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comédie - Page 77

  • Big Mamma : De père en fils

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    Notre pote Malcom Turner (Martin Lawrence) est tout excité car son beau-fils Trent (Brandon T. Jackson) a enfin reçu sa lettre d’admission pour l’université, une vraie fierté qui n’est pas forcément partagé. Trent n’a pas l’intention de poursuivre ses études, non lui il est fait pour la musique et on lui propose d’ailleurs un beau contrat. Seulement comme il n’est pas encore majeur, il doit obtenir l’accord de Malcolm et c’est pas gagné ! Pour le faire craquer, le jeune homme va jusqu’à l’harceler en pleine filature et ce qui devait arriver arriva ! Trent devient le témoin d’un meurtre et il va devoir se faire discret. Cette affaire va les amener à s’installer dans un pensionnat de jeunes filles où ils circulent sous les identités de Big Mamma & Charmaine.

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    Personne ne l’attendait et pourtant Big Mamma est de retour dans ce 3ème (et on l’espère dernier) volet et on en a même 2 pour le prix d’1. On ne change pas une recette qui gagne … ou pas ; un humour toujours à l’image de ses protagonistes à savoir très lourd basé essentiellement au-dessous de la ceinture et de sous-entendus salaces. Le semblant de scénario qui sert d’histoire au film ne va pas non plus le sauver de la noyade en plein milieu d’un océan de médiocrité. A moins d’être un inconditionnel du personnage, on se passera volontiers de Big Mamma : De père en fils qui n’existe que pour enrichir un peu plus les studios et notre cher Martin Lawrence.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de jouer au Twister avec certaines personnes.


    En savoir plus sur Big Mamma ?

    En savoir plus sur Big Mamma 2 ?

  • Tous les soleils

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    Alessandro (Stefano Accorsi) est actuellement dans une situation dramatique ; sa fille Irina (Lisa Cipriani) est en pleine crise d’adolescence ! Son dernier fait d’armes est d’avoir balancé une brique sur des CRS lors d’une manifestation de soutien pour le Tibet. Il faut dire qu’elle est bien encouragée par son oncle Crampone (Neri Marcoré) qui vit avec eux et qui refuse de quitter l’appartement tant que Silvio Berlusconi ne se sera pas retiré de la vie politique italienne. Bref, Alessandro en voit de toutes les couleurs mais parfois il a souvent le moral en berne quand il repense à sa femme disparue. Il n’a pas encore su tourner la page mais Irina a bien l’intention de l’aider à faire de nouvelles rencontres … à son insu.

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    Dans la mouvance des Feel-good movies, le dernier film de Philippe Claudel donnera sans aucun doute le sourire à de nombreux spectateurs. En plein cœur de Strasbourg, on est invité dans le quotidien d’une famille monoparentale composée d’un père qui n’a pas réussi à faire son deuil, une ado qui réclame plus de libertés et un oncle délicieusement extravagant. Ce dernier incarné par Neri Marcoré insuffle une vraie brise de fraicheur jusqu’à voler la vedette à son compatriote Stefano Accorsi. Drôle et émouvant, Tous les soleils est un film qui communique de la bonne humeur et c’est à consommer sans modération !

     

    Il faut le voir pour : Quitter votre partenaire si il ou elle ne boit pas de vin, votre relation est vouée à l’échec !

  • Chez Gino

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    Gino Roma (José Garcia) tient une petite pizzeria à Bruxelles mais les temps sont durs. Il y a 10 ans, quand il a ouvert son restaurant, il était le seul et aujourd’hui on en compte plus d’une dizaine aux alentours. C’est pourquoi il avait fait appel à un jeune réalisateur, Daniel T. Stern (Samuel Benchetrit) pour produire une publicité. Le résultat n’est pas vraiment celui qu’il escomptait mais il a désormais une nouvelle mission pour lui ; réaliser un documentaire sur sa vie de gangster ! En vérité, notre pote Gino n’a rien d’un gangster mais c’est ce qu’il veut faire croire à son Oncle Giovanni (Ben Gazzara) mourant qui habite en Italie pour obtenir une part de son héritage.

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    Après J'ai toujours rêvé d'être un gangster, Samuel Benchetrit et sa compagne Anna Mouglalis continuent d’explorer le sujet de façon plus décalée cette fois. Présenté sous la forme d’un faux documentaire, Chez Gino aurait du permettre à José Garcia de briller de mille feux mais à force de trop osciller entre l’aspect amateur et la pure comédie, le réalisateur offre une copie sans saveur. L’idée de départ était séduisante d’autant plus que la participation de Sergi Lopez en rival était alléchante mais le ton juste n’est jamais trouvé. On ira donc plus le voir par sympathie pour son interprète principal que pour le talent de Benchetrit.

