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Özz nüjen

  • Si tu meurs, je te tue

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    Philippe (Jonathan Zaccaï) sort à peine de prison et une page de sa vie se tourne. Il a trouvé un petit appartement et concernant le boulot il s’occupe de débarrasser les caves, bref tout va plutôt bien. Un soir, il rencontre Avdal (Billey Demirtas) au bar ; ils se sont déjà croisés et échangent quelques mots. Philippe comprend alors que son nouveau pote d’enfance n’a pas de logement et lui propose de l’héberger pour le dépanner. Il lui trouve également un job malheureusement Avdal meurt de cause naturelle apparemment et Philippe doit prendre contact avec sa fiancée Sibe (Golshifteh Farahani). Cette dernière vient d’arriver en France mais elle ignore encore le drame qui vient de se produire.

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    Si on s’arrête aux 15-20 premières minutes du film, on se dit alors qu’on aurait mieux fait de rester chez soi mais cela aurait été une belle erreur ! Après un prologue assez statique, on découvre une comédie à l’humour à l’image de son titre à savoir très décalé et l’ennui qu’on éprouvait au départ se transforme alors en une agréable surprise. Marqué par le second degré, impossible de ne pas rire devant ce groupe de potes d’enfance kurdes ou de résister au charme de l’envoutante Golshifteh Farahani. Si tu meurs, je te tue est un film qui interpelle dans ses premiers instants mais qui se révèle être au final une très belle découverte.

     

    Il faut le voir pour : Manger des œufs durs.