Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

marie kremer

  • Marc - 10 jours en or

    Bonjour !

     

    2167860595.61.jpg

    01.jpgJe me présente, je suis Marc (Franck Dubosc) et vous ? Si je peux me permettre de vous donner un conseil Man propose une nouvelle gamme de chaussettes qui irait parfaitement bien avec ce caleçon !

     

    Le petit garçon ? Il s’appelle Lucas (Mathis Touré) et non ce n’est pas mon fils ! Regardez-moi, je suis bien trop pâlichon ! En fait c’est une histoire très compliquée, sa mère me l’a confié afin que je le raccompagne auprès de son père qui habite dans le Sud.

    02.jpg
    Un siège rehausseur ? Oui, on me l’a déjà dit … Mademoiselle, je vous abandonne, je vous laisse ma carte si vous avez besoin de quoi que ce soit. Vous savez, je dis souvent qu’il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous !

     

     

    En savoir plus sur 10 jours en or ?

  • Mohamed Dubois

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Enfant issu d’une famille aisée, Arnaud Dubois (Eric Judor) se pose désormais quelques questions sur ses origines. Il aura suffit que son père Gérard (Jackie Berroyer) fasse un test de paternité pour que son fils comprenne qu’il pourrait bien avoir du sang tunisien ! Arnaud n’existera donc plus désormais, il se fera appeler Mohamed et abandonne son travail à la banque pour un kebab en compagnie de son nouveau pote d’enfance Mustafa (Youssef Hajdi). Ce dernier ambitionne par ailleurs d’ouvrir son propre établissement qui sera le premier restaurant gastronomique hallal. Arnaud … enfin Mohamed va l’aider à monter le dossier et à rechercher le financement mais tout ça est bien plus compliqué qu’il n’y parait.

    01.jpg

    A priori Mohamed Dubois avait tout d’une comédie sympathique avec son pitch improbable et la participation d’Eric Judor. Seulement il faut bien dire que ce premier long-métrage d’Ernesto Ona n’atteint pas son principal objectif qui est de nous faire rire malgré une belle distribution. En dehors du créateur de la série Platane, on est avant tout content de voir un peu plus en lumière Sabrina Ouazzani & Youssef Hajdi mais ça ne suffit pas à nous donner satisfaction. Ce thème de la double-culture avait largement de quoi inspirer plus d’humour et on se dit donc que les réjouissances promises par la bande-annonce nous ont fait faux bond.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre pourquoi on adopte plus d’enfants chinois !

  • 10 jours en or

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Beau parleur et séducteur devant l’éternel, notre pote Marc (Franck Dubosc) était voué à devenir commercial et d’ailleurs chez Man, c’est un excellent élément. C’est au cours de sa tournée qu’il fait une rencontre pour le moins particulière, celle de Marie (Tatiana Rojo) avec qui il va terminer la soirée. Une autre surprise l’attend au réveil puisqu’en partant à la recherche de la jeune femme, il tombe nez à nez avec un petit garçon du nom de Lucas (Mathis Touré). Marie, sa mère, se trouve en effet sous la menace d’un arrêté de reconduite à la frontière et a ainsi confié le destin de son fils à Marc. Individualiste et égoïste, le commercial se retrouve dans une drôle de situation et n’a d’autres choix que de ramener Lucas auprès de son père dans le sud de la France.

    01.jpg
    On savait Dubosc populaire en tant que comique, on avait beaucoup moins l’occasion de le découvrir dans des rôles plus dramatiques. 10 jours en or est un road-movie qui rassemble une galerie de personnages assez atypiques entre la jeune femme qui parle plus vite qu’elle ne pense et un grand-père adepte du canard WC mais tous sont unis par une profonde solitude. On retrouve du mec très égoïste qui va finir par se transformer au contact d’un enfant, le déroulement de l’histoire est malheureusement un peu trop classique. Il n’y a rien qui puisse donner un peu de caractère à ce film pas même la première prestation plus que correcte du petit Mathis Touré, aussi vite vu qu’oublié !



    Il faut le voir pour : Ne pas oublier d’acheter un siège rehausseur pour vos enfants !


    Découvre le film Dans la peau de Marc !

  • Louise Wimmer

    star 03.5.jpg

    aff.jpg

    Chaque jour qui passe est une véritable épreuve pour notre pote Louise Wimmer (Corinne Masiero) qui se retrouve actuellement dans une situation difficile. Cela fait 6 mois que son dossier traine et qu’elle attend de se voir attribuer un logement décent et jusque-là elle a élu domicile dans sa voiture. La vie au quotidien est éprouvante ; pour se nourrir elle guette les clients sur le départ au restaurant et pour la toilette, elle se rend dans les stations-services. Son travail de femme de ménage ne lui permet malheureusement pas à se sortir de cette spirale infernale. Louise est criblée de dettes et se demande si elle entreverra un jour le bout du tunnel.

