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comédie - Page 67

  • La couleur des sentiments

    cinéma, film, drame, comédie, Emma Stone, Jessica Chastain, Viola Davis, Bryce Dallas Howard, Allison Janney, Chris Lowell, Sissy Spacek, Octavia Spencer, Tate Taylor

    Son rêve est d’être journaliste et notre pote Skeeter (Emma Jones) va tout faire pour y arriver et pour le moment elle a besoin d’avoir plus d’expérience dans le métier. Ce travail au Jackson Journal est donc une belle opportunité pour elle même s’il n’est pas très intéressant mais elle va finir par trouver un sujet passionnant pour l’écriture d’un livre : la vie des femmes noires. Nous sommes dans l’Amérique des années 1960 et l’égalité entre blancs et noirs n’est encore qu’une belle utopie. Les femmes noires sont cantonnées aux taches ménagères et sont chaque jour victimes de discriminations. Avec les témoignages d’Aibileen & Minny (Viola Davis & Octavia Spencer), Skeeter a l’intention de révéler les difficiles conditions de vie de ces femmes courageuses.

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    C’est une époque pas si lointaine puisque la lutte pour l’égalité des droits civiques remontent au célèbre discours de Martin Luther King en 1963, révolution sociétale à laquelle La couleur des sentiments joue les prologues. Adaptation du roman du même nom, le film utilise un schéma bien classique mettant en opposition les mauvais patrons blancs face aux servantes victimes et au milieu un personnage, une "héroïne" qui va rétablir un semblant de justice. Malgré le fait qu’on ne soit pas submergé par l’originalité, on n’est pas complètement indifférent à cette jolie fable et on s’étonne même de voir les 02H26 défiler sans temps mort.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter définitivement les tartes au chocolat.

  • Johnny English, le retour

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    Depuis le désastre de sa mission au Mozambique, l’agent Johnny English (Rowan Atkinson) a été révoqué du MI 7 et s’est exilé au Tibet. Alors que plus personne ne s’attendait à le revoir au service de sa majesté, Pegasus (Gillian Anderson) est forcée de le réactiver pour une mission d’une extrême importance. Un contact localisé à Hong-Kong a en effet demandé à rencontrer English pour lui dévoiler les détails concernant le prochain assassinat du premier ministre chinois. Il y apprend par ailleurs qu’un groupe de tueurs à gages nommé Vortex est chargé d’exécuter ce contrat mais ils devront d’abord réunir une clé divisé en 3 parties.

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    On ne peut pas dire que le personnage de Johnny English ait laissé un souvenir impérissable au cinéma mais on apprécie toujours de revoir notre pote Rowan Atkinson. Une nouvelle mission attend l’agent britannique à qui aucune gaffe n’échappe et même si l’humour est relativement primaire, on se marre toujours de bon cœur. Comment ne pas rire devant cette mamie asiatique capable de transformer son aspirateur en fusil ou en tronçonneuse ? Bien entendu, si vous n’avez jamais supporté l’acteur dans la mythique série Bean, inutile de vous dire que vous n’avez pas du tout votre place devant Johnny English, le retour !

     

    Il faut le voir pour : Muscler votre P… !

  • Le fils du mask

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    Tania & Tim Avery (Traylord Howard  & Jamie Kennedy) vivent en couple et la jeune femme se sent prête à franchir un cap : elle veut un enfant ! Son compagnon est moins enthousiaste tout d’abord parce que sa situation professionnelle est encore précaire mais surtout parce qu’il craint d’endosser les responsabilités d’être père. Un jour, leur chien ramène un drôle de masque à la maison ; un objet qui est loin d’être anodin puisqu’il a été crée par le maléfique Loki (Alan Cumming) et quiconque le met sur son visage se transforme en un être extraordinaire. Ça ne rate pas avec notre pote Tim et le résultat neuf mois plus tard c’est la naissance d’Alvy (Liam & Ryan Falconer), un bébé qui va manifester de drôles de pouvoirs.

