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  • Le crocodile du Botswanga

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    Leslie Conda (Ibrahim Koma) est le nouvel espoir du football et notre pote Didier (Fabrice Eboué) peut remercier le ciel d’être son agent. Tous deux se rendent au Botswanga, pays d’origine du footballeur qui souhaite notamment disperser les cendres de sa mère disparue. Ils sont accueillis en grande pompe par le Président Bobo (Thomas Ngijol), un chef d’état aux méthodes quelque peu dictatoriales. Celui-ci s’est d’ailleurs mis en tête de créer une équipe nationale de football ; les Crocodiles du Botswanga et il compte bien entendu sur l’enfant du pays pour les mener à la victoire. Après avoir offert une jolie mallette d’1 million d’euros, il charge Didier de convaincre son joueur mais c’est loin d’être gagné !

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    Notre pote Fabrice Eboué est de retour à la réalisation et il en signe également le scénario. Le crocodile du Botswanga nous confronte à un dictateur plutôt original incarné par son inséparable compère Thomas Ngijol. A l’image de Case départ, cette comédie est loin de faire dans le raffiné bien au contraire ; il ne fait que puiser dans les habituels clichés pour nous faire rire. Un humour qui une fois encore ne plaira pas à tout le monde mais lorsqu’on l’apprécie difficile de s’empêcher de se marrer. On peut juste déplorer un certain manque de surprises ; les anciens du Jamel Comedy Club ne prennent malheureusement pas beaucoup de risques mais l’essentiel reste qu’on s’amuse plutôt bien.

     

    Il faut le voir pour : Demander à ce qu’on crée un Ministère des cabinets en France !

  • Tarzan

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    Il y a des millions d’années, une météorite s’est écrasée sur notre planète provoquant ainsi de profonds changements. Le temps a passé et certaines légendes prétendent que cette météorite renferme quelque chose de phénoménal et c’est ce qui a conduit la famille Greystoke à s’installer dans cette jungle. John souhaite mettre la main sur cette météorite mais la découverte de celle-ci va se payer cher. Après un crash d’hélicoptère, seul son fils Jay Jay s’en sortira vivant et il sera recueilli par Kala, une gorille qui a elle aussi eu le malheur de perdre sa famille. Quelques années plus tard, ce garçon a non seulement survécu mais s’est également adapté à cette jungle parfois hostile, ainsi commence la légende de Tarzan.

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    Le célèbre héros d’Edgar Rice Burroughs reprend vie grâce à ce film d’animation allemand avec des graphismes qui visent avant tout le réalisme puisqu’on a fait appel à la technique de la motion-capture. Même si on n’atteint pas les perfections des standards imposés par les grands studios américains, visuellement Tarzan est plutôt plaisant. Ce qui est moins réjouissant c’est au niveau du contenu puisque si l’histoire est plus ou moins respectée (l’introduction fait d’ailleurs un peu peur), ça se prend un peu trop au sérieux. En dehors de M. Smith, on ne peut pas dire que ça déborde d’humour et encore il s’agit là d’un personnage réunissant tous les clichés du maladroit de service. Vraiment pas terrible tout ça !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir comment utiliser un soutien-gorge en pleine jungle !

  • La grande aventure Lego

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    Une nouvelle journée commence pour notre pote Emmet et tout est super génial ! Suivant toutes les instructions qu’on lui a donné, cet ouvrier ordinaire semble avoir trouvé la recette du bonheur mais il va apprendre que tout ça n’est qu’illusoire. C’est après sa rencontre avec la belle Cool-tag qu’il se retrouve lié à la Pièce de résistance, un puissant artefact qui pourrait arrêter le Kragle ! Il y a 8 ans et demi de cela, le maléfique Lord Business a en effet mis la main sur le Kragle menaçant ainsi l’existence même d’Emmet et de ses compagnons. Une prophétie annonce toutefois qu’un être spécial se dressera sur sa route mais se pourrait-il qu’il s’agisse d’Emmet ?

