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radha mitchell

  • Silent Hill : Révélation 3D

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    Une nouvelle école, c’est devenue une vraie rengaine pour notre pote Heather (Adelaide Clemens) qui, avec son père Harry (Sean Bean), ne cesse de déménager depuis qu’elle a l’âge de 11 ans. N’allez pas croire qu’ils prennent plaisir à bouger aussi régulièrement, c’est surtout qu’ils n’ont pas le choix car Harry fait tout ce qui est en son pouvoir pour protéger sa fille. Celle-ci est en proie à de nombreux cauchemars, des visions d’horreur qui la perturbent et qui se mêlent aussi parfois à la réalité tout ça dans le but d’attirer de nouveau cette adolescente à Silent Hill. Pourtant Heather va devoir y retourner d’elle-même avec l’aide de Vincent (Kit Harington), camarade de classe car son père a été fait prisonnier.

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    En 2006 il y a eu l’adaptation du survival horror de Konami dirigé par Christophe Gans, un film plutôt correct mais qui n’a pas non plus marqué les esprits. Pour cette suite, le réalisateur français a laissé place à Michael J. Bassett dont la filmographie compte le désastreux Solomon Kane et qui donne à la franchise une orientation bien décomplexée. Certains pourraient prendre ça pour un compliment mais c’est loin d’être le cas, avec cet épisode Silent Hill est en train de prendre un virage à la Resident Evil ! Budget investi dans les effets spéciaux au cœur d’un scénario expédié et sans idées Silent Hill : Révélation 3D risque bien d’enterrer la saga du moins au cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à préparer un beau discours pour vous présenter auprès de vos nouveaux camarades de classe.


    En savoir plus sur Silent Hill ?

  • The crazies

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    Ogden Marsh, 1260 habitants. C'est une journée totalement ordinaire, un match de baseball se déroulait et puis Rory (Mike Hickman) est apparu une carabine à la main. Le shérif David Dutton (Timothy Olyphant) va rapidement au devant de lui et craint que ce fermier ne soit retombé dans l'enfer de l'alcool. Après plusieurs sommations, il est forcé de l'abattre lorsqu'il pressent que celui-ci va utiliser son arme. Cet incident émeut tous les habitants mais un autre drame surgit quelques instants plus tard ; une mère et son fils meurent lors d'un incendie qui aurait été provoqué par le mari. Une vague de folie semble contaminée la ville et personne n'est à l'abri.

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    Un vent de folie souffle dans The crazies et il est bien dommage que ce ne soit pas également le cas au niveau de la réalisation. Enième film du genre où de gentils citoyens se retrouvent soudainement métamorphosés en créatures malfaisantes et évidemment la survie s'impose. Un scénario qui nous a donc déjà été servi à maintes reprises et proposé ici avec pas mal d'hémoglobine et un résultat final plutôt satisfaisant. Le manque d'originalité rend le film totalement dispensable pour une soirée cinéma mais devrait bien fonctionner quand il sortira en location.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus boire l'eau du robinet.

  • Clones

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    Dans un futur proche, les progrès technologiques ont permis de créer des êtres artificiels, des clones que l’on peut contrôler à distance. Le gouvernement a également permis l’utilisation de ces clones dans la vie quotidienne et ils occupent désormais une place prépondérante dans notre société. Les agents du FBI Peters & Greer (Radha Mitchell & Bruce Willis) enquêtent actuellement sur un meurtre inquiétant puisque pour la première fois non seulement le clone a été détruit mais son utilisateur a également trouvé la mort. Les choses sont encore plus étranges lorsqu’ils apprennent que la victime n’est autre que le fils de Lionel Canter (James Cromwell), créateur de la technologie des clones.

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    Adaptation d’un comic book (Surrogates), l’histoire semble elle aussi avoir été clonée sur des films comme I Robot. On retrouve ainsi une société aseptisée envahie d’êtres artificiels où tout le monde ressemble à des mannequins sans oublier un groupe d’illuminés dénonçant cette déshumanisation à outrance. Pas brillant donc au niveau du scénario, le reste n’est pas meilleur et la présence de Bruce Willis n’y changera rien ! Avare en matière d’action et trop superficiel au niveau de l’intrigue, on échappe donc pas à ce désagréable sentiment de déjà-vu et en ce sens Clones porte bien son nom !



    Il faut le voir pour : Donner l’occasion à votre clone de se faire une séance de ciné.

  • Solitaire

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    Pour les besoins de son travail, le journaliste Pete McKell (Michael Vartan) est en voyage en Australie où il doit notamment participer à une croisière fluviale un peu spéciale. La région est réputée pour sa faune, le foyer des plus gros spécimens de crocodiles. Une attraction qui séduit de nombreux touristes et qui constitue l’activité de Kate Ryan (Radha Mitchell). A bord de son bateau, elle propose un circuit inoubliable pour vous retrouver au plus près de ces carnassiers mais le voyage bascule dans l’horreur. Après avoir aperçu des fusées de détresse, Kate et l’équipage sont attaqués par un énorme crocodile et le bateau se retrouve hors d’usage. Les voilà coincés sur un minuscule ilot qui menace d’être submergé par les eaux d’ici quelques heures.

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    Un crocodile, ça mord ! C’est à partir de ce constat audacieux que les producteurs ont du lancer ce prodigieux film où un vilain crocodile vient embêter quelques touristes venus seulement pour prendre quelques photos souvenirs. Radha Mitchell et ses compagnons embarquent dans une belle gal’rer et vont servir de déjeuner au carnivore mais heureusement il y a Michael Vartan, l’ex agent Vaughn de la série Alias qui est là pour bomber le torse et rendre le film encore plus soporifique. Rien à se mettre sous la dent donc avec ce Solitaire, si vous aimez voir les crocodiles mieux vaut encore sortir au Zoo, ça vous coutera moins cher !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus commander d’Expresso.

  • Les orphelins de Huang Shi

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    La Chine des années 1930 a été marquée par ce que l’on nomme la Seconde Guerre Sino-japonaise, un conflit qui fera de nombreuses victimes. Cela fait déjà 5 semaines que notre pote George Hogg (Jonathan Rhys-Meyers) est arrivé en Chine pour les besoins de son travail. Il est journaliste et veut rendre compte de l’horreur qui l’entoure et c’est pour cela qu’il prend de grands risques. Il manque d’ailleurs de se faire décapiter mais se voit sauvé par Chen Hansheng dit Jack (Chow Yun Fat) qui l’enverra ensuite rejoindre l’orphelinat de Huang Shi.

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    Inspiré d’une histoire vraie d’un simple journaliste qui par son courage et sa volonté aura permis de sauver la vie à plus de 60 enfants orphelins abandonnés de tous. Le principal défaut dans Les orphelins de Huang Shi est de nous proposer un film trop formaté ; les bons sentiments sont là et tout est réuni pour toucher notre corde sensible. Difficile également de distinguer les aspects de la vie du journaliste qui sont réels et ceux qui ont été exagérés pour les besoins du cinéma. Hormis ce point de détail, il serait tout de même dommage de se priver du destin hors-norme de ce personnage que fut George Hogg.

     

    Il faut le voir pour : Faire un potager chez vous.