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comédie - Page 79

  • Les femmes du 6ème étage

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    1962. Après plus de 20 ans de bons et loyaux services, Germaine (Michele Gleizer), la bonne de Suzanne & Jean-Louis Joubert (Sandrine Kiberlain & Fabrice Luchini) a claqué la porte. Il faut donc trouver en toute hâte une nouvelle femme de ménage et c’est ainsi que Maria (Natalia Verbeke), fraichement arrivée d’Espagne, est devenue leur nouvelle employée. Elle vit juste au-dessus d’eux, au 6ème étage où sont logées toutes les bonnes de l’immeuble qui vivent dans une certaine promiscuité. Lorsque Jean-Louis se rend compte de tout cela, il essaie de les aider en faisant appel par exemple à un plombier pour déboucher les toilettes ou encore en faisant marcher ses relations pour trouver une loge à une femme battue par son mari.

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    Toute la beauté du cinéma c’est d’avoir parfois de bonnes surprises comme c’est le cas ici avec Les femmes du 6ème étage. Philippe Le Guay nous plonge ainsi dans le Paris des années 60, période où se poursuit l’immigration du peuple espagnol fuyant le régime franquiste et nous invite à faire la connaissances de femmes courageuses. Avec leur bonne humeur constante et leur accent chantant, elles vont redonner un peu de joie dans la vie plutôt morne d’un Fabrice Luchini égal à lui-même. Une comédie modeste et agréable qui réussit sa mission haut la main, celle de nous changer les idées et de nous faire rire.

     

    Il faut le voir pour : Apprécier le confort d’avoir des toilettes qui fonctionnent !

  • Scout toujours

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    C’est avec une grande fierté que notre pote Jean-Baptiste Foucré (Gérard Jugnot) a accepté d’accompagner les jeunes scouts pour ce camp de vacances. Son père est une légende du scoutisme mais rien ne dit qu’il ait hérité des mêmes qualités car Jean-Baptiste aura fort à faire avec ces enfants. Ils sont déjà venus à bout leur ancien moniteur et comptent bien en faire de même avec leur nouveau chef qui fait preuve d’un peu trop de zèle. Ça se gâte rapidement au moment où le bus tombe en panne avant d’être réduit en poussière par mégarde par Jean-Baptiste lui-même. Et dire que ce n’est que le début du voyage !

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    Il faut bien le reconnaitre, ce n’est certainement pas le meilleur film de Gérard Jugnot présent aussi bien en tant qu’acteur que réalisateur mais on apprécie toujours de le revoir. En abordant le thème du scoutisme, ça réveille forcément des souvenirs pour de nombreux spectateurs et puis il faut lui reconnaitre le mérite pour une comédie grand public d’aborder -certes de façon superficielle- des thèmes assez sensibles. Et puis ne serait-ce que pour voir cette dernière scène culte du paquet cadeau en flammes, ça fait plaisir de regarder Scout toujours !

  • Qui a envie d’être aimé ?

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    Antoine (Eric Caravaca) est un homme qui semble accompli ; il est avocat et père de famille de 2 enfants mais au fond de lui, quelque chose lui fait défaut. Est-ce le manque d’amour qu’il perçoit vis-à-vis de son père (Jean Luc Bideau) ou le comportement égocentrique de son frère Alain (Benjamin Biolay) qu’il considère comme un véritable fardeau. Toujours est-il que c’est à la suite d’une rencontre avec le prof de son fils que la vie de notre pote Antoine va changer radicalement. Il est invité à une réunion à la gloire de Dieu, il s’y rend par pure politesse mais progressivement son comportement va se modifier.

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    On ne sait pas trop à quel saint se vouer à la sortie de la salle, Qui a envie d’être aimé ? conte l’expérience d’un homme totalement ordinaire qui reçoit soudainement la Révélation divine. Si à priori le script peur nous faire sourire, ce n’est pas le cas du film dont l’ambiance est pareil à une messe dominicale. Heureusement, les interventions de Valérie Bonneton & Benjmain Biolay apportent un peu de vigueur sans quoi c’est une sieste d’1H40 qui nous était promise. Ces personnages secondaires auraient mérité une plus grande place dans le film d’Anne Giafferi qui n’a rien d’une révélation.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller votre mari, si il a des réunions au boulot tardives … il fréquente peut-être Dieu !

