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portia doubleday

  • Her

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    C’est un fait, notre pote Theodore Twombly (Joaquin Phoenix) n’est pas au top de sa forme et a tendance à se renfermer sur lui-même. La cause de cela, c’est sa séparation avec sa pote d’enfance mais aussi sa femme Catherine (Rooney Mara) et le divorce n’est plus désormais qu’une question de temps. Ses amis tentent bien de lui présenter d’autres femmes mais rien n’y fait jusqu’au jour où il fait la connaissance avec Samantha (Scarlett Johansson) avec qui il reprend gout à la vie. Cela semble être le début d’une belle histoire cependant il faut savoir que Samantha n’est en fait que la voix de son système d’exploitation informatique !

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    La romance d’un homme avec son système d’exploitation ; un scénario qui prête à sourire mais c’est une réalité qui pourrait bien vite nous rattraper et qui a en tout cas permis de décrocher l’Oscar du meilleur scénario 2014. Her c’est d’abord la peinture d’une société totalement immergée dans une technologie toujours plus innovante jusqu’à absorber les émotions humaines rendant ainsi la frontière entre l’Homme et la machine encore plus floue. On ne peut pas non plus passer à coté de la jolie performance de Joaquin Phoenix qui réussit à nous transmettre toute sa mélancolie à travers ses doutes et sa solitude. Original et prenant, un film qu’il ne faut pas manquer !

     

    Il faut le voir pour : Surveiller ce que votre mec fait avec l’ordinateur.

  • Carrie, la vengeance

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    Déjà que notre pote Carrie White (Chloë Grace Moretz) n’est pas une fille très populaire, elle est désormais la risée de tout le lycée. La faute à une vidéo que Chris (Portia Doubleday) a pris un malin plaisir à diffuser sur Internet et qui n’a franchement aucun remord à humilier sa camarade. Carrie vient en effet d’avoir ses règles et se souviendra de ce jour puisqu’en devenant une femme, elle se découvre également des pouvoirs télékinésiques. Un moment que redoutait sa mère Margaret (Julianne Moore) convaincue d’avoir enfanté la fille du diable et ça ne fait que commencer ! Pendant ce temps, Sue (Gabriella Wilde) culpabilise après ce qu’elle a fait et cherche à se faire pardonner auprès de Carrie en lui offrant une soirée inoubliable au bal de promo.

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    Sorti en 1976, le film de Brian De Palma a pris un peu la poussière c’est pourquoi le roman de Stephen King a droit à une seconde jeunesse avec ce reboot. A priori, à l’évocation d’un tel projet, la première réaction serait de fuir à toutes jambes mais quand on sait que Julianne Moore partie et la réalisatrice Kimberly Peirce (Boys don’t cry) sont de la partie, ça a quand même de quoi éveiller la curiosité. Un espoir de courte durée car déjà l’histoire ne fonctionne plus vraiment vu qu’on en a soupé des films avec des lycées américains et leurs traditionnels bals de promo (sans oublier l’équipe de lacrosse ! ). D’autre part, Chloë Grace Moretz n’arrive pas à convaincre avec parfois quelques scènes où elle surjoue. Carrie, la vengeance est, malgré sa mise à jour, tout simplement dépassé .

     

    Il faut le voir pour : Transformer votre placard en salle des prières !

  • Big Mamma : De père en fils

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    Notre pote Malcom Turner (Martin Lawrence) est tout excité car son beau-fils Trent (Brandon T. Jackson) a enfin reçu sa lettre d’admission pour l’université, une vraie fierté qui n’est pas forcément partagé. Trent n’a pas l’intention de poursuivre ses études, non lui il est fait pour la musique et on lui propose d’ailleurs un beau contrat. Seulement comme il n’est pas encore majeur, il doit obtenir l’accord de Malcolm et c’est pas gagné ! Pour le faire craquer, le jeune homme va jusqu’à l’harceler en pleine filature et ce qui devait arriver arriva ! Trent devient le témoin d’un meurtre et il va devoir se faire discret. Cette affaire va les amener à s’installer dans un pensionnat de jeunes filles où ils circulent sous les identités de Big Mamma & Charmaine.

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    Personne ne l’attendait et pourtant Big Mamma est de retour dans ce 3ème (et on l’espère dernier) volet et on en a même 2 pour le prix d’1. On ne change pas une recette qui gagne … ou pas ; un humour toujours à l’image de ses protagonistes à savoir très lourd basé essentiellement au-dessous de la ceinture et de sous-entendus salaces. Le semblant de scénario qui sert d’histoire au film ne va pas non plus le sauver de la noyade en plein milieu d’un océan de médiocrité. A moins d’être un inconditionnel du personnage, on se passera volontiers de Big Mamma : De père en fils qui n’existe que pour enrichir un peu plus les studios et notre cher Martin Lawrence.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de jouer au Twister avec certaines personnes.


    En savoir plus sur Big Mamma ?

    En savoir plus sur Big Mamma 2 ?

  • Be bad !

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    Comme beaucoup de garçons de son âge, Nick Twisp (Michael Cera) attend avec impatience de trouver le grand amour ; pas évident quand aucune fille ne fait attention à lui ! C'est par un coup du hasard que son vœu va s'exaucer ; le compagnon de sa mère doit se planquer après une petite escroquerie et les voilà qui débarquent dans un camp de vacances dans les environs d'Ukiah. C'est là qu'il fait la connaissance de la belle Sheeni Saunders (Portia Doubleday) ; jeune femme passionnée par la France et sa culture mais le seul hic c'est qu'elle a déjà un petit copain. Malgré tout notre pote Nick est bien décidé à la revoir et pour cela il doit échafauder un plan pour retourner à Ukiah, il va devoir laisser s'exprimer une autre facette de sa personnalité.

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    Dans les premières minutes, on se dit qu'on a affaire à un énième teen-movie où le sexe va prendre une place prépondérante mais Be bad ! se révèle un peu plus subtil que cela. La star c'est Michael Cera qui tient un double rôle, d'abord celui d'un garçon un peu gauche et coincé et puis sa mauvaise conscience avec le style à la française. Quel rapport a ce François Dillinger avec nous, j'ai encore du mal à le comprendre en tout cas pour le film, à part 2 bonnes scènes et les apparitions appréciées de Steve Buscemi & Ray Liotta ce n'est pas grandiose. La comédie se cherche une identité sans parvenir réellement à s'imposer.

     

    Il faut le voir pour : Devenir un vrai français, vous tailler une petite moustache et fumer la cigarette avec élégance.