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    Les célèbres briques de construction danoises crées en 1949 font partie de l’enfance de chacun d’entre nous et c’est donc avec une certaine nostalgie qu’on accueille La grande aventure Lego. Après les jeux vidéo, l’invasion commence donc au cinéma avec une aventure qui plaira aux spectateurs de tout âge. C’est simple, on a l’impression de se retrouver sur un immense tapis de jeu avec qu’une envie ; celle d’attraper tous ces jouets à l’écran pour s’amuser avec ! En plus de ça, on a des guests comme Batman, Gandalf ou encore Shaquille O’Neal ; le seul bémol à apporter c’est quelques baisses de rythme et à part ça tout est super génial !

     

    Il faut le voir pour : Acheter des Lego pour vos enfants et aussi un peu pour vous !

  • Only lovers left alive

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    Elle s’appelle Eve (Tilda Swinton) et vit à Tanger, lui se nomme Adam (Tom Hiddleston) et a fait sa vie à Detroit. Tous deux ont vécu beaucoup d’expériences et ont traversé les années et même les siècles puisqu’il s’agit de vampires ! Pour survivre, ils ont besoin de sang mais pas n’importe lequel, si Eve peut se fournir auprès de Christopher Marlowe (John Hurt), Adam a lui trouvé un médecin qu’il paye grassement. Le couple va se réunir puisqu’Eve va faire un long voyage pour rejoindre son bien-aimé. Des retrouvailles auxquelles va s’inviter Ava (Mia Wasikowska) ce qui n’est pas forcément une bonne nouvelle aux yeux d’Adam qui se souvient encore de ce qu’il s’est passé à Paris il y a 87 ans !

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    C’est une vraie curiosité que ce film de Jim Jarmusch parce qu’il traite de vampires mais surtout qu’il fait ça de façon originale. Ici pas de cou mordu tout au long du film, le sang se déguste et vous fait monter au 7ème ciel sans compter cette atmosphère musicale dans lequel on est plongé et vous serez fini d’être persuadé qu’on a bien là quelque chose de différent. Malgré tout, Only lovers left alive peut aussi vite se montrer soporifique car il ne s’y passe presque rien. On a même un peu de mal à entrer dans l’histoire tant les premières minutes sont contemplatives et ça n’aurait pas été du luxe d’avoir un scénario apportant un peu plus de surprises.

     

    Il faut le voir pour : Choper une recette originale pour des esquimaux !

  • La Belle et la Bête (2014)

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    Il était une fois un riche Marchand (André Dussolier) qui vivait avec ses 6 enfants et qui possédait 3 navires. Malheureusement, ces navires furent déclarés perdus en mer et du jour au lendemain cette famille a été obligée de s’installer à la campagne. Un mois plus tard, la famille apprend qu’un de leurs bateaux, la Sirène, a été retrouvé mais lorsque le marchand se rend en ville avec son fils Maxime (Nicolas Gob), il découvre que tout ce qui était à bord a été confisqué pour régler ses créances. Séparé de son fils, le marchand quittera la ville dans la précipitation en pleine soirée et au milieu de cette dense foret va se retrouver face à un somptueux château où vit une étrange Bête (Vincent Cassel) !

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    Depuis son adaptation de Crying Freeman, Christophe Gans n’a cessé de nous démontrer ses grandes ambitions cinématographiques. Il nous le prouve une fois encore en nous livrant sa version de La Belle et la Bête qui rappellera évidemment celle de Jean Cocteau réalisée en 1946 tout en proposant quelque chose de différent. On a devant nous une interprétation moderne et cela se traduit à l’écran par une surabondance d’effets spéciaux du château jusqu’à la Bête entièrement numérisée. On y trouve également les origines du Prince qui sont davantage développés à travers quelques scènes dispersées ça et là mais qui nous font aussi remarquer que Cassel est plus crédible en Bête qu’en prince charmant.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de tenir les promesses que vous faites à votre femme !

