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  • Le sens de l'humour

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    Depuis la mort de son mari, notre pote Elise (Maryline Canto) vit seule avec son fils Léo (Samson Dajczman) dans leur appartement de Paris. Pour le petit garçon l’absence d’un père est parfois difficile à vivre et il repense à lui lorsqu’il voit cette clarinette abandonnée. Récemment il s’est mis en tête de revenir à ses racines juives et souhaite ainsi organiser sa bar-mitsvah. De son coté, Elise vit une histoire avec Paul (Antoine Chappey) mais ce couple n’en est pas vraiment un. La jeune femme est en effet prise de nombreux doutes et semble déjà convaincue que cette relation ne les mènera nulle part.

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    Maryline Canto est une comédienne discrète et charmante et signe avec Le sens de l’humour un premier long-métrage à son image. On se retrouve ainsi plongé dans le quotidien d’Elise, une veuve qui doit également élever son jeune fils incarné par Samson Dajczman. A coté de cela, on est aussi les témoins de sa relation pas toujours évidente avec Antoine Chappey. Au point de vue de l’interprétation pas grand-chose à redire si ce n’est que le trio est en parfaite adéquation sans pour autant parvenir à nous faire oublier une histoire plate qui nous fait tomber dans la banalité. Ce n’est pas forcément le film vers lequel on a envie d’aller sauf si on a beaucoup de temps devant soi et encore …

     

    Il faut le voir pour : Bien vérifier les fauteuils que vous achetez dans les brocantes !

  • Week-ends

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    Les 2 couples que forment Christine & Jean (Karin Viard & Jacques Gamblin) et Sylvette & Ulrich (Noémie Lvevski & Ulrich Tukur) sont potes d’enfance depuis des années et se trouvent être également voisins. En fait, ils avaient toujours rêvé d’une belle maison à la campagne proche de la mer et ont tout simplement exaucé leurs vœux. Ils coulaient ainsi des jours heureux auprès de leurs enfants jusqu’à cet évènement aussi inattendu qu’incompréhensible ; Jean a décidé de quitter Christine. Depuis, le couple ne cesse de se déchirer et au fil du temps Sylvette & Ulrich revoient leurs potes d’enfance occuper leur ancienne maison à tour de rôle.

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    Un couple d’amis qui se séparent, ce n’est jamais facile à gérer et Week-ends propose ainsi une vision particulière de ce sujet. On s’installe ainsi dans leurs maisons de campagne où l’on partage volontiers en leur compagnie le café ou un bon gigot devenant ainsi les témoins privilégiés de la séparation entre Jacques Gamblin & Karin Viard. Cette dernière apporte un vrai dynamisme au film à tel point qu’on finit par s’ennuyer durant ses quelques absences à l’écran. Pas toujours évident à appréhender, on reste un peu confus devant ce film d’Anne Villacèque puisqu’on ne sait jamais vraiment s’il vaut mieux rire ou pleurer des situations dans lesquelles sont plongés ces personnages.

     

    Il faut le voir pour : Chercher une belle maison au bord de la mer !

  • The Grand Budapest Hotel

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    Autrefois, le Grand Budapest Hotel faisait la fierté de Zubrowka. Ce n’était pas qu’un simple hôtel ; il s’agissait d’une véritable institution ! Le propriétaire se nomme Zero Moustapha (F. Murray Abraham / Tony Revolori) et à chacun de ses passages, il occupe toujours la même chambre, une petite chambre de bonne située au dernier étage. Ça pourrait vous étonner mais lorsqu’il a fait ses premiers pas dans ce lieu magique, il n’était qu’un simple Lobby boy. Il sera alors pris sous l’aile de M.Gustave (Ralph Fiennes), le concierge avec lequel il s’apprête à vivre une incroyable aventure. Assassinat, héritage, amour et pâtisseries ; après ça la vie de Zero ne sera plus jamais la même !