     

    Il faut le voir pour : Vous payer une bonne pizza après la séance.

  • Double ration de Premières Impressions

    Salut à tous !

     

    Bonne nouvelle pour les fans du grand écran et de surcroit lecteurs de Ciné2909 (mais si ça doit exister !), on va doubler la dose des Premières Impressions afin de coller davantage à l’actualité cinématographique du moment.

    Vous aurez ainsi droit à 2 Premières Impressions par jour pendant au moins une semaine voire plus en fonction de ce que j’aurais réussi à aller voir. Rendez-vous à 15 H puis 17H pour découvrir tout ça !


    Enjoy !

  • Cyrus

    Allô Jamie (Catherine Keener)? C’est John (John C. Reilly).

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    b.jpgComment ça je te réveille ? Oh oui, excuse moi, je n’avais pas vu l’heure. Ecoutes, il faut absolument que tu m’aides. Tu te souviens de cette femme Molly (Marisa Tomei) que j’ai rencontré à la soirée ? Et bien, je dois dire qu’elle a complètement changé ma vie, je suis fou d’elle mais il y a quelque chose qui cloche.

     

    J’ai fait la connaissance de son fils Cyrus (Jonah Hill) et il m’a paru assez louche. Plus j’y pense, plus je me dis que son comportement était pour le moins étrange ; j’avais passé une nuit chez eux et lorsque je me suis réveillé mes baskets avaient disparus !

     

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     Oui, les vieilles Adidas que tu appréciais tant. J’ai besoin que tu m’accompagnes et que tu les rencontres pour me donner ton avis. Comment ? Oui pardon, je te laisse dormir, à demain !

     

     

     

    En savoir plus sur Cyrus ?

  • Si tu meurs, je te tue

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    Philippe (Jonathan Zaccaï) sort à peine de prison et une page de sa vie se tourne. Il a trouvé un petit appartement et concernant le boulot il s’occupe de débarrasser les caves, bref tout va plutôt bien. Un soir, il rencontre Avdal (Billey Demirtas) au bar ; ils se sont déjà croisés et échangent quelques mots. Philippe comprend alors que son nouveau pote d’enfance n’a pas de logement et lui propose de l’héberger pour le dépanner. Il lui trouve également un job malheureusement Avdal meurt de cause naturelle apparemment et Philippe doit prendre contact avec sa fiancée Sibe (Golshifteh Farahani). Cette dernière vient d’arriver en France mais elle ignore encore le drame qui vient de se produire.

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    Si on s’arrête aux 15-20 premières minutes du film, on se dit alors qu’on aurait mieux fait de rester chez soi mais cela aurait été une belle erreur ! Après un prologue assez statique, on découvre une comédie à l’humour à l’image de son titre à savoir très décalé et l’ennui qu’on éprouvait au départ se transforme alors en une agréable surprise. Marqué par le second degré, impossible de ne pas rire devant ce groupe de potes d’enfance kurdes ou de résister au charme de l’envoutante Golshifteh Farahani. Si tu meurs, je te tue est un film qui interpelle dans ses premiers instants mais qui se révèle être au final une très belle découverte.

     

    Il faut le voir pour : Manger des œufs durs.

  • Mr. Nice

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    A en croire son parcours scolaire, notre pote Howard Marks (Rhys Ifans) était destiné à un brillant avenir mais le destin joue parfois de drôles de tours. C’est en intégrant la prestigieuse école d’Oxford que ce gallois a vu sa vie complètement bouleversé au moment où il a fumé son premier joint. A compter de ce jour, le Cannabis et le Haschich sont devenus ses compagnons de fortune mais Howard n’est pas qu’un simple consommateur, il va également se mettre à dealer. Ça a commencé par le transport de drogues d’Allemagne jusqu’en Angleterre et cela va rapidement se développer avec des contacts jusqu’à Kaboul en Afghanistan. Il n’a peur de rien et se lance même le défi de conquérir le marché gigantesque qui se trouve aux Etats-Unis.

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    C’est l’histoire d’un trafiquant de drogue vraiment pas comme les autres. Le monde connait Howard Marks comme un dealer qui a usurpé plusieurs identités et qui s’est également immiscé aussi bien dans le MI 6, les services secrets britanniques ou l’IRA. Premier grand rôle pour Rhys Ifans qui s’était mis à nu  aux cotés d’Hugh Grant dans Coup de foudre à Nothing Hill, Mr. Nice tout comme la prestation du principal intéressé est plutôt convenu et ne vous fera pas planer plus que ça. On s’attendait à un peu plus d’extravagance dans l’adaptation de l’autobiographie de Marks, ça manque clairement d’esprit Sex, drogue & rock’n’roll !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à faire un spectacle à l’aide d’un simple stylo (mais pas à tout le monde et c’est seulement réservé aux mecs !)