     

    En savoir plus sur La Belle et la Bête (1946) ?

  • Les grandes ondes (à l’ouest)

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    Suite aux recommandations du Conseil National, la Station Suisse de Radiodiffusion a mis en place un reportage sur l’aide apportée par le pays au Portugal. Pour cela une équipe va se réunir à Lisbonne avec Cauvin (Michel Vuillermoz) réputé pour son interview de Nasser, Julie (Valérie Donzelli) animatrice en quête d’une quotidienne et leur chauffeur Bob (Patrick Lapp). Ils doivent ainsi visiter différents lieux du Portugal ayant bénéficié d’un apport de la Suisse mais ce reportage va vite tourner au fiasco. Ils seront pourtant témoins d’un évènement inattendu qui va changer le destin du pays.

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    Voilà un film plutôt discret à première vue mais qui mérite vraiment qu’on s’y attarde puisque la bonne humeur sera au rendez-vous. On embarque donc à bord de ce van pour un road-trip à travers le Portugal avec Les grandes ondes (à l’ouest) et les surprises & situations inattendues ne manquent pas. Ça part tellement dans toutes les directions que le film se transforme même on ne sait comment en comédie musicale et cette impression de fourre-tout finit par nuire à l’ensemble. Un joyeux bordel mené par une belle et sympathique équipe (avec une mention pour le toujours excellent Michel Vuillermoz) et donc une belle surprise à coté duquel il serait dommage de passer à coté.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que le portugais du Brésil et celui du Portugal sont différents.

  • Hipótesis

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    Buenos Aires. Roberto Bermudez (Ricardo Darín) est un avocat expérimenté qui a décidé de transmettre son savoir à travers des séminaires. Parmi ses étudiants, il ne va pas tarder à remarquer Gonzalo Ruiz Cordera (Alberto Ammann) d’une part parce qu’il s’agit du fils d’un pote d’enfance et d’autre part parce que ce jeune homme fait preuve d’une belle arrogance. Un soir, en plein milieu d’un cours, Roberto et ses élèves sont soudainement intrigués par les sirènes de la Police. Un crime a eu lieu sur le parking de la fac ; une jeune femme a été retrouvée morte après avoir été agressée et l’enquête va longtemps piétiner. Pourtant, le pénaliste est lui convaincu que le coupable est proche puisqu’il s’agirait tout simplement de Gonzalo !

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    Le pays du Tango nous offre un petit thriller avec Hipótesis qui est en fait l’adaptation du roman Thèse sur un homicide de Diégo Paszkowski. Au programme on a un crime sordide avec un coupable tout désigné du moins du point de vue du héros qu’est l’incontournable Ricardo Darín (qu’on a l’impression de voir dans toutes les grandes productions argentines). Difficile alors de maintenir le suspense ce que tente vainement de faire de le film d’Hernán Goldfrid en faisant s’immiscer chez le spectateur quelques doutes. Ça ne fonctionne pas vraiment et le bouquet final sera cette conclusion abrupte qui en frustrera plus d’un mais qui est annoncée par le titre du film.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de jouer avec vos pièces de monnaie.

  • Vampire university

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    En 1711, notre pote Wayne Gretzky (Adam Johnson) - Non rien à voir avec le célèbre hockeyeur - est tombé amoureux de Mary (Julie Gonzalo). Leur histoire allait hélas se terminer de façon dramatique puisqu’il est peut-être nécessaire de préciser que Wayne est un vampire et n’a pu s’empêcher de croquer le cou de la jeune femme qui est morte sur le cou … le coup ! 300 ans plus tard, il n’a pas oublié cette tragédie d’autant plus que depuis tout ce temps il est devenu impuissant puisque ses dents de vampires ne poussent plus. Aujourd’hui professeur d’histoire à l’université, il va avoir un sacré choc lorsqu’il voit débarquer dans sa classe Chris Keller (Julie Gonzalo) qui est le sosie parfait de sa bien-aimée Mary.

