destin a mis sur son chemin Frosty Hesson (Gérard Butler) qui lui sauva la vie mais surtout qui allait devenir dans le même temps un véritable modèle. Désormais adolescent, Jay est devenu un bon surfeur et un soir intrigué, il décide de suivre Frosty. C’est à cette occasion qu’il fait une découverte phénoménale ; les Mavericks, ces vagues gigantesques ne sont pas un mythe ! Dès lors, il n’a plus qu’une seule envie : surfer sur ces vagues mais avant de s’y attaquer, il faudra qu’il suive un entrainement intensif durant 12 semaines.

    01.jpg

    Il n’y a que les spécialistes du surf qui doivent connaitre Jay Moriarty, jeune surfeur de Californie qui s’est fait connaitre pour avoir maitrisé le Maverick’s point à seulement 16 ans. Chasing Mavericks se présente donc comme un bon vieux biopic bien romancé avec son lot de tragédies et bien sur la naissance d’un surfeur exceptionnel. Si l’on apprécie l’hommage qui lui est rendu, en tant que spectateur on aurait été bien plus sensible avec un documentaire plutôt que de nous imposer un film qui ne fera pas de grandes vagues. Il y a de belles images qui impressionnent tout comme les séquences de surf finalement les seuls éléments qui ne prennent pas l’eau.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de vous entrainer à rester sous apnée quand vous êtes en cours !

  • Silent Hill : Révélation 3D

    star 01.5.jpg

    aff.jpg

    Une nouvelle école, c’est devenue une vraie rengaine pour notre pote Heather (Adelaide Clemens) qui, avec son père Harry (Sean Bean), ne cesse de déménager depuis qu’elle a l’âge de 11 ans. N’allez pas croire qu’ils prennent plaisir à bouger aussi régulièrement, c’est surtout qu’ils n’ont pas le choix car Harry fait tout ce qui est en son pouvoir pour protéger sa fille. Celle-ci est en proie à de nombreux cauchemars, des visions d’horreur qui la perturbent et qui se mêlent aussi parfois à la réalité tout ça dans le but d’attirer de nouveau cette adolescente à Silent Hill. Pourtant Heather va devoir y retourner d’elle-même avec l’aide de Vincent (Kit Harington), camarade de classe car son père a été fait prisonnier.

    01.jpg

    En 2006 il y a eu l’adaptation du survival horror de Konami dirigé par Christophe Gans, un film plutôt correct mais qui n’a pas non plus marqué les esprits. Pour cette suite, le réalisateur français a laissé place à Michael J. Bassett dont la filmographie compte le désastreux Solomon Kane et qui donne à la franchise une orientation bien décomplexée. Certains pourraient prendre ça pour un compliment mais c’est loin d’être le cas, avec cet épisode Silent Hill est en train de prendre un virage à la Resident Evil ! Budget investi dans les effets spéciaux au cœur d’un scénario expédié et sans idées Silent Hill : Révélation 3D risque bien d’enterrer la saga du moins au cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à préparer un beau discours pour vous présenter auprès de vos nouveaux camarades de classe.


    En savoir plus sur Silent Hill ?

  • Les cinq légendes

    star 04.jpg

    2167860595.81.jpg

    Les enfants courent un grand danger ! A quelques jours de fêter Pâques, le maléfique Pitch est revenu et le croque-mitaine a pour ambition de transformer les merveilleux rêves des enfants en de terribles cauchemars. Heureusement, le Père Noël veille et fait appel à d’autres gardiens pour contrer cette menace ; c’est ainsi qu’il réunit la Fée des dents, le Marchand de sable et le Lapin de Pâques. Toutefois, l’équipe n’est pas encore au complet et c’est l’Homme-lune qui va désigner celui qui deviendra le prochain gardien : Jack Frost ! Peu d’enfants le connaissent et pourtant il apporte chaque année beaucoup de bonheur puisque c’est grâce à lui qu’on peut s’amuser dans la neige.

    01.jpg

    Le Père Noël, le Marchand de sable, le Lapin de Pâques et la Fée des dents (sans oublier sa filiale française) ; c’est une rencontre au sommet qui vous attend là. Dreamworks livre un film magnifique où l’on ne s’ennuie jamais d’autant plus qu’on est subjugué par la beauté et la finesse des graphismes notamment le soin apporté sur le givre et le sable. Bourré d’action, délicieusement drôle, c’est un vrai feu d’artifice pour les yeux et vous comprendrez aisément qu’il s’agit là d’un légendaire Coup de cœur Ciné2909 ! Avec Les cinq légendes, vous allez retrouver avec grand plaisir votre âme d’enfant et ça s’impose comme le rendez-vous familial incontournable.

     

    Il faut le voir pour : Continuer à faire de beaux rêves !

