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  • Magic baskets

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    Calvin Cambridge (Lil’Bow Wow) et ses 2 potes d’enfance Reg & Murph (Brenda Song & Jonathan Lipnicki) sont orphelins et rêvent du jour où ils trouveront une famille d’adoption. Une nouvelle visite de parents a lieu aujourd’hui mais une fois de plus c’est la déception cependant Calvin va avoir une agréable surprise : parmi les objets offerts à l’orphelinat, il tombe sur une paire de baskets qui auraient appartenus à Michael Jordan. Il n’est pas au bout de ses surprises puisqu’il va se rendre compte que ces chaussures ont des pouvoirs et lui permettent de jouer comme un véritable pro. Repéré lors d’un match des Los Angeles Knights, il va intégrer l’équipe et devenir la nouvelle révélation de la NBA.

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    Attention, film interdit aux plus de 12 ans à moins d’être un fan inconditionnel de basket-ball et de la célèbre ligue NBA. Si les jeunes filles se délectent avec l’histoire de Cendrillon, les garçons trouveront leur bonheur avec Magic baskets nettement moins glamour. On pardonnera alors peut-être plus facilement ce scénario quand même très naïf qui nous permet néanmoins de voir les stars de l’époque qu’étaient David Robinson, Allen Iverson ou encore Gary Payton. N’oublions pas non plus le jeune rappeur Lil’Bow Wow qui lance sa carrière de comédien avec cette comédie qui ne fera pas date.

     

    En savoir plus sur Magic Baskets 2 ?


    Découvre le film Dans la peau du héros !

  • Shark 3D

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    Étudiant en médecine, Nick (Dustin Milligan) est en pleine révision pour ses prochains examens mais voilà que Malik (Sinqua Walls) vient l’inviter à un week-end de fête chez la belle Sara (Sara Paxton). Impossible de refuser une telle invitation et voilà donc tous nos potes d’enfance prêt à s’éclater ; ils ont une superbe maison au bord d’un lac à disposition et une belle provision d’alcool, le programme s’annonce chaud. Malheureusement, ils vont vite déchanter lorsqu’au cours d’une séance de jet-ski, Malik perd malencontreusement une partie de son bras. On a d’abord mis ça sur le dos de Nick mais ils apprendront assez vite qu’il a en fait été victime d’un requin mais les surprises ne s’arrêtent pas là puisqu’il y en aurait plus d’un dans ces eaux !

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    Toute ressemblance dans le titre avec un certain Piranhas 3D n’est certainement pas fortuite ! Inutile d’être un grand génie pour comprendre que ce Shark 3D essaye de profiter du film d’Alexandre Aja pour faire son beurre. On comprend vite que le budget alloué à ce film a été considérablement réduit, ici pas de Spring break mais seulement 7 hors-d’œuvre pour des requins dont la réputation de mangeurs d’hommes n’est pas prête de changer. Si on ne s’attendait pas à vivre un grand moment de cinéma, on pouvait au moins espérer un peu de fun de ce film mais là aussi c’est la déception totale ! Pas de flots de sang, aucun corps déchiqueté, à peine peut-on se consoler d’un minable bras arraché et c’est franchement frustrant bref ça ne donne vraiment pas envie de se jeter à l’eau !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que même les requins font de la télé-réalité !

  • My name is Khan

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    01.jpgJe m'appelle Rizwan Khan (Shah Rukh Khan), je suis atteint du syndrome d'asperger mais ça ne fait pas de moi un fou ne vous inquiétez pas. Il y a des choses que j'ai du mal à comprendre c’est tout.

     

    Je suis arrivé à San Francisco après la mort d’Ammi. Ammi voulais que j'ai une vie heureuse et j'y suis arrivé quand j'ai épousé Mandira (Kajol Mukherjee-Devgan). Ammi me disait toujours que dans la vie il y a les hommes bons et les hommes mauvais ; je sais que Mandira est une bonne personne pour moi.

     

    02.jpgNous étions heureux avec le petit Sameer (Yuvaan Makaar), c'est mon fils et il adore le football. Et puis il y a eu le 11 septembre qui a tout changé. Mandira ne veut plus que je rentre à la maison, elle veut que j'aille voir le président et que je lui dise ceci : mon nom est Khan et je ne suis pas un terroriste.

     

     

    En savoir plus sur My name is Khan ?

  • Mais comment font les femmes ?

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    Notre pote Kate Reddy (Sarah Jessica Parker) est une femme très occupée, elle est gestionnaire de fonds, un poste à hautes responsabilités qui accapare la plupart de son temps. Quand elle n’est pas au bureau, elle est en déplacement et cela lui donne donc peu d’occasions de passer du temps avec son mari Richard (Greg Kinnear). Et de voir grandir ses 2 enfants. La situation ne va pas aller en s’arrangeant puisque son talent a été reconnu et que M. Jack Abelhammer (Pierce Brosnan) lui propose une opportunité qu’elle ne peut pas refuser. Elle va devoir multiplier les allers-retours entre Boston et New-York et au sein de sa famille on apprécie que modérément tous les sacrifices que Kate est en train de faire.