  • Le mytho - Just go with it

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    A l’aube de son mariage, notre pote Danny Maccabee (Adam Sandler) a découvert le vrai visage de celle qui était à deux doigts de devenir sa femme et a noyé son chagrin dans un bar. C’est là qu’il découvre le pouvoir de son alliance et l’empathie qu’il peut provoquer auprès de la gente féminine lorsqu’on est capable de trouver l’histoire qui convient. Des années plus tard, son manège continue mais en rencontrant Palmer (Brooklyn Decker), Danny est persuadé qu’elle est la femme de sa vie. Encore une fois, il s’empêtre dans le mensonge et prétend être en pleine procédure de divorce avec une certaine Devlin. Pas de chance, Palmer veut rencontrer cette femme et le chirurgien n’a d’autres choix que de demander à sa secrétaire Katherine (Jennifer Aniston) de jouer le jeu.

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    Pour nous pondre sa comédie romantique, le réalisateur Dennis Dugan a utilisé le moule adéquat et nous sort donc un film qui n’a franchement rien d’original. Le duo Jennifer Aniston / Adam Sandler est sympathique mais pour maintenir le rythme pendant 1H50, ce sont surtout les personnages secondaires et notamment les enfants (Bailee Madison & Griffin Gluck) qui apportent un brin de fraicheur. On ne cachera pas qu’on trouve parfois l’humour assez lourd (le commerce de chèvre a de quoi laisser pantois) mais ce serait vous mentir si je disais que je n’ai pas pris un certain plaisir à voir Le mytho - Just go with it. Une comédie passable quoi !

     

    Il faut le voir pour : Demander à vos potes mariés de vous prêter leur alliance.

  • Au bistro du coin

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    La mort de Jean Valjean, un SDF du quartier, a ému de nombreux habitants et notamment Bertrand (Guy Lecluyse) qui a eu l’initiative d’organiser un spectacle. Avec la collaboration des autres commerçants et habitants, il compte ainsi récolter des fonds et surtout sensibiliser les gens sur le sort des sans-abris. Pour l’occasion, il a demandé à son pote d’enfance Manu (Fred Testot) de lui rendre un service ; utiliser son café Le Chinon 3 pour y faire les répétitions. Alors que le grand jour approche, tout le monde est un peu sur les nerfs et les bouleversements ne manqueront pas de venir rythmer la journée.

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    Au bistro du coin c’est avant tout un concept particulier, un film choral à l’échelle d’un quartier avec comme point d’ancrage le fameux bistro. Autour de ce lieu se tisse alors d’autres histoires plus ou moins bien amenées avec une farandole de comédiens et d’autres qui apparaissent en simples guest-stars. On ne peut pas dire qu’on retrouve réellement la chaleur d’une vie de quartier, on ne s’attache pas à des personnages transparents et les clichés finissent de nous convaincre d’aller boire un coup ailleurs. Allez, je paye ma tournée mais pas pour ce film !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus vous étonner de voire des gens ne pas traverser le passage piéton quand le feu est vert.

  • Morning Glory

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    Fraichement virée de l’émission Good Morning New Jersey, notre pote Becky Fuller (Rachel McAdams) s’est démené pour vite retrouver un job et c’est à New York qu’elle va trouver son bonheur. La chaine IBS lui propose en effet de devenir Productrice exécutive de Daybreak dont les scores d’audience sont pour le moins calamiteux. Dès son arrivée, Becky prend ses responsabilités en virant l’un des présentateurs et elle doit désormais lui trouver un remplaçant digne de ce nom. C’est là qu’elle a l’idée folle de faire appel à Mike Pomeroy (Harrison Ford), journaliste à la carrière impressionnante mais dont le caractère difficile promet quelques dissensions.

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    L’univers des médias et plus particulièrement de la télévision fait l’objet d’une certaine fascination auprès du grand public et Morning Glory est là pour remettre les choses à leur place. On est ainsi convié dans les coulisses d’une émission matinale à l’américaine présentée conjointement par Diane Keaton & Harrison Ford. On regrette d’ailleurs que ce duo n’ait pas donné plus d’éclat en matière de clash, ça se limite à quelques échanges verbaux ce qui fait qu’on est loin d’être plié de rire. Une comédie plutôt quelconque pas désagréable à regarder mais pas non plus une révolution dans le genre.

     

    Il faut le voir pour : Vous faire une Frittata pour le diner !