Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

adèle haenel

  • Les combattants

    Les combattants ce seront nos potes Adèle Haenel & Kevin Azaïs qui n'ont pas grand-chose en commun jusqu'à ce qu'ils décident d'intégrer l'armée.

     

    Date de sortie : 20 Août 2014.


  • L’homme qu’on aimait trop

    star 03.5.jpg

    aff.jpg

    Notre pote Agnès Le Roux (Adèle Haenel) est de retour à Nice où elle retrouve sa mère Renée (Catherine Deneuve), propriétaire du Palais de la Méditerranée ; un casino en vogue. C’est aussi à cette occasion qu’elle fait la connaissance de Maurice Agnelet (Guillaume Canet), l’avocat de sa mère dont le charme ne la laissera pas longtemps insensible. Renée est préoccupée car son casino traverse une période difficile et il semblerait que son concurrent Fratoni (Jean Corso) et ses méthodes discutables n’y soient pas pour rien. Sur les conseils de Maurice, elle va prendre la Présidence du groupe mais refuse de nommer son avocat comme Directeur général comme il le suggère avec une certaine insistance mais il n’a pas dit son dernier mot.

    01.jpg

    En grande partie inspiré de l’affaire Agnelet qui a défrayée la chronique à la fin des années 1970, L’homme qu’on aimait trop rassemble tous les ingrédients du polar. Une romance qui se termine en tragédie, une fracture familiale entre une mère et sa fille, de l’argent à vous faire perdre la tête et enfin un crime entouré de mystères ; il y a vraiment tout pour embarquer le spectateur. André Téchiné livre donc un film passionnant de bout en bout et s’entoure de surcroit d’un superbe trio avec les présences de Catherine Deneuve, Adèle Haenel & Guillaume Canet tous trois excellents. Tout simplement une adaptation cinématographique très réussie grâce à une interprétation d’ensemble irréprochable et son scénario captivant.

     

    Il faut le voir pour : Faire annuler la procuration de votre conjoint sur votre compte bancaire, on ne sait jamais …

  • Suzanne

    star 04.jpg

    aff.jpg

    Lorsque sa femme Isabelle est morte, notre pote Nicolas (François Damiens) savait qu’il ne serait pas facile d’élever ses 2 filles Suzanne & Maria (Apollonia Luisetti / Sara Forestier & Fanie Zanini / Adèle Haenel). Avec son travail de routier, il n’était en effet pas souvent à la maison mais il a pu compter sur le soutien de ses proches et cette famille s’en est très bien sorti. Reste que Suzanne lui cause pas mal de soucis ; ça a commencé lorsqu’elle est tombée enceinte. Son fils Charlie (Maxim Driesen / Timothé Vom Dorp / Jaime Da Cunha) grandira sans père mais aussi sans sa mère qui tombera follement amoureuse de Julien (Paul Hamy). Pour ce dernier, elle quittera du jour au lendemain son travail et ira même jusqu’à abandonner son enfant.

    01.jpg

    C’est un portrait qu’on n’oubliera pas de sitôt d’abord par l’histoire mouvementée de Suzanne mais aussi par la réalisation de Kattel Quillévéré. Son film est en effet une succession d’ellipses revenant sur les épreuves traversées par une famille définitivement atypique. Bien sur, cela implique aussi beaucoup de questions sans réponses mais ça apporte avant tout un réel dynamisme au récit. Ajoutez à cela le trio Forestier / Haenel / Damiens tout simplement parfait sans oublier le casting des enfants qui est tout aussi remarquable et vous avez là une belle surprise du cinéma français à découvrir absolument et c’est bien normal qu’on lui attribue le Coup de cœur Ciné2909.

     

    Il faut le voir pour : Garder un œil sur votre fille !

  • Trois mondes

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    C’est presque une nouvelle vie qui va commencer pour Alain (Raphaël Personnaz) qui va prochainement se marier avec Marion (Adèle Haenel) et devenir le prochain directeur d’une concession automobile. Il a fait ses preuves chez Testard (Jean-Pierre Malo) qui a décidé de le récompenser, geste d’autant plus compréhensible qu’il s’agit aussi de son futur gendre. L’avenir s’annoncer donc plutôt radieux mais une soirée trop arrosée va bouleverser tout ça. Tard dans la nuit, Al qui était au volant avec ses potes d’enfance Franck & Martin (Reda Kated &Alban Aumard) va heurter accidentellement un homme dans les rues de Paris.  Paniqués, ils décident de s’enfuir sans même porter secours à la victime et sans se douter que Juliette (Clotilde Hesme) a été témoin de toute la scène.

