Johnny English, le retour

Depuis le désastre de sa mission au Mozambique, l’agent Johnny English (Rowan Atkinson) a été révoqué du MI 7 et s’est exilé au Tibet. Alors que plus personne ne s’attendait à le revoir au service de sa majesté, Pegasus (Gillian Anderson) est forcée de le réactiver pour une mission d’une extrême importance. Un contact localisé à Hong-Kong a en effet demandé à rencontrer English pour lui dévoiler les détails concernant le prochain assassinat du premier ministre chinois. Il y apprend par ailleurs qu’un groupe de tueurs à gages nommé Vortex est chargé d’exécuter ce contrat mais ils devront d’abord réunir une clé divisé en 3 parties.

On ne peut pas dire que le personnage de Johnny English ait laissé un souvenir impérissable au cinéma mais on apprécie toujours de revoir notre pote Rowan Atkinson. Une nouvelle mission attend l’agent britannique à qui aucune gaffe n’échappe et même si l’humour est relativement primaire, on se marre toujours de bon cœur. Comment ne pas rire devant cette mamie asiatique capable de transformer son aspirateur en fusil ou en tronçonneuse ? Bien entendu, si vous n’avez jamais supporté l’acteur dans la mythique série Bean, inutile de vous dire que vous n’avez pas du tout votre place devant Johnny English, le retour !
Il faut le voir pour : Muscler votre P… !







Non en réalité je m’appelle David Pelame (François Damiens) et je suis avocat dans un cabinet où j’ai la désagréable impression d’être pris pour un con. Un soir alors que je promenais mon chien, j’ai trouvé un sac rempli de cocaïne ainsi qu’un téléphone et je dois vous avouer que je ne savais pas vraiment quoi en faire.
Résultat, maintenant on s’occupe des commandes à 2 et on a trouvé une combine pour couper la cocaïne avec du lait en poudre mais attention officiellement on fait du Tango ! Bon, là je te raconte ma vie mais revenons aux affaires, combien de tickets de métro je te mets ?