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    C’était presque inévitable, avec le succès de The mask, les studios hollywoodiens se sont dit qu’il y avait encore de l’argent à se faire et ont mis en chantier cette suite qui malheureusement n’a rien à voir avec le 1er épisode. Tout d’abord exit Jim Carrey & Cameron Diaz ce qui handicape déjà fortement Le fils du mask mais on aurait pu s’en accommoder si le scénario et la réalisation avaient été de qualité. C’est un peu à l’image du personnage du Mask qui se voit ici affublé d’une chevelure en plastique, tout ça parait vraiment artificiel ! Que ceux qui ont pu voir le volet précédent reste sur ce bon souvenir et évitent ce film au risque d’être dégoûté du vert pendant quelques semaines.

  • Une pure affaire

    Allo, ici Goliath à l’appareil !

     

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    01.jpgNon en réalité je m’appelle David Pelame (François Damiens) et je suis avocat dans un cabinet où j’ai la désagréable impression d’être pris pour un con. Un soir alors que je promenais mon chien, j’ai trouvé un sac rempli de cocaïne ainsi qu’un téléphone et je dois vous avouer que je ne savais pas vraiment quoi en faire.

     

    C’est là que j’ai reçu un sms sur le portable qui était dans le sac et que j’ai pris la place de ce William pour dealer un peu de drogue. Ma femme Christine (Pascale Arbillot) pensait que j’avais une maitresse alors j’ai bien été obligé de lui avouer la vérité !

     

    02.jpgRésultat, maintenant on s’occupe des commandes à 2 et on a trouvé une combine pour couper la cocaïne avec du lait en poudre mais attention officiellement on fait du Tango ! Bon, là je te raconte ma vie mais revenons aux affaires, combien de tickets de métro je te mets ?

     

     

     

    En savoir plus sur Une pure affaire ?

  • Beur sur la ville

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    Villeneuve-sous-bois dans le 9-9. Alors que le préfet Flaubert (Roland Giraud) vient célébrer la nouvelle promotion de Lieutenants de police des Basses-Seines, il est interpellé sur le fait que parmi ces officiers aucuns ne soient réellement issus de ce qu’on appelle des minorités visibles. Il charge alors Picolini (François-Xavier Demaison) de régler cette affaire et celui-ci va se faire un plaisir de dénicher l’homme le plus incompétent au monde : Khalid Belkacem (Booder). Pour ne pas faire les choses à moitié, on confie à ce nouveau lieutenant de police une affaire sordides de meurtres qu’il va devoir résoudre. C’est la débâcle assurée pense-t-on d’autant que Khalid ne se sent pas très à l’aise dans ses nouvelles fonctions mais il n’est pas au bout de ses surprises.

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    Pour moi, le cinéma de Djamel Bensalah est proche de celui d’un Fabien Onteniente ; les 2 réalisateurs sont là pour nous faire rire et ils connaissent les ficelles de la comédie sur le bout des doigts. La seule chose c’est qu’ils peinent réellement à se renouveler mais tant que le succès est au rendez-vous, pourquoi changer ? Par son physique atypique, notre pote Booder se voit offrir le premier rôle de Beur sur la ville mais ça tire plus sur le one-man show qu’autre chose assisté par un parterre de guest-stars (Jean-Claude Van Damme, Frédéric Beigbeider, Ramzy Bedia, Popeck, Gérard Jugnot …). Une comédie trop poussive à l’image d’un scénario qu’on aurait apprécié plus simplifié et rarement drôle, ça se laisse voir mais peut-être pas sur le grand écran.

     

    Il faut le voir pour : Eviter les pressings indiens.