  • Royal affair

    star 03.5.jpg

    aff.jpg

    Fin du 18ème siècle. Alors qu’elle n’a jamais eu l’occasion de quitter l’Angleterre, Caroline Mathilde (Alicia Vikander) est devenue souveraine du Danemark. On a en effet arrangé son mariage avec le roi Christian VII (Mikkel Boe Folsgaard) et si elle avait au départ l’espoir de rencontrer un homme d’exception, la réalité la ramène vite sur terre. Il est vrai que Christian est un drôle d’énergumène et certains diraient même qu’il est fou. C’est pour cela qu’on lui adjoint un médecin personnel et son choix va se porter sur Johann Struensee (Mads Mikkelsen) qui deviendra également un vrai pote d’enfance. Son influence sur le roi est telle qu’elle va permettre au Danemark d’entrer de plein pied dans une nouvelle ère mais le médecin va également se faire remarquer en entretenant une relation avec Caroline.

    01.jpg

    L’histoire de la monarchie danoise ne figure pas forcément dans nos centres d’intérêts mais cette reconstitution historique mérite bien un coup d’œil. Déjà la présence de Mads Mikkelsen est un gage de qualité d’autant plus qu’il est en charmante compagnie avec la belle Alicia Vikander mais tous deux se font voler la vedette par Mikkel Boe Folsgaard dans le rôle de ce roi excentrique. Que ce soit à travers ses actions ou bien même sa façon de s’exprimer, on croirait ce personnage tout droit sorti d’une comédie ce qui fait donne à Royal affair une vraie identité. Une belle distribution, une histoire captivante mais aussi drôle ; c’est vraiment une bonne découverte qui nous change des reconstitutions trop souvent poussiéreuses.

     

    Il faut le voir pour : Commencer à s’intéresser à l’Histoire du Danemark !

  • Les sorties du 28 Novembre

    aff.jpg

    La nouvelle a fait le tour du monde, non je vous parle pas du cirque de l’UMP mais de la disparition de Larry Hagman qui a attristé les fans de Dallas. Avec son rôle de J.R. il aura marqué la télévision et il nous manquera ! Sans transition, on passe aux sorties ciné et les enfants seront doublement servis avec Les cinq légendes et Niko le petit renne 2. Le premier réunit … ba 5 légendes à savoir la Fée des dents, Le marchand de sable, le lapin de Pâques, le Père Noël et notre héros Jack Frost qui vont devoir unir leurs forces pour affronter une terrible menace.

    Lire la suite

  • End of watch

    star 03.jpg

    3502058702.84.jpg

    Equipiers mais surtout potes d’enfance Brian Taylor & Mike Zavala (Jake Gyllenhaal & Michael Peña) sont flics à Newton, Californie où l’action ne manque pas. Fusillades, tapages nocturnes, incendie …Impossible de prévoir ce que chaque jour leur réserve et encore moins de savoir s’ils retrouveront leurs proches. D’autant plus que la ville est gangrénée par une féroce rivalité entre les hispaniques et les afro-américains pour le contrôle du marché de la drogue et on n’hésite pas à faire couler le sang pour se faire respecter. En voulant simplement faire leur job, les 2 officiers vont se mettre à dos les cartels qui règnent sur la région jusqu’à ce qu’un contrat sur leurs têtes soit lancé.

    01.jpg

    Plongée au cœur de l’action en compagnie du tandem Gyllenhaal/ Peña à travers des caméras embarquée, End of watch est un film brut de décoffrage. D’ailleurs, il y a bien quelques images qui risquent de vous remuer un peu ; le reste du temps on suit ces flics dans leur quotidien aussi bien dans leurs sphères professionnelles que privées. L’intérêt du film se résume donc à cette réalisation au plus près de l’action mais la bonne complicité entre les 2 acteurs apporte aussi un plus indéniable. S’il ne propose rien de vraiment génial, sa mission première de nous divertir est remplie et ce n’est pas donné à tout le monde !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais vous cacher dans la chambre de vos beaux-parents.

  • The impossible

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Maria & Henry Bennett (Naomi Watts & Ewan McGregor) et leurs 3 enfants Lucas, Thomas & Simon (Tom Holland, Samuel Joslin, Oaklee Pendergast) se sont offerts de magnifiques fêtes de fin d’année. C’est en Thaïlande, à Khao lak qu’ils célèbrent ainsi Noël mais le paysage idyllique va bientôt laisser place à un vrai cataclysme. Le 26 Décembre 2004, le monde découvre avec horreur les ravages provoqués par le plus grand tsunami de l’histoire dévastant tout sur son passage et faisant des milliers de victimes. La famille Bennett n’échappe à la tragédie, Maria & Simon parviennent à se retrouver mais la mère est gravement blessée et semble résignée à l’idée d’avoir perdu son mari et ses 2 autres fils.

    01.jpg

    Au cœur de cette terrible tragédie qu’a représenté le Tsunami de 2004 émergent tout de même quelques belles histoires comme celle vécue par une famille espagnole qui a inspiré ce film. Evidemment ce n’est pas vraiment trahir le secret en vous révélant que la fin "heureuse" et on a également un peu de mal à supporter cette mise en scène finale beaucoup trop théâtrale. Notre regard se posera plutôt sur l’environnement apocalyptique que nous propose le réalisateur Juan Antonio Bayona. The impossible est parsemée de certaines images très violentes, de scènes intenses reflétant l’horreur provoquée par cette catastrophe naturelle et c’est ce qu’on préférera garder de ce drame.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus avoir honte de porter un maillot de bain ridicule car ça peut servir !

