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aaron seltzer

  • Disaster movie

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    Il l’a vu dans ses rêves, la fin du monde est proche ! C’est d’autant plus vrai que c’est Amy Winehouse (Nicole Parker) elle-même qui lui est apparu pour le prévenir. Un bon prétexte pour notre pote Will (Matt Lanter) de se défiler quand il s’agit de parler d’engagement avec sa petite-amie Amy (Vanessa Minnillo). Mais oublions tout ça pour le moment car Will célèbre ses 16 ans et la fête bat son plein jusqu’à ce que la terre se mette à trembler et ce n’est que le début des problèmes. Des astéroïdes menacent la planète et c’est là que Will se remet à penser à ses rêves désormais  prémonitoires; c’est la fin du monde qui se profile à l’horizon.

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    Argent facile, économies au niveau du scénario et comédiens au rabais (on a quand même la présence de Kim Kardashian si ça ne vous rassure pas ça!) ; il ne semble y avoir que des avantages à réaliser une parodie. Comme ses prédécesseurs en la matière, l’humour pipi-caca est de mise repoussant chaque fois un peu plus les limites de l’affliction. Au menu cette fois 10 000, High School Musical 3, Kung-Fu Panda et bien d’autre pour un résultat réellement désastreux. A moins de vouloir rédiger une thèse sur ces parodies à deux balles et leurs effets néfastes sur la mentalité de l’être humain, je vois mal ce qui pourrait vous motiver de jeter un œil à ce Disaster movie.

  • The starving games

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    Comme les nombreux habitants du District 12, notre pote Kantmiss Evershot (Maiara Walsh) a grave la dalle et ce n’est pas avec ce qu’elle rapporte de la chasse qu’elle va pouvoir se remplir le ventre. C’est alors qu’a lieu la 75ème édition des Starving Games où le vainqueur pourra non seulement avoir un vieux jambon mais aussi un coupon promotionnel de Subway et un cornichon déjà entamé. Lors du traditionnel tirage au sort, c’est la pauvre Petunia (Kennedy Hermansen) qui est désignée mais sa sœur Kantmiss à l’insu de son plein gré décide alors de se porter volontaire pour la remplacer. Elle sera accompagnée de Peter Malarky (Cody Christian) lui aussi volontaire mais on se pose des questions sur ses véritables motivations !

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    Qui dit succès au box-office dit aussi parodie et c’est désormais chose faite avec The starving games que l’on doit à l’inévitable duo Aaron Seltzer & Jason Friedberg. La base du film c’est évidemment Hunger games auquel s’ajoute les traditionnels gags de bas-étage qui en laisseront plus d’un sur leur faim. Bien entendu, on a aussi quelques références à d’autres blockbusters parfois de manière furtive (Le monde fantastique d’Oz) ou avec des sosies récupérées sur les trottoirs d’Hollywood Boulevard comme ces équipes d’Expendables et d’Avengers. A noter aussi des clins d’œil à Angry Bird et Fruit ninja bref on fourre vraiment tout ce qu’on veut dans ce genre de films donc attention à ce que vous regardez !

  • Mords-moi sans hésitation

     

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    Parce que sa mère l’a lâché comme une vieille chaussette pour suivre un célèbre golfeur ; notre pote Becca Crane (Jenn Proske) a du s’installer chez son père, shérif de la petite ville de Sporks. Elle débarque en un lieu où elle ne connait personne et c’est pourtant là qu’elle va rencontrer le beau (mais très pale) Edward Sullen (Matt Lanter) et bien évidemment entre les deux c’est un vrai coup de foudre. Toutefois, ce garçon a quelque chose d’étrange, hormis la permanente qui lui sert de chevelure, il semblerait que ce soit un vampire ! Bien sur, leur amour n’est pas sans poser certains problèmes sinon la saga Twilight n’aurait pas le succès qu’on lui connaît.

     

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    N’en déplaise à certains, Twilight est un phénomène mondial ce qui signifie qu’il y a toujours de l’argent à se faire en exploitant l’œuvre de Stephenie Meyer. Aaron Seltzer & Jason Friedberg n’en sont pas à leur coup d’essai et propose une nouvelle parodie aux qualités plus que douteuses après les nullissimes Big movie ou Spartatouille. Ils n’ont pas l’air de vouloir trop se compliquer la vie en reprenant de film en film les mêmes vannes pourries et Mords-moi sans hésitation n'échappe pas à la règle. Toujours plus con et jamais drôle, telle pourrait être leur signature ; le plus étonnant dans tout ça c’est qu’ils reçoivent encore un soutien financier pour sortir de telles daubes.

     

    Il faut le voir pour : Comprendre enfin pourquoi Jacob est si souvent torse nue.