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    Ce qui est sur c’est qu’on oublie rarement un film de Wes Anderson et ça peut être aussi bien dans le sens positif que négatif. Une nouvelle fois, il nous entraine dans une drôle d’histoire en compagnie de Ralph Fiennes et du jeune Tony Revolori. En chemin, on a alors le loisir de croiser la méconnaissable Tilda Swinton ou encore d’apprécier le doigté de Willem Dafoe. Pas de doute, The Grand Budapest Hotel est une démonstration de la maitrise du réalisateur américain cependant on a un peu de mal à accrocher avec une première partie d’abord confuse puis laissant place à un certain ennui. Pour le reste il n’y a rien à dire on a une comédie haute en couleurs et surtout imprévisible, vous pouvez y réserver une chambre immédiatement !

     

    Il faut le voir pour : Constater qu’un chat ne retombe pas toujours sur ses pattes !

  • Terre des ours

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    La fin de l’hiver dans le Kamchatka, terre située en Sibérie. Les paysages fantastiques de cette région nous laissent assister à un formidable spectacle où un torrent de lave côtoie les plaines enneigées. Des fumeroles à perte de vue et déjà les premiers ours sortent de leur hibernation ; ceux qui ne s’étaient pas suffisamment nourri ressentent déjà la faim. Une mère et ses 2 oursons sortent également de leur tanière ; jusqu’à l’âge de 3 ans elle devra veiller sur eux et trouver de quoi les nourrir. Cette vallée n’est qu’une étape pour eux car ce qu’attendent avec impatience tous les ours c’est la chasse aux saumons durant laquelle ils devront se nourrir suffisamment pour la prochaine période d’hibernation.

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    Un petit retour à la nature ne nous fait jamais de mal et ce sera cette fois en compagnie de ces grosses peluches que sont les ours. Direction le Kamchatka avec Marion Cotillard en guise de voix off pour un documentaire plutôt sympathique avec de belles images, où on apprend 2-3 choses sur la vie des ours mais on ne peut s’empêcher de constater que pas mal de scènes tirent un peu en longueur. A part les voir prendre des bains et essayer d’attraper des saumons, on ne peut pas dire que la vie de ces grands mammifères soit très excitante. Au départ assez séduisant, au fil du temps il y a une certaine lassitude qui s’installe dans Terre des ours qui le rend au final assez banal.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir une nouvelle façon de déguster le saumon.

  • The starving games

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    Comme les nombreux habitants du District 12, notre pote Kantmiss Evershot (Maiara Walsh) a grave la dalle et ce n’est pas avec ce qu’elle rapporte de la chasse qu’elle va pouvoir se remplir le ventre. C’est alors qu’a lieu la 75ème édition des Starving Games où le vainqueur pourra non seulement avoir un vieux jambon mais aussi un coupon promotionnel de Subway et un cornichon déjà entamé. Lors du traditionnel tirage au sort, c’est la pauvre Petunia (Kennedy Hermansen) qui est désignée mais sa sœur Kantmiss à l’insu de son plein gré décide alors de se porter volontaire pour la remplacer. Elle sera accompagnée de Peter Malarky (Cody Christian) lui aussi volontaire mais on se pose des questions sur ses véritables motivations !

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    Qui dit succès au box-office dit aussi parodie et c’est désormais chose faite avec The starving games que l’on doit à l’inévitable duo Aaron Seltzer & Jason Friedberg. La base du film c’est évidemment Hunger games auquel s’ajoute les traditionnels gags de bas-étage qui en laisseront plus d’un sur leur faim. Bien entendu, on a aussi quelques références à d’autres blockbusters parfois de manière furtive (Le monde fantastique d’Oz) ou avec des sosies récupérées sur les trottoirs d’Hollywood Boulevard comme ces équipes d’Expendables et d’Avengers. A noter aussi des clins d’œil à Angry Bird et Fruit ninja bref on fourre vraiment tout ce qu’on veut dans ce genre de films donc attention à ce que vous regardez !

