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abigail breslin

  • Maggie

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    L'humanité traverse une terrible crise depuis l'apparition du virus appelé Necroambulis et les victimes ne cessent d'augmenter. Cela fait 2 semaines que notre pote Wade (Arnold Schwarzenegger) est à la recherche de sa fille Maggie (Abigail Breslin) et c'est en ville, à l’hôpital qu'il finit par la retrouver. Infectée par le virus, elle ne peut désormais pas échapper à une prochaine transformation malgré tout son père décide de la ramener à la maison. Au fond de lui il garde un infime espoir que Maggie parviendra à garder le contrôle mais pour combien de temps ? Lorsque son agressivité finira par prendre le dessus, Wade sera t-il capable de placer sa fille en quarantaine ?

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    Encore un film de zombies s'exclameront certains oui mais la participation de notre pote Arnold Schwarzenegger apporte une pointe de curiosité. Pour sa première réalisation, Henry Hobson a également fait un choix pertinent en laissant de coté l'action pour se concentrer sur la relation entre cette fille condamnée et un père plongé dans le désarroi. Si on apprécie de voir Schwarzie dans un rôle autre que celui du gros bras, il faut malheureusement reconnaître que Maggie n'a rien pour nous captiver. Ça se veut mélancolique et fort en émotions mais on est surtout submergé par un profond ennui et pour ça on a déjà certains épisodes de The walking dead. A vous de voir si vous avez envie de vous infliger ça !

     

    Il faut le voir pour : Vous poser des questions si votre entourage sent la bouffe !

  • Un été à Osage County

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    C’est à la suite d’un appel de sa sœur Ivy (Julianne Nicholson) que notre pote Barbara (Julia Roberts), son mari Bill (Ewan McGregor) et leur fille Jean (Abigail Breslin) se sont déplacés jusqu’à Osage County, Oklahoma. Elle rejoint ainsi sa mère Violet (Meryl Streep) atteinte d’un cancer de la bouche et qui est totalement désespérée depuis que son mari Beverly (Sam Shepard) a soudainement quitté la maison. Ivy & Barbara font tout pour réconforter leur mère mais elles ont du mal à comprendre pourquoi leur père s’est ainsi enfui, en tout cas pour Violet c’est l’occasion de revoir sa fille préférée. Un soir, cette famille est réveillée par le Shérif qui vient leur annoncer une triste nouvelle.

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    Il y a d’abord eu une pièce de théâtre avant qu’Un été à Osage County ne soit adapté au cinéma. Pour l’occasion c’est un sacré casting qui a été réuni avec les présences de Juliette Lewis, Ewan McGregor, Benedict Cumberbatch mais ce beau monde se fait vite éclipser par un superbe duo. C’est un plaisir de revoir Julia Roberts dans un rôle digne de ce nom mais surtout celle qui ne vous laissera pas insensible c’est Meryl Streep tout simplement fabuleuse dans la peau de cette mère acariâtre. On ne s’ennuie jamais avec les réunions familiales et le film de John Wells ne fera pas exception avec son lot de rires, de révélations et bien sur d’émotions. Tout est fait pour qu’on ne décroche pas jusqu’à la dernière seconde et c’est exactement ce qu’il se passe !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de manger de la viande pour ne plus être en colère !

  • La stratégie Ender

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    L’invasion de la Terre par des extraterrestres appelés Doryphores fut aussi dévastatrice qu’inattendue. Il y eut des millions de victimes et la planète a survécu grâce au courage du légendaire Mazer Rackham (Ben Kingsley) qui n’a pas hésité à se sacrifier. Depuis 50 ans, on se prépare à une nouvelle offensive et notre salut ne passera que par les jeunes surdoués comme notre pote Ender Wiggin (Asa Butterfield). Le Colonel Graff (Harrison Ford) est en effet persuadé qu’il a les capacités requises pour tenir un grand rôle dans ce combat crucial mais sa formation est encore loin d’être achevée. C’est ainsi qu’il quitte la Terre et sa famille pour intégrer une académie militaire où il pourra se perfectionner dans l’espoir de sauver l’humanité.