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    On ne peut pas dire que les projets de cinéma se bousculent auprès de Sarah Jessica Parker et ce n’est certainement pas prêt de changer. Mais comment font les femmes ? c’est aussi la question qu’on est en droit de se poser quand on se dit que certaines d’entre elles vont se délecter de cette comédie aussi bien poussive que convenue (Ah le coup du message électronique on le voit pas venir !). D’un sujet pourtant contemporain - la conciliation chez les femmes entre vie privée et vie professionnelle - le réalisateur Douglas McGrath n’en sort qu’un film sans intérêt et qui manque clairement d’humour pour parvenir à capter notre attention. Si vous manquez de temps libre entre votre travail et votre vie familiale, mieux vaut ne pas le gâcher à voir cette comédie falote.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de faire des liste de vos taches !

  • La nouvelle guerre des boutons

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    C’est sur le chemin de l’école que les frères Gibus (Théophile Baquet & Clément Godefroy) ont surpris ceux de Velrans en train de chasser des lapins sur leurs terres ; un véritable affront ! Pour Lebrac (Jean Texier) et tous ses potes d’enfance de Longeverne, l’honneur du village doit être défendu et leurs adversaires n’ont qu’à bien se tenir. Pendant ce temps, l’école accueille une nouvelle élève Violette (Ilona Bachelier), la filleule de Simone (Laetitia Casta) et tous les garçons sont subjugués par cette jolie demoiselle. Cette dernière n’est pas arrivée à Longeverne totalement par hasard ; le pays est sous l’occupation nazie et de par ses origines juives, elle doit se cacher pour éviter d’être capturé par les officiers allemands.

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    Après La guerre des boutons de Yann Samuell, c’est maintenant au tour de Christophe Barratier de proposer sa version. Ce qui est sur c’est que ce n’est pas avec La nouvelle guerre des boutons que les critiques arrêteront de reprocher au réalisateur de surfer sur la vague de la nostalgie. Pour en  revenir sur le film, l’approche de situer l’histoire au cœur de l’occupation allemande apparait comme une bonne idée seulement ça manque de développement ; on reste très proche de l’œuvre d’Yves Robert avec un gros clin d’œil à la célèbre citation de Tigibus. On aurait bien apprécié une plus grande prise de risque à travers un scénario plus remanié mais ce film, qui se défend d’être un remake,se contente vraiment du minimum.

     

    Il faut le voir pour : Recoudre vos boutons à la mode parisienne.

  • La fée

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    Une nuit au Havre. Dom (Dominique Abel) se dépêche de rejoindre l’hôtel où il travaille comme veilleur de nuit mais son vélo n’arrête pas de dérailler et pour ne rien arranger, la pluie est du voyage. Son retard, sa patronne ne manquera pas de le lui faire remarquer et la nuit s’annonce riche en surprises. Dom reçoit en effet la visite d’un anglais accompagné d’un sac sur pattes puis celle de Fiona (Fiona Gordon) qui prétend être une fée capable  de lui exaucer 3 vœux. A lui la gloire, la richesse mais curieusement ses 2 premiers souhaits sont d’avoir un scooter et l’essence gratuite à vie. Quant au troisième, il y réfléchit encore mais après une nuit magique passée à la plage en compagnie de Fiona, cette dernière disparait sans laisser de traces.

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    Tout comme moi, le grand public ne connait pas forcément le duo Dominique Abel & Fiona Gordon qui se connaissent depuis les années 1980 et qui ont mis en œuvre plusieurs spectacles burlesques. Ils ont ensuite prolongé leur expérience au cinéma avec la participation de Bruno Romy et c’est ainsi que voit le jour leur 3ème long-métrage La fée. C’est sur, il y a dans ce film un humour assez particulier dans lequel on pénètre assez rapidement et dès lors, les crises de rires se multiplient. Il y a vraiment des scènes magnifiques comme cette séquence musicale dans les fonds marins magnifiés par des effets spéciaux old school. La comparaison sera certainement flatteuse mais dans l’esprit, cela me rappelle fortement les œuvres de Charlie Chaplin pour vous dire !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir comment sortir discrètement quelqu’un d’un hôpital !

  • La guerre des boutons (1962)

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    Tous les enfants des villages de Velrans et de Longeverne attendent chaque jour que sonne la cloche annonçant la fin de la classe pour se retrouver et se livrer à une guerre sans merci ! Armé d’épées en bois et de lance-pierres, chacun donne le meilleur de lui-même pour l’honneur de son village mais aujourd’hui, c’est Longeverne qui a pris l’avantage. Ils ont en effet réussi à capturer un ennemi et celui-ci va subir de terribles sévices : ses lacets et des bretelles sont déchirés, les boutons de ses habits sont arrachés et il ne pourra que rentrer chez lui avec le froc à la main. La réponse de Velrans ne tarde pas et c’est Lebrac (Andre Treton), le chef de Longeverne qui va en faire directement les frais mais la guerre elle est loin d’être terminée !