  • Un été à Osage County

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    C’est à la suite d’un appel de sa sœur Ivy (Julianne Nicholson) que notre pote Barbara (Julia Roberts), son mari Bill (Ewan McGregor) et leur fille Jean (Abigail Breslin) se sont déplacés jusqu’à Osage County, Oklahoma. Elle rejoint ainsi sa mère Violet (Meryl Streep) atteinte d’un cancer de la bouche et qui est totalement désespérée depuis que son mari Beverly (Sam Shepard) a soudainement quitté la maison. Ivy & Barbara font tout pour réconforter leur mère mais elles ont du mal à comprendre pourquoi leur père s’est ainsi enfui, en tout cas pour Violet c’est l’occasion de revoir sa fille préférée. Un soir, cette famille est réveillée par le Shérif qui vient leur annoncer une triste nouvelle.

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    Il y a d’abord eu une pièce de théâtre avant qu’Un été à Osage County ne soit adapté au cinéma. Pour l’occasion c’est un sacré casting qui a été réuni avec les présences de Juliette Lewis, Ewan McGregor, Benedict Cumberbatch mais ce beau monde se fait vite éclipser par un superbe duo. C’est un plaisir de revoir Julia Roberts dans un rôle digne de ce nom mais surtout celle qui ne vous laissera pas insensible c’est Meryl Streep tout simplement fabuleuse dans la peau de cette mère acariâtre. On ne s’ennuie jamais avec les réunions familiales et le film de John Wells ne fera pas exception avec son lot de rires, de révélations et bien sur d’émotions. Tout est fait pour qu’on ne décroche pas jusqu’à la dernière seconde et c’est exactement ce qu’il se passe !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de manger de la viande pour ne plus être en colère !

  • Supercondriaque

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    Alors que dans les rues on fête l’arrivée de la nouvelle année, une ambulance file à toute allure. A son bord se trouve Romain (Dany Boon) et il se trouve qu’il souffre de … eh bien en fait de rien ! C’est un malade et pour être tout à fait exact il s’agit d’un hypocondriaque qui vient de mettre un sacré bazar à la soirée de son médecin et pote d’enfance Dimitri (Kad Merad). Un médecin qui n’en peut plus du cinéma de Romain et il connait le remède pour le guérir : l’amour ! Il tente ainsi de lui faire rencontrer des femmes mais ce n’est pas chose aisée quand on sait que cet homme ne supporte pas les contacts à cause des germes et de cette satanée épidémie de grippe.

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    Comment ne pas repenser au raz-de-marée qu’avait provoqué Bienvenue chez les ch’tis lorsqu’on voit se reformer le duo Dany Boon / Kad Merad. Avec Supercondriaque, la formule n’a pas beaucoup changé avec au programme une comédie teintée d’un élan solidaire et qui vous réserve quelques tranches de rires. Pas de surprise non plus au niveau de l’humour qui va vite diviser les spectateurs par son coté surjoué mais qui donne quand même lieu à des scènes franchement marrantes (la douche avec Valérie Bonneton ou l’attaque du chien). Si on ne tient pas une excellente comédie, on passe un bon petit moment ce qui en fait un remède pour ceux qui ont besoin de se changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus toucher aux magazines des salles d’attente !

  • Non-stop

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    Embarqué pour un nouveau vol à destination de Londres, notre pote William Marks (Lliam Neeson) est loin de s’imaginer du calvaire qui l’attend. Ce Marshall des airs vient en effet de recevoir un message plus qu’inquiétant : dans 20 minutes il y aura un mort si 150 millions de dollars ne sont pas virés sur un compte. Il prend cette menace très au sérieux et prévient immédiatement un de ses collègues qui se trouve sur le même vol ainsi que le Commandant de l’avion. Alors que les minutes s’écoulent à grande vitesse, William mène son enquête avec l’aide de Nancy (Michelle Dockery), une hôtesse ainsi que de Jen (Julianne Moore), une passagère qu’il vient de rencontrer.