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    Roman d’Orson Scott Card publié depuis 1985, La stratégie Ender a lancé une saga qui pourrait bien s’installer durablement au cinéma. Le principe se rapproche assez de lui d’Harry Potter puisque notre pote Asa Butterfield intègre lui aussi une école pour optimiser ses incroyables dons. Si Hermione & Ron ne sont pas de la partie, ils sont ici remplacés par Petra & Alai sans oublier le traditionnel rival qui ne peut pas blairer le héros. On ne peut pas dire qu’on soit vraiment ébloui, durant la première partie on se contente d’un Laser quest sans gravité et les seules véritables scènes d’action ne mettent en scène que des vaisseaux spatiaux. Ça a beau se dérouler dans l’espace, ça ne vole pas bien haut !

     

    Il faut le voir pour : Laisser vos enfants jouer tranquillement aux jeux vidéos, ça pourrait un jour sauver la Terre !

  • The call

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    Il y a 6 mois, notre pote Jordan (Halle Berry) a reçu un appel qu’elle ne pourra jamais oublier. Cette opératrice du 911 avait en effet au bout du ligne une certaine Leah Templeton (Evie Thompson), une adolescente menacée par un homme qui s’est introduit chez elle. Jordan a commis une erreur causant la mort de cette fille et elle ne se l’est jamais pardonné. Aujourd’hui, le cauchemar est en passe de se reproduire puisque Casey (Abigail Breslin) vient d’être enlevée et est retenue prisonnière dans le coffre d’une voiture. Elle est parvenue à joindre le 911 grâce à un second téléphone portable et Jordan va tout faire pour qu’on la retrouve et chaque minute qui passe réduit ses chances de survie.

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    Doté d’un scénario plutôt astucieux, The call est un thriller assez prenant puisqu’on se retrouve suspendu au sort de la pauvre Abigail Breslin. Enfermée une bonne partie du film de la même manière qu’un Buried, elle devrait faire remonter à la surface les peurs enfouis de certains claustrophobes. En revanche, on sera bien moins emballé par le personnage soi-disant traumatisé d’Halle Berry qui n’apporte pas grand-chose si ce n’est de participer à un dénouement grotesque. Il n’y a donc aucune urgence à découvrir ce film qui exploite de manière bien trop prévisible une idée qui aurait mérité un meilleur sort.

     

    Il faut le voir pour : Savoir comment réagir si vous vous retrouvez coincé dans le coffre d’une voiture.

  • Happy new year

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    C’est la dernière journée de l’année 2011 et tout New-York s’est mis sur son 31 pour célébrer comme il se doit l’évènement. A Times Square, la foule se presse dès les premières heures pour assister aux festivités avec notamment un super concert de Jensen (Jon Bon Jovi) sans oublier bien sur la traditionnelle boule. Il y a donc beaucoup de pression sur les épaules de Claire (Hilary Swank) chargée de tout organiser et elle commence à paniquer quand la fameuse boule tombe en panne ! Pendant ce temps, Ingrid (Michelle Pfeiffer) est en train de parcourir les 4 coins de la ville en compagnie de Paul (Zac Efron), un coursier qu’elle a engagé afin de l’aider à réaliser toute une liste de résolutions avant l’arrivée de 2012 !