  • The artist

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    1927. George Valentine (Jean Dujardin) est la star du cinéma actuel, chacune de ses apparitions fait le bonheur de milliers de spectateurs et bien entendu, les femmes ne sont pas insensibles à son charme. Parmi celles-ci se trouve Peppy Miller (Bérénice Bejo) qui va particulièrement être remarquée au point de faire la une des journaux en compagnie de son idole. Elle va par la suite tenter sa chance pour réaliser un rêve : faire du cinéma et c’est d’abord grâce à ses talents de danseuse qu’elle se fait engager et qu’elle retrouve George sur les plateaux de tournage. Alors que le 7ème art aurait pu réunir un nouveau couple, l’arrivée du cinéma parlant va totalement redéfinir leurs carrières respectives.

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    C’était sans contestations possibles l’évènement cinématographique français de cette rentrée avec un Jean Dujardin récompensé par la Palme du meilleur interprète masculin lors du Festival de Cannes 2011. On ne peut que saluer les risques pris par Michel Hazanavicius d’avoir osé s’atteler à un tel projet à notre époque mais je dois dire que The artist n’a pas su me convaincre totalement. Oui, la performance de Dujardin est de haut vol et il forme avec Bérénice Bejo un couple séduisant mais l’histoire de George Valentine n’a pas su m’émouvoir complètement. Original et unique par sa forme, on aurait bien aimé que ce soit également le cas sur le fonds.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de parler quand vous entrez dans une salle de ciné car là ça va s’entendre !

  • Toast

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    Notre pote Nigel Slater (Oscar Kennedy / Freddie Highmore) et vit à Wolverhampton en Angleterre. Alors que les jeunes garçons de son âge s’imaginent devenir footballeur ou pilote d’avion, lui préfère jouer à l’épicier car il a une passion immodérée pour la grande cuisine ! Hélas pour lui, à la maison les repas se composent surtout de boites de conserve ou de simples toasts et Nigel essaie autant que possible de changer les habitudes alimentaires de ses parents. La découverte des spaghettis bolognaise fut d’ailleurs un véritable désastre mais il y a autre chose qui préoccupe le jeune garçon. Sa mère montre de plus en plus de signes de fatigue, elle finira par lui avouer qu’elle est gravement malade et que ses jours sont comptés.

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    Si le nom de Nigel Slater ne vous dira certainement rien, il faut savoir qu’il est considéré comme un des très grands chefs cuisiniers de l’autre coté de la manche. C’est à partir d’un de ses livres Toast: The story of a boy's hunger qu’est né ce biopic culinaire qui mêle aussi bien sensations gustatives que phases d’émotions. Si l’on parvient à retrouver une part de nostalgie dans les aventures du garçon, Toast n’arrive malheureusement pas à nous emballer à travers un parcours beaucoup trop linéaire et qui ne réussit que difficilement à titiller nos papilles. Le duel entre l’excentrique Helena Bonham Carter & Freddie Highmore aurait vraiment gagné à être plus savoureux afin de ravir les spectateurs. Un film qui ouvre facilement notre appétit mais qui ne parvient à aucun moment à nous rassasier.

     

    Il faut le voir pour : Préparer une tarte au citron pour le dessert de ce soir !

  • (S)ex list

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    C’est une nouvelle désillusion pour notre pote Ally Darling (Anna Farris) toujours à la recherche de l’homme idéal et comme si elle n’était pas assez désespérée, son boss l’a mise à la porte. Et puis en feuilletant ses magazines, elle est tombée sur un article intéressant grâce auquel elle se rend compte qu’elle a quand même eu pas mal de partenaires dans le passé. 19 ! Ally a couché avec 19 mecs sans avoir réussi à trouver le bon alors le 20ème sera forcément la perle rare sans ça elle sera condamné à terminer ses jours comme une vieille célibataire. Quelques verres d’alcool font vite s’envoler cette promesse et c’est alors que lui vient idée : revoir ses ex en espérant que ceux-ci ont suffisamment changé pour devenir l’homme de ses rêves.