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    Nouveau film d’action pour notre pote Liam Neeson, enfin pas si sur … Difficile de ne pas se montrer perplexe devant le scénario de Non-stop ; un avion et un mort toutes les 20 minutes avec bien sur un homme qui va s’imposer comme le héros de l’histoire on se dit alors où est Steven Seagal ? Seulement ce film signé de l’espagnol Jaume Collet-Serra mise davantage sur le thriller pendant plus d’une heure, période durant laquelle les suspects défilent alimentant ainsi le suspense. Ça aurait pu être passionnant sauf que les personnages sont trop caricaturés et puis surtout on a droit à une conclusion bien ridicule. Tout ça se laisse regarder même si cela ne vole malheureusement pas bien haut.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les passagers qui envoient des sms !

  • Gloria

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    Depuis son divorce, notre pote Gloria (Paulina García) vit seule. Ses enfants mènent leur vie chacun de leurs cotés et elle peut ainsi profiter de sa liberté pour aller danser et pourquoi pas faire des rencontres. C’est ainsi qu’elle fait la connaissance de Rodolfo (Sergio Hernandez), un homme lui aussi divorcé depuis maintenant 1 an. Il ne faudra pas attendre davantage pour qu’un couple se forme mais leur relation s’annonce déjà compliquée. S’il est bien séparé de sa femme, Rodolfo est encore très proche de ses deux filles qui sont totalement dépendantes de lui au point de faire passer parfois Gloria au second plan.

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    Avec Gloria, on a le portrait d’une femme attachante enveloppée dans une certaine solitude sans pour autant tomber dans la dépression. Rien à redire de la prestation de Paulina García, véritable révélation, qui fait preuve d’une parfaite justesse ce qui n’empêche pas ce film chilien de tomber dans une profonde monotonie. A force de nous gaver de scènes anecdotiques, c’est tout l’ensemble qui le devient malgré toutes les bonnes volontés de notre héroïne et quelques traits d’humour bienvenus. Un cinéma à découvrir avant toute chose pour son interprète principale si vous arrivez à surmonter la crainte de tomber dans l’ennui.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais confier vos pistolets de paintball à votre copine !

  • Pompéi

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    Notre pote Milo (Kit Harington) n’était encore qu’un enfant lorsqu’il a vu sa tribu se faire massacrer par les troupes romaines de Corvus (Kiefer Sutherland). Il a ainsi assisté à la mort de son père et à l’exécution de sa mère mais le sort allait s’acharner sur lui puisqu’une vie d’esclave puis de gladiateur l’attend. Quelques années plus tard sous le nom du Celte, ses talents au combat vont le conduire jusqu’à Pompéi et c’est là qu’il fera connaissance de la belle Cassia (Emily Browning) tout juste de retour de Rome. Cette dernière a toutefois la mauvaise surprise de voir débarquer des soldats romains dans sa ville et surtout la présence du Sénateur Corvus venu conclure des affaires ne semble pas la ravir.

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    On connait tous le funeste destin qui a frappé la ville italienne de Pompéi et notre pote Paul W. S. Anderson est là pour nous offrir  une petite leçon d’histoire. Enfin c’est vite dit puisqu’en fait on a dans un premier temps des combats de gladiateurs où se mêlent la sueur et le sang (rassurez-vous mesdames, la fin est so romantic !!). Si vous connaissez et surtout appréciez la série télévisée Spartacus alors vous serez en terrain connu. Par la suite, on a évidemment le feu d’artifices attendu avec son déluge de spectaculaire donc autant dire que pour enrichir notre savoir, on repassera. A part ça, un divertissement au scénario grotesque et qui n’a pas d’autres prétentions que de nous offrir juste de quoi se changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Faire la connaissance du gladiateur qui murmure à l’oreille des chevaux !