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    Après avoir célébré la fête des amoureux avec Valentine’s day, Gary Marshall le fameux réalisateur de Pretty Woman remet le couvert avec la nouvelle année à venir. Si l’évènement a changé, la recette du film reste elle identique à savoir une pluie de stars comme Katherine Heigl, Sarah Jessica Parker, Ashton Kutcher ainsi que des vedettes du petit écran comme Sophia VergaraLea Michele, Sarah Paulson ou encore Alyssa Milano. Ça brille donc beaucoup mais on ne peut pas en dire autant du scénario d’une banalité affligeante ; Happy new year est un insignifiant film choral dont on a soigneusement travaillé l’emballage pour mieux nous le vendre. A la limite, à voir pour digérer vos repas de fêtes mais rester chez vous pour faire la sieste c’est tout aussi bien !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier de fêter la nouvelle  …. Ba quoi on sait jamais vous aviez peut-être oublié !

     

    En savoir plus sur Valentine’s day ?

    En savoir plus sur Joyeuse fête des mères ?

  • Rango

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    Il vient de débarquer à Poussière et plus rien ne sera comme avant ! Il se fait appeler Rango et a la gâchette facile et d’ailleurs avec une seule balle, il est parvenu à terrasser le faucon qui terrorisait toute la ville. Pourtant, il y a encore quelques heures, Rango n’était qu’un simple caméléon perdu en plein désert Mojave après un accident de la route qui l’a séparé de ses propriétaires. Pour se fondre dans le décor, il s’est donc fait passer pour un redoutable cow-boy et cette réputation lui vaut d’être nommé shérif. Sa première tache sera de résoudre l’énigme concernant l’eau qui n’arrive plus jusqu’à Poussière et qui pousse chaque habitant à quitter la ville.

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    Après nous avoir fait voyager en compagnie de Jack Sparrow et de ses hommes du Black Pearl, Gore Verbinski nous offre une belle récréation avec Rango, un caméléon qui va vous en faire voir de toutes les couleurs. Premier point frappant, les graphismes sont d’une beauté et d’une finesse exceptionnelle à l’image du clone de Clint Eastwood. A cela s’ajoute un panel de personnages d’une grande diversité avec évidemment comme point d’attache un héros peu conventionnel. Belle aventure qui promet aux spectateurs de toutes les générations de passer un très bon moment de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à apprécier l’eau courante !

  • Bienvenue à Zombieland

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    L'être humain est désormais une espère en voie de disparition et pour cause, les zombies ont pris le pouvoir se propageant aussi vite que l'éclair. Notre pote Columbus (Jesse Eisenberg) est l'un des rares survivants et après avoir manqué de justesse de servir de repas à sa charmante voisine de pallier, il a décidé de prendre la route. C'est ainsi qu'il fait la connaissance de Tallahassee (Woody Harrelson) ; un solitaire énervé à la recherche d'un dernier Twinkie à savourer. Quelques temps après, ils croisent sur leur route 2 sœurs Wichita & Little Rock (Emma Stone & Abigail Breslin) qui se jouent d'eux et leur piquent leur bagnole.

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    Les films de zombies on en a déjà vu à la pelle par contre mêler avec de la comédie, ce sont les anglais qui avaient initié le mouvement avec Shaun of the dead. Le pays de l'oncle Sam ne pouvait pas rester indéfiniment les bras croisés et voici donc venir leur réponse avec Bienvenue à Zombieland, une magnifique récréation. Un road-movie avec dégommage de zombies à la pelle qui bénéficie de très bonnes idées (le zombicide de la semaine, la participation de Bill Murray...) qui font de ce film une excellente surprise. Le film pas prise de tête du moment dont le succès aux Etats-Unis a déjà conduit à annoncer une suite !

     

    Il faut le voir pour : Eviter de se faire passer pour un zombie face à quelqu'un qui a une arme !

  • Ma vie pour la tienne

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    Depuis le jour de sa naissance Anna (Abigail Breslin) a vécu de nombreuses opérations. Pourtant la santé de cette jeune fille va à merveille ce qui n’est malheureusement pas le cas de sa grande sœur Kate (Sofia Vassilieva) chez qui l’on a décelé une leucémie. D’ailleurs, c’est dans l’espoir de la guérir que Anna a été conçue ; une naissance programmée et contrôlée du début jusqu’à la fin. Toutes les interventions qu’elle a subi avaient donc pour but d’aider sa sœur mais aujourd’hui elle en a assez d’être considérée simplement comme un remède miracle, elle voudrait juste être une fille comme les autres.

