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ari graynor

  • Baby-sitter malgré lui

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    Parce que c’est un fils adorable et qu’il voulait rendre service à sa mère, notre pote Noah Jaybird (Jonah Hill) a accepté de jouer les baby-sitters d’un soir et le moins que l’on puisse dire c’est que ça ne l’enchante pas. C’est donc avec une certaine appréhension qu’il se rend chez les Pedulla où l’attendent 3 petits monstres adorables enfants : Blithe, Slater & Rodrigo (Landry Bender, Max Records & Kevin Hernandez). La soirée s’annonce longue et elle ne fait que commencer car Noah reçoit un coup de fil de Marisa (Ari Graynor), sa petite-amie - du moins c’est ce qu’il prétend - qui l’invite à une soirée et lui fait miroiter une belle récompense contre un peu de cocaïne. En baby-sitter consciencieux qu’il est, Noah ne peut pas laisser ces enfants seuls et ils vont donc l’accompagner pour une soirée inoubliable.

    cinéma, film, comédie, baby-stitter malgré lui, Jonah Hill, Max Records, Ari Graynor, J.B. Smoove, Sam Rockwell, Landry Bender, Kevin Hernandez, Kylie Bunbury, David Gordon Green

    Quand notre pote Jonah Hill est dans les parages, vous pouvez être certain qu’il va y avoir de la rigolade et c’est une nuit assez hallucinante que vous allez passer avec Baby-sitter malgré lui. N’est pas Mary Poppins qui veut et puis il faut dire qu’avec une petite fille qui abuse du maquillage et qui ne pense qu’à aller en boite ou un petit salvadorien capable d’exploser vos chiottes, ça ne facilite pas les choses. Comédie bien déjantée à l’image de l’apparition de Sam Rockwell dans un environnement pour le moins spécial, on passera donc un bon moment mais une fois sorti de la salle, il ne subsistera pas grand-chose. Le réalisateur David Gordon Green nous avait déjà déçu avec Votre majesté, ça commence à s’améliorer espérons que la prochaine fois ce sera la bonne !

     

     

    Il faut le voir pour : Rester sur vos gardes quand vous irez aux toilettes.

  • (S)ex list

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    C’est une nouvelle désillusion pour notre pote Ally Darling (Anna Farris) toujours à la recherche de l’homme idéal et comme si elle n’était pas assez désespérée, son boss l’a mise à la porte. Et puis en feuilletant ses magazines, elle est tombée sur un article intéressant grâce auquel elle se rend compte qu’elle a quand même eu pas mal de partenaires dans le passé. 19 ! Ally a couché avec 19 mecs sans avoir réussi à trouver le bon alors le 20ème sera forcément la perle rare sans ça elle sera condamné à terminer ses jours comme une vieille célibataire. Quelques verres d’alcool font vite s’envoler cette promesse et c’est alors que lui vient idée : revoir ses ex en espérant que ceux-ci ont suffisamment changé pour devenir l’homme de ses rêves.

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    Sur le papier, il s’agit d’une énième comédie romantique où une jolie jeune femme cherche désespérément un mari et qui va évidemment trouver son bonheur. Si l’originalité n’étouffe pas (S)ex list, le spectateur peut tout de même se consoler avec la présence d’Anna Farris qui sait mieux que personne allier beauté et la loose attitude. Les femmes ne resteront pas non plus insensibles au corps sculpté de Chris Evans qui n’hésite d’ailleurs pas à se ballade en petite tenue pour les séduire. Même s’il est évident que cette comédie ne restera pas dans toutes les mémoires, c’est un bon moyen de se changer les idées en attendant de trouver l’homme idéal !

     

    Il faut le voir pour : Rappeler vos ex, il y a peut-être de bonnes surprises qui vous attendent !

  • Jewish connection

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    Notre pote Sam Gold (Jesse Eiseinberg) avait le profil du gendre idéal ; il aidait son père à la boutique tout en suivant assidument les préceptes de la Torah. D’ailleurs, on lui prédisait un avenir radieux, il était destiné à devenir prochainement Rabbin et à épouser la belle Zeldy Lazar (Stella Keitel). Hélas, Sam s’est laissé entrainer dans une drôle de combine par son voisin Yosef Zimmerman (Justin Bartha) et perd peu à peu le sens des réalités. On lui propose en effet un job en or : transporter des médicaments de l’Europe vers les Etats-Unis seulement il apprendra très vite qu’il s’agit en réalité de drogues. Obnubilé par l’argent brassé par ces affaires, le jeune homme va multiplier les voyages et même devenir un maillon essentiel de ce trafic.

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    Inspiré d’un véritable fait divers, l’histoire de Jewish connection a de quoi faire sourire dans un premier temps puisqu’on y découvre un trafic de drogues mené par des juifs orthodoxes. C’est donc ce décalage entre ce business et les principes hassidiques qui fonde l’histoire mené par le toujours brillant Jesse Eisenberg et secondé par un Justin Bartha plus discret. On ne peut pas dire qu’il s’agit là d’un film inoubliable, à l’image d’un fait divers on pourra s’y s’intéresser pour la singularité de son scénario. Ce n’est donc pas le grand rendez-vous qu’on attend forcément en se rendant au cinéma mais si vous avez juste envie de vous changer les idées alors c’est plutôt un bon choix.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de ramener des "médicaments" dans votre valise !