  • Very cold trip

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    Certains vous diront que le couple formé par Inari & Janne (Pamela Tola & Jussi Vatanen) laisse assez perplexe. Comment cette charmante jeune femme peut-elle supporter de vivre aux cotés de ce chômeur plus motivé à boire une bière avec ses potes d’enfance qu’à subvenir aux besoins du ménage. D’ailleurs, une fois encore Janne n’en fait qu’à sa tête puisque sa petite amie lui a demandé d’effectuer une petite course pour acheter un décodeur afin de passer la soirée en amoureux. Excédé par la nonchalance de son copain, Inari pose cette fois un ultimatum ; s’il souhaite que leur relation se poursuive, il va devoir se débrouiller pour avoir un décodeur avant 9h !

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    On ne peut que se montrer méfiant face à un film dont le titre tente de profiter de la notoriété d’un certain Very bad trip mais bien entendu cela est avant tout la responsabilité du distributeur. Cette question de vocabulaire étant réglé, les 2 films n‘ont franchement rien en commun même si le scénario absurde de Very cold trip aurait pu donner une comédie plus inspirée. Au lieu de quoi, on se retrouve au milieu d’un road-trip dans des paysages enneigés et qui s’enlise au fur et à mesure que les minutes filent. L’idée était là mais on ne se marre pas énormément devant ce film qui nous laisse de glace.

     

    Il faut le voir pour : Louer Titanic pour passer une soirée avec votre copine.

  • Un chic type

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    Après 12 années passées derrière les barreaux, notre pote Ulrik (Stellan Skarsgard) retrouve enfin le doux parfum de la liberté ! Condamné à la suite d’un meurtre, il est tout de suite pris en main par son pote d’enfance Rune (Bjorn Floberg) qui lui trouve aussitôt un toit pour se loger et un boulot de mécanicien. Ulrik écrit une nouvelle page de sa vie et c’est l’occasion aussi pour lui de renouer le contact avec son fil. Bien que la prison soit de l’histoire ancienne, le salopard qui a dénoncé Ulrik à la police doit payer et avec la complicité de Run & Rolf (Gard B. Eidsvold) ; ils mettent au point un plan pour l’exécuter.

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    Sorti de nulle part ou plus précisément du cinéma norvégien, Un chic type se révèle être une des bonnes surprises du moment. A la fois thriller et comédie, il y a de très bonnes idées dans ce film qui vous réserve quelques bonnes tranches de rigolades et le seul regret concerne cette intrigue trop légère. Finalement, la quête de vengeance d’Ulrik (qui a parfois des faux airs de David Morse) devient peu à peu secondaire au point qu’on s’en désintéresse. Si vous avez envie de vous marrer un peu, c’est la séance découverte idéale en ce moment.

     

    Il faut le voir pour : S’apercevoir qu’il faut faire de drôles de sacrifices de nos jours pour être logé gracieusement !

  • Bernie Noël - Bernie

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    Bernie : J'm'appelle Bernie Noël, j'ai 29 ans bientôt 32.

  • Je suis un no man’s land

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    Après son dernier concert, notre pote Philippe (Philippe Katerine) a l’agréable surprise de trouver une jolie jeune femme dans sa loge. C’est avec une certaine excitation qu’il se rend alors chez Chloé (Judith Chemla) pour finir sa soirée mais le dénouement n’est pas celui qu’il espérait. Parce qu’elle parait un peu trop excentrique pour lui (et malgré le ragout qu’elle lui a préparé), il décide de s’enfuir discrètement et se retrouve alors perdu en foret au beau milieu de la nuit. Il y croise Sylvie (Julie Depardieu) qui étudie les oiseaux nocturnes avant de repérer une maison mais à son grand étonnement, il se retrouve … chez ses parents !