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    L’idée de départ à savoir transformer une sœur aimante et volontaire en un monstre d’égoïsme élevait le film à un autre niveau et permettait alors d’interroger le spectateur sur une situation des plus délicates. Malheureusement ce n’est qu’un artifice pour mieux nous tromper ; Ma vie pour la tienne se révèle trop conventionnel prenant la forme d’un mélo qui cherche par tous les moyens possibles de tirer les larmes aux spectateurs. Portrait familial morcelé entre passé et présent, entre joies et drames ; si le film avait conservé sa pertinence de départ il aurait pu marquer les esprits mais dans le cas présent le réalisateur Nick Cassavetes a raté son coup !

     

    Il faut le voir pour : Comprendre le sens de l’expression "Don de soi".

  • L'île de Nim

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    Une ile déserte que personne au monde n’a jamais découverte ; voici le lieu paradisiaque où vivent Nim (Abigail Breslin) et son père Jack Rusoe (Gérard Butler). Une existence heureuse mais qui l’aurait été davantage si la jeune fille avait toujours auprès d’elle sa mère disparue dans les profondeurs océaniques. Heureusement, elle peut compter sur le soutien des animaux devenus de véritables potes d’enfance et surtout sur les extraordinaires aventures d’Alex Rover dont elle ne manque aucun livre. Dans son imagination, il est le plus grand héros qu’ait porté la Terre mais en réalité il s’agit d’une auteure complètement anxiogène qui n’ose même pas sortir de chez elle pour récupérer son courrier !

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    Qui n’a jamais rêvé de vivre sur une ile déserte loin de tout le stress et de pouvoir se construire son petit coin de paradis ? A défaut de pouvoir vous délasser sur le sable chaud, vous pouvez toujours rejoindre L’ile de Nim, un divertissement agréable que les enfants vont pouvoir apprécier à sa juste valeur. Alors que l’histoire laissait croire à un grand film d’aventures, on est un peu déçu par le déroulement des évènements. Chacun des personnages vit son expérience de son coté pour finalement se retrouver durant les 5 dernières minutes nous laissant un peu sur notre faim. Un film à découvrir pour se rappeler les bons souvenirs de la famille Robinson !

     

    Il faut le voir pour : Constater que le Wi-fi passe même sur les iles désertes !

  • Le gout de la vie

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    Notre pote Kate Armstrong (Catherine Zeta-Jones) ne vit que pour une chose : son travail ! Chef cuisinier de renom à  New York ; sa recette des Cailles aux truffes est une merveille mais si professionnellement elle sait tirer son épingle du jeu, c’est loin d’être le cas du voté de sa vie privée. Continuellement obsédée par tout ce qui touche à la cuisine, elle n’arrive pas à trouver l’homme idéal et se contente d’ailleurs de cette situation. Malheureusement, elle perd sa sœur lors d’un accident et doit désormais prendre soin de sa jeune nièce Zoé (Abigail Breslin) ; une situation qu’elle a du mal à assumer.

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    Ce n’est évidemment pas la sortie cinéma de la rentrée mais Le gout de la vie est une petite comédie dramatique savoureuse. Placer l’histoire dans le milieu culinaire éveille déjà nos sens ; par la suite on est vite charmé par l’indécise Catherine Zeta-Jones, l’extravagant Aaron Eckhart et l’attendrissante Abigail Breslin découverte dans Little Miss Sunshine. On soulignera seulement le dénouement aussi longuet qu’il sent le réchauffé mais en dehors de ça, voilà un film servi à point et qu’il faut déguster tant que c’est encore chaud.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus vous plaindre que votre viande est trop cuite au restaurant !