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    Un direct-to-video à ne pas confondre avec le Vampire academy qui lui a droit à une sortie ciné le 05 Mars 2014. Qui dit université américaine dit forcément les indispensables fraternités avec les incontournables fêtes mêlant jeunes femmes frivoles et beuveries. Au milieu de tout ça, Vampire university glisse ainsi une histoire aussi passionnante que les premiers besoins de la journée. On aurait presque de la peine pour tous ces comédiens mais en même temps leur jeu est tellement mauvais qu’on est finalement heureux pour eux d’avoir pu trouver du travail. Bref, encore un film sur lequel il ne faut pas planter ses dents mais que ça ne vous empêche pas de l’offrir à vos pires ennemis !

  • Ida

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    Notre pote Anna (Agata Trzebuchowska) veut vouer sa vie à Dieu et dans quelques jours, elle devra prononcer ses vœux mais avant cela la Mère supérieure (Halina Skoczynska) l’invite à rendre visite à sa tante Wanda (Agata Kulesza). Cette dernière ne s’est jamais réellement souciée de sa nièce et les retrouvailles sont loin d’être chaleureuses. A peine le temps de lui montrer une photo, Anna apprendra tout de même qu’elle s’appelle en réalité Ida Lebenstein et qu’elle est juive. C’est sur cette révélation qu’Ida s’apprêtait à retourner au couvant mais Wanda va la faire revenir et surtout l’aider à retrouver la trace de ses parents morts durant la Seconde Guerre Mondiale.

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    A travers le portrait d’Ida, le réalisateur polonais Pawel Pawlikowski revient sur le traumatisme du peuple juif durant cette période sombre de l’Histoire qu’est la Seconde Guerre Mondiale. Si la principale héroïne reste bien Agata Trzebuchowska et sa volonté de dédier sa vie à Dieu, on sera également particulièrement touché par le cruel destin réservé à sa tante Agata Kulesza. Personnage qui apparait au premier abord assez froid et qui se dévoile tout au long de cette enquête. Un joli film porté par un magnifique duo de comédiennes même si le sujet risque d’en laisser plus d’un sur le bord de la route.

     

    Il faut le voir pour : Garder vos fenêtres fermées !

  • Dragon Ball Z : L’offensive des cyborgs

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    Journée shopping pour Chichi qui en profite pour refaire la garde-robe de toute sa famille. Sangoku et Sangohan sont les préposés pour porter les sacs mais en ville, 2 créatures sèment la panique. Ils se dirigent droit sur nos héros et visent plus particulièrement Sangoku qui s’apprête à livrer une nouvelle bataille. Très vite, il se rend compte qu’il s’agit de nouveaux androïdes fabriqués par le Docteur Gero ou plus exactement par ses ordinateurs et ça ne va pas s’arrêter là puisqu’un 3ème adversaire se présente devant lui. Heureusement que Trunks est à ses cotés pour combattre et il pourra aussi compter sur Vegeta et Piccolo qui ne sont jamais bien loin.

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    En plein cœur de la saga Cell, voilà qu’on découvre les nouveaux androïdes du machiavélique Dr. Gero. Place donc aux numéros 13, 14 & 15 et comme dans la série animée il sera encore question de transformation via absorptions avec Dragon Ball Z : L’offensive des cyborgs. L’originalité n’étant pas vraiment le fort de ces films, la tradition est ici parfaitement respectée et on a au final un film qui sent une nouvelle fois l’exploitation à plein nez. Et puis il a beau être un génie ce Gero, il aurait quand même pu nous fabriquer un être ultime directement au lieu d’avoir toutes ces transformations. A la limite, on aurait bien aimé voir débarquer un Cell d’une ligne temporelle différente pour avaler ces cyborgs enfin bon là c’est juste le fan qui parle …

     

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