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    C’est le premier rôle principal pour le chanteur atypique qu’est Philippe Katerine qui trouve là un personnage qui lui correspond  la perfection. Entendez par là que Je suis un no man’s land tient ses promesses, c’est un film à l’humour totalement décalé qui divisera sans aucun doute le public. Si de prime abord, le chanteur vous laisse indifférent, il y a de grandes chances que ce soit également le cas avec ce film. Une comédie qui tend vers l’ovni cinématographique mais qui garde tout de même les pieds sur Terre, dommage on aurait préféré planer davantage là il n’y a vraiment rien qui parvient à nous marquer.

     

    Il faut le voir pour : Verrouiller la fenêtre de vos toilettes, certaines personnes pourraient prendre la poudre d’escampette … pour acheter des cigarettes !

  • Yogi l’ours

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    Jellystone Park est sur le point d’être fermé afin que le Maire Brown (Andrew Daly) puisse rembourser la dette de la ville et avoir ainsi les faveurs de l’électorat pour devenir le prochain gouverneur. Cette nouvelle est un choc pour le Ranger Smith (Thomas Cavanagh) et surtout pour Yogi & Booboo, deux ours qui prenaient un malin plaisir à chasser les paniers de pique-nique des visiteurs. S’ils veulent sauver ce dernier coin de paradis, ils doivent absolument équilibrer leur budget et faire rentrer plus de 30 000 dollars. Ils ont alors l’idée d’organiser un fantastique feu d’artifice à l’occasion du centenaire de Jellystone Park mais Yogi va, sans le vouloir, gâcher la fête.

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    Après un 1er film sorti en 1964, le personnage crée par le légendaire duo Hanna-Barbera retrouve les honneurs d’une sortie dans les salles obscures. Trouver un ours qui parlent étant difficile de nos jours, Yogi l’ours se compose d’animation en images de synthèse et film live, un mélange plutôt réussi et qui passera comme une lettre à la poste auprès des enfants. Pour les nostalgiques du dessin-animé ou bien pour les amateurs d’ours portant une cravate, ce sont essentiellement les petits qui sauront passer du bon temps quant aux autres, vous pourrez toujours vous consoler en organisant un pique-nique après la séance !

     

    Il faut le voir pour : Faire attention aux ours qui veulent vous piquer votre repas.

  • Africa United

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    C’est l’évènement que le monde entier attend et encore plus sur le continent africain, la Coupe du monde de football 2010 fédère tous les passionnés du ballon rond. Fabrice (Roger Nsengiyumva) manie la balle tel un génie et son talent a tapé dans l’œil d’un émissaire chargé de recruter de jeunes joueurs pour le gala d’ouverture. Il lui propose de rejoindre les sélections à Kigali et c’est alors que son pote d’enfance Dudu (Eriya Ndayambaje) prend les choses en mains. Hélas, après un trajet en bus qui s’est mal goupillé, ils se retrouvent au Gabon manquant ainsi les sélections mais tout n’est pas perdu. La Coupe du monde commence dans 1 mois et pour y participer, il suffit de se rendre en Afrique du Sud !

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    Si la Coupe du monde 2010 fut un cauchemar pour nous supporters français, en Afrique c’était un évènement sans précédent. Ce road-movie est à l’image du ballon de foot conçu par l’ingénieux Eriya Ndayambaje ; c’est fabriqué à partir de presque rien mais ça réussit à nous distraire. Africa United est une comédie plutôt légère, des enfants héros d’une histoire simple et qui vont traverser toute l’Afrique pour réaliser leur rêve. Le personnage à suivre reste Dudu même si à la longue sa vivacité pèse un peu mais le dénouement vous réserve un moment d’émotions. Un film simple mais où on passe un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Utiliser des préservatifs … pour fabriquer un ballon de foot !


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Thérèse & Pierre - Le père noël est une ordure

    03.jpg02.jpgPierre : Ohhh une serpillière, comme c'est original !


    Thérèse : Euh, nan, Pierre, c'est un gilet...


    Pierre : Ah oui, il y a des trous encore plus grands pour passer les bras ! Je me disais justement ce matin : je n'ai rien pour descendre les poubelles !