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    Sur le papier, il s’agit d’une énième comédie romantique où une jolie jeune femme cherche désespérément un mari et qui va évidemment trouver son bonheur. Si l’originalité n’étouffe pas (S)ex list, le spectateur peut tout de même se consoler avec la présence d’Anna Farris qui sait mieux que personne allier beauté et la loose attitude. Les femmes ne resteront pas non plus insensibles au corps sculpté de Chris Evans qui n’hésite d’ailleurs pas à se ballade en petite tenue pour les séduire. Même s’il est évident que cette comédie ne restera pas dans toutes les mémoires, c’est un bon moyen de se changer les idées en attendant de trouver l’homme idéal !

     

    Il faut le voir pour : Rappeler vos ex, il y a peut-être de bonnes surprises qui vous attendent !

  • Bienvenue à bord

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    Bienvenue à bord ! C’est par ces mots que notre pote Rémy Pasquier (Franck Dubosc) a appris qu’il avait réussi à décrocher ce job d’animateur sur un bateau de croisière. Pourtant, il est loin d’être le candidat idéal mais pour Isabelle (Valérie Lemercier), c’est l’homme parfait pour accomplir sa revanche. Elle a en effet appris par un mail que son supérieur et amant depuis 5 ans Jérôme (Lionnel Astier) allait effectuer la prochaine croisière avec sa femme et il a également prié Isabelle de se trouver un autre job. Elle a donc eu l’idée d’engager Rémy avec l’idée que celui-ci allait semer une véritable zizanie au cours de cette folle croisière.

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    Après le film de Pascale Pouzadoux, les spectateurs sont de nouveaux invités à prendre part à une nouvelle croisière en compagnie cette fois de Franck Dubosc, Valérie Lemercier ou encore Gérard Darmon. Tout comme son confrère, Eric Lavaine pond une comédie très bateau qui malheureusement nous anesthésie par son rythme trop tranquille et un scénario minimaliste au possible. Malgré toute la sympathie que j’éprouve pour Dubosc, son personnage qui se veut solaire finit par agacer plutôt qu’à nous faire rire et à partir de là on peut considérer que Bienvenue à bord est plutôt loupée. Ceux d’entre vous qui monteront à bord seront donc prévenus !

     

    Il faut le voir pour : Réserver une croisière pour aller jouer aux machines à sous.

  • L’auberge espagnole

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    Grace à l’appui de son père, notre pote Xavier (Romain Duris) s’est vu ouvrir les portes du Ministère de l’économie dans le cadre de l’obtention de son DEA. Un emploi lui est ainsi promis mais avant cela il va devoir se spécialiser dans un domaine particulier : il devra connaitre sur le bout des doigts le marché espagnol. C’est ainsi qu’il décide de poursuivre son cursus scolaire à Barcelone via le programme Erasmus. Les premières heures dans son nouveau pays ne sont pas faciles mais sa rencontre avec Anne-Sophie & Jean-Charles (Judith Godrèche & Xavier de Guillebon), un jeune couple croisé à l’aéroport va lui permettre de poser le pied. Par la suite, il va devoir éplucher les annonces pour trouver un toit mais les loyers sont chers et c’est ainsi qu’il va se retrouver dans un appartement à partager avec 5 autres étudiants, une véritable auberge espagnole !

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    Je vous l’accorde ce film ne restera pas dans les annales du cinéma mais il a, à n’en pas douter, véritablement marqué une génération de spectateurs et plus particulièrement d’étudiants. Alors que l’Europe commençait à s’unir autour d’une monnaie unique, Cédric Klapisch et son compère de toujours Romain Duris nous invitait à vivre au rythme de L’auberge espagnole, melting-pot culturel et social. Evidemment, tout y est idéalisé mais on ne peut résister bien longtemps à l’ambiance festive de ce film, aux paysages enchanteurs de Barcelone ; bref un vrai coup de pub pour le programme Erasmus. Qui n’a pas envisagé après ce film d’effectuer un petit séjour en Europe et rien que pour ça on n’oubliera jamais ce film.

     

    La scène à ne pas louper : Wendy au téléphone avec la mère de Xavier qui est parti à la "Fuck" !