    01.jpg

    Le point de départ, c’est un tragique fait-divers tristement banal et ses répercussions sur 3 individus et c’est là que le casting prend toute son ampleur. Clotilde Hesme & Arta Dobroshi (qu’on avait découverte dans Le silence de Lorna) entourent Raphaël Personnaz rongé dans la culpabilité et qui se trouve pris dans un vicieux engrenage. Jeu remarquable de la part de ce trio d’acteurs qui nous ferait presque oublier des personnages un peu lisse additionné à la réalisation de Catherine Corsini qui signe un film dramatique trop commun. Trois mondes ne propose donc rien de bien transcendant pour le spectateur si ce n’est la présence de ces comédiens talentueux mais encore peu exposés.

     

    Il faut le voir pour : Bien comprendre que le don d’organes ne rapportera rien à vos proches !

  • Alyah

    star 03.jpg

    3502058702.90.jpg

    Notre pote Alex (Pio Marmaï) veut plus que tout changer de vie ; il en a plus qu’assez de dealer et de voir son frère Isaac (Cédric Kahn) lui taxer de l’argent. S’il n’a jusqu’à présent pas vraiment réfléchi à sa reconversion, il se montre intéressé par le projet de son cousin Nathan (David Geselson) d’ouvrir un restaurant à Tel-Aviv. Décidé à l’accompagner en Israël, Alex ne ménage pas ses efforts en prenant des cours d’hébreu mais surtout en commençant à vendre de l’héroïne. En effet, s’il veut participer au projet, il doit rapidement réunir 15 000 euros et il se voit donc obliger de prendre plus de risques. Au même moment, il fait la connaissance de Jeanne (Adèle Haenel) avec qui il entame une relation mais cela pourrait-il remettre en cause son départ ?

    01.jpg

    L’Alyah désigne dans la communauté juive le fait de se rendre en Terre sainte, c’est par cet acte que notre pote Pio Marmaï espère remettre les compteurs à zéro et se reconstruire une nouvelle vie en Israël mais il y a bien sur quelques obstacles qui vont se dresser sur son chemin. Pourvu d’une histoire banale qui reprend le thème du nouveau départ, le premier film d’Elie Wajeman peut néanmoins compter sur une brochette de jeunes talents. Adèle Haenel & Guillaume Gouix viennent en effet compléter le casting sans oublier les débuts d’acteur du réalisateur Cédric Khan et tout ce beau monde donne une belle énergie à ce film.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus prêter d’argent à votre frère !

  • L’Apollonide - Souvenirs de la maison close

    aff.jpg

    Nous sommes aux prémices du XXème siècle. L’Apollonide est une maison close dirigée par une main de fer par Madame Marie-France (Noémie Lvovsky). Du sourire et du plaisir voilà ce que l’on peut trouver dans cet établissement, ces jeunes femmes sont là pour assouvir toutes les envies même celle qui paraissent insensées. Notre pote Madeleine (Alice Barnole) en a d’ailleurs fait l’amère expérience puisqu’il y a quelques mois, elle a été retrouvée attaché à un lit avec le visage défiguré. Depuis ce drame, elle est restée aux services de Madame et est devenue l’intendante de l’Apollonide qui accueille par ailleurs l’arrivée d’une nouvelle charmeuse en la personne de Pauline (Iliana Zabeth).

    01.jpg

    Et si les maisons closes faisaient leur retour dans notre société ? L’idée avait été évoquée il n’y a encore pas si longtemps au sein de notre précieux gouvernement et au vu de la conclusion de film de Bertrand Bonello, il semble que cette proposition continue de faire son chemin. Que dire de L’Apollonide - Souvenirs de la maison close si ce n’est qu’on a droit à un emballage vraiment séduisant mais que son contenu est bien creux ! Le seul intérêt du film réside dans le personnage de Madeleine (soit 20% du film) pour le reste ça n’est qu’artifices malgré les charmes conjugués de toutes ces demoiselles. A vouloir décrire cet univers suffocant dont ces femmes sont prisonnières, il étouffe le spectateur par l’ennui.

     

    Il faut le voir pour : Faire connaissance avec la femme du Joker !