  • Comme des frères

    star 03.5.jpg

    aff.jpg

    "Et si vous le faisiez quand même ce voyage ?", telles sont les dernières volontés de leur pote Charlie (Mélanie Thierry) et pour lui rendre hommage ils sont décidés à le faire immédiatement. Boris, Elie & Maxime (François-Xavier Demaison, Nicolas Duvauchelle & Pierre Niney) prennent ainsi la route pour la Corse avec l’espoir d’évacuer un peu de leur tristesse. Au fil de la route, des souvenirs remontent à la surface ; Charlie était pour eux plus qu’une amie et c’est d’ailleurs par son intermédiaire qu’ils se sont connus. Ils n’avaient rien en commun et l’entente n’était pas évidente au début mais au fil des années ils ont appris à se connaitre et sans vraiment s’en rendre compte ils sont devenus comme des frères !

    01.jpg

    Un road-movie croisé à un bon film de potes, voilà le cocktail préparé par Hugo Gélin pour sa toute première réalisation et dans l’ensemble c’est plutôt réussi ! On apprécie d’abord la bande qu’il a formé avec tout d’abord la rayonnante Mélanie Thierry mais les vraies vedettes sont évidemment ces frères Demaison/ Niney / Duvauchelle. Trois personnalités totalement différentes et, c’est là le principal reproche, un peu trop formatées mais qui parviennent à dégager une vraie complicité. Comme des frères fonctionne également grâce à quelques dialogues qui font mouche ; rires et émotion sont donc au rendez-vous et le grand public devrait sans difficultés y trouver son compte.

     

    Il faut le voir pour : Oublier le costume de Charlot pour votre prochaine soirée costumée.

  • Une nouvelle chance

    star 02.jpg

    3502058702.105.jpg

    Recruteur chez les Braves d’Atlanta, Gus Lobel (Clint Eastwood) a des années d’expérience derrière lui et sait repérer les futurs champions de baseball quand il en voit un ! Malheureusement pour lui, il se découvre une vue défaillante, un terrible handicap pour son travail d’autant plus qu’on cherche à le remplacer. Son pote d’enfance Pete Klein (John Goodman) pressent qu’il y a quelque chose qui le dérange et demande ainsi à Mickey (Amy Adams), la fille de son ami de l’accompagner pour son prochain voyage en Caroline du Nord afin de superviser un certain Bo Gentry (Joe Massingill). Les relations entre Gus et sa fille ont été marquées par l’absence d’une femme et d’une mère trop vite disparue mais il y a aussi une profonde blessure qui les a longtemps tenus à distance.

    01.jpg

    Un Clint Eastwood irascible, on n’a pas déjà vu ça quelque part ? Ça deviendrait presque redondant mais quand en plus le scénario se permet d’y ajouter une rivalité ressassée entre les compétences d’un homme face à la technologie ça devient franchement gonflant. N’oublions pas non plus le personnage de Justin Timberlake qui a la panoplie complète du parfait gendre et qui revient miraculeusement pour le (attention spoiler !!) happy end de circonstance. Et puis le thème du baseball ne trouvera pas forcément un intérêt auprès des spectateurs qui ne donneront pas Une nouvelle chance à ce film.

     

    Il faut le voir pour : Visiter les hôtels pour trouver les champions de demain !

  • Thérèse Desqueyroux

    star 01.5.jpg

    2167860595.80.jpg

    Le mariage pour Thérèse (Audrey Tautou) est davantage une affaire de propriété que d’amour. Elle ne s’en cache pas et l’a d’ailleurs avoué à son futur mari Bernard Desqueyroux (Gilles Lellouche) qui est également le grand frère de sa meilleure pote d’enfance Anne (Anaïs Demoustier). Lorsque cette dernière fait la connaissance de Jean Azevedo (Stanley Weber), elle en tombe éperdument amoureuse, une relation mal vue au sein de sa famille. Il n’y a qu’auprès de Thérèse qu’elle trouve une oreille attentive du moins le pense-t-elle car en réalité elle agit de connivence avec sa belle-famille motivée par une certaine jalousie.

    01.jpg

    Ce que l’on retiendra avant tout avec Thérèse Desqueyroux, c’est qu’il s’agit de l’ultime œuvre cinématographique de Claude Miller. Hormis cela, il faut bien se résoudre à l’idée que cette adaptation du roman de François Mauriac ne nous laissera pas un grand souvenir malgré les bonnes volontés de ses comédiens. On aime bien Tautou & Lellouche mais on est loin de leurs plus grands rôles en tout cas ils se fondent dans le moule d’une réalisation classique, beaucoup trop pour espérer rendre le destin de cette femme un tant soit peu passionnante. Pas grand-chose à retenir de ce film donc qui ne parvient à aucun moment à enflammer le cœur des spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais laisser votre femme préparer vos gouttes !