    01.jpg
    Louise Wimmer constitue certes le portrait d’une femme tombée dans les affres de la précarité mais c’est aussi et surtout une photographie réaliste de notre société contemporaine. Au-delà du triste sort réservé à notre héroïne c’est en effet aussi l’occasion de découvrir un environnement hostile où l’individualisme et l’égoïsme des uns et des autres prend le pas. Louise est une femme qui refuse la pitié et est représentative d’une frange de la population plongée dans la misère mais qui fait tout son possible pour préserver les apparences perpétuellement à la recherche d’une bouée de sauvetage. Tout repose donc sur la comédienne Corinne Masiero plus habituée au théâtre qui se voit proposer là son premier grand rôle sur le grand écran et qui mériterait largement d’enchaîner avec d’autres.



    Il faut le voir pour : Penser à investir dans un Espace, on ne sait jamais ce qui peut arriver.

  • Ni à vendre ni à louer

    cinéma, film, comédie, fim choral, Ni à vendre ni à louer, Jacques Gamblin, Maria de Medeiros, François Damiens, François Morel, Dominique Pinon, Arsène Mosca, Marie Kremer, Chantal Neuwirth, Catherine Hosmalin, Charles Schneider, Gustave Kervern, Vincent Martin , pascal rabaté, Stéphanie Pillonca, Patricia Franchino

    Les vacances à la mer, beaucoup en rêvent et c’est dans la région de Saint-Nazaire qu’on retrouve quelques potes d’enfance. Impossible de manquer le supermarché du coin peu achalandé mais où les codes barres sont faits maison et disposés avec grand soin. Attention si vous croisez les 2 golfeurs ! Ils n’en ont pas l’air comme ça mais ce sont de véritables pickpockets et ils ont une bien belle collection de portefeuilles. Pour d’autres, c’est l’occasion de se détendre que ce soit en faisant du camping avec sa grande famille ou bien en faisant une petite partie de Scrabble qui ne manque pas de sous-entendus. Ne vous étonnez pas non plus de voir un couple pourchasser un cerf-volant en voiture, il s’en passe vraiment de drôles de choses !

    cinéma, film, comédie, fim choral, Ni à vendre ni à louer, Jacques Gamblin, Maria de Medeiros, François Damiens, François Morel, Dominique Pinon, Arsène Mosca, Marie Kremer, Chantal Neuwirth, Catherine Hosmalin, Charles Schneider, Gustave Kervern, Vincent Martin , pascal rabaté, Stéphanie Pillonca, Patricia Franchino

    Pour son second long-métrage, Pascal Rabaté se lance  là dans quelque chose d’osé et d’étonnant puisque Ni à vendre ni à louer est un film choral et de surcroit quasiment dénué de dialogues. Déjà qu’il n’est pas facile de faire cohabiter une bonne quinzaine de personnages, ceux-ci ne s’expriment en effet qu’en onomatopée mais on s’en accommode rapidement. L’histoire se compose ainsi de plusieurs scénettes reposant sur la carte de l’humour et même si on n’est jamais submergé de rire, il y a bien quelques passages qui nous font décrocher un léger sourire. Nul doute que l’expérience du réalisateur en tant qu’auteur de bande dessinée lui a permis de mieux appréhender ce film curieux mais qui mérite qu’on s’y attarde.

     

    Il faut le voir pour : Rester sur vos gardes si vous passez près d’un terrain de golf !

  • Légitime défense

    aff.jpg

    C’est un bureau sens dessus-dessous que notre pote Benoit (Jean-Paul Rouve) a retrouvé. Il s’agit du cabinet de son père qui est devenu détective privé après avoir quitté la police et apparemment il s’est attiré des ennuis ! N’arrivant pas à le joindre au téléphone, c’est lui qui est venu constater les dégâts mais lorsqu’il commence à vouloir mettre un peu d’ordre, il est interpellé par un certain Moret (Olivier Gourmet) et ses sbires. Ils sont à la recherche d’une mallette remplie de drogues d’une valeur de 900 000 Euros que le père de Benoit aurait subtilisé et celui-ci semble avoir disparu de la circulation.

    01.jpg

    On avait quitté Jean-Paul Rouve dans une drôle d’enquête (voir Poupoupidou) et on le retrouve cette fois en victime collatérale payant les pots cassées pour son vieux père. Entre révélations et torgnoles, Légitime défense est un policier sans relief malgré les bonnes volontés de l’ex-Robin des bois et du toujours très efficace Olivier Gourmet. On ne peut pas en dire autant de l’intrigue qui à vouloir trop faire balader le spectateur finit par totalement le perdre, sans compter des éléments scénaristiques peu convaincants comme la liaison du père avec Mélody (Marie Kremer). C’est loin d’être un film passionnant et on ne vous en voudra pas de passer à coté.

     

    Il faut le voir pour : Confisquer l’appareil de photo de votre père, vous savez pas ce qu’il peut faire avec !