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    Que ce soit à travers le roman de Louis Pergaud ou avec le film d’Yves Robert, une chose est sure La guerre des boutons fait définitivement partie du riche patrimoine français. D’ailleurs, malgré le fait que je ne l’ai pas revu depuis au moins 15 ans, chaque scène revient immédiatement à la mémoire comme si ce film ne m’avait jamais quitté. On se souvient également tous de la célèbre phrase de Tigibus "Si j’aurais, j’aurais pas venu" qui n’est pas présent dans le livre mais qui est une création géniale du réalisateur (et dont les droits ne seront rétrocédés à aucun des remakes ou appelez ça comme vous voudrez sortis en 2011). Ce film se voit et surtout se revoit en famille avec le plus grand des plaisirs avec un doux parfum de nostalgie d’une époque d’insouciance, c’était mieux avant comme disait l’autre !

     

    La scène à ne pas louper : La visite de Tigibus au Père L’aztec !

  • Crazy, stupid, love

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    La soirée s’achevait et le diner s’était plutôt bien déroulé jusque-là mais en guise de dessert Cal (Steve Carell) vient d’apprendre que sa femme Emily (Julianne Moore) demande le divorce après 25 ans de mariage. Ce n’est pas tout puisqu’elle lui révèle également qu’elle l’a trompé avec David Lindhagen (Kevin Bacon), un collègue de bureau. Cal redevient donc bien malgré lui célibataire et noie ses soirées dans un bar où il ressasse ses désillusions à qui veut bien l’entendre et justement cela arrive aux oreilles de Jacob (Ryan Gosling) qui va le prendre en main. Celui-ci est le tombeur de la boite, (presque) aucune femme ne lui résiste et il va révéler tous ses secrets à son nouveau pote d’enfance. Première mission : changer complètement sa garde-robe et en un instant Cal va devenir le nouveau playboy du coin.

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    Quand Julianne Moore fait sa crise de la quarantaine, c’est notre pote Steve Carell qui en fait les frais et ça donne une comédie bien sympathique. Il ne faut pas être trop regardant sur le scénario qui reste très basique mais on s’attache rapidement aux personnages de Crazy, stupid, love et même le beau gosse Ryan Gosling parvient à se rendre charmant avec ses abdominaux en béton qui en énerveront plus d’un. Les seconds rôles (Jessica & Robbie) ont également une place importante dans le film et apportent un peu plus de fantaisie ainsi qu’une pointe de fraîcheur à l’histoire. Ça n’a rien de la comédie incontournable mais c’est en tout cas un film agréable qui vous fera sans aucun doute passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Répéter la chorégraphie de Dirty Dancing.

  • Et maintenant on va où ?

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    Un village quelque part au Liban. C’est l’évènement du moment, tous les habitants se sont réunis pour pouvoir profiter de la télévision ; un nouveau moment de communion pour l’ensemble de ces chrétiens & musulmans. En dépit de leur différence religieuse, ce village vit dans l’harmonie mais cette paix est des plus fragiles et il suffit qu’un nouveau conflit éclate quelque part dans le pays pour que tout s’embrase. Amale (Nadine Labaki) et les autres femmes l’ont bien remarqué et malgré leurs efforts, il est difficile de les raisonner aussi décident-elles de calmer les ardeurs des hommes en engageant des danseuses. Prétextant une panne de véhicule, 5 jolies jeunes blondes viennent s’installer au village et tous les regards se portent sur elles hélas les choses vont à nouveau dégénérer.

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    Nadine Labaki signe là son 2nd long métrage, regard d’une femme sur une société où les conflits religieux continuent de menacer une paix éphémère. Pour mieux dénoncer les aberrations de ces guerres, la réalisatrice et actrice a posé ses caméras dans un village isolé où la cohabitation était devenue une fierté et il aura suffit d’un rien pour que les tensions apparaissent. Formidable leçon d’humilité et de tolérance, Et maintenant on va où ? traite avec grande intelligence d’un sujet grave avec un soupçon d’humour bienvenue mais aussi des phases musicales entrainantes. Un film plein d’émotions à voir sans aucunes hésitations et donc un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre la recette du space cake libanais !

  • Dark Water (JAP)

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    Yoshimi Matsubara (Hitomi Kuroki) a des soucis plein la tête actuellement. Plongée en pleine procédure de divorce elle doit également trouver au plus vite un appartement d’autant plus qu’elle est accompagnée  de sa petite fille Ikuko (Rio Kanno) dont la garde est contestée. Elle réussit à trouver un logement qui lui convient et de surcroit à proximité d’une école ce qui est l’idéal pour sa fille pourtant des choses étranges se produisent. Un sac rouge appartenant à un enfant a été retrouvé sur le toit et l’on ignore comment il a pu atterrir là-haut. Yoshimi elle s’inquiète d’une fuite d’eau qui semble provenir de l’appartement d’en haut qui est inhabité.

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    Adaptation d’un roman japonais de Koji Suzuki, la réalisation de Dark Water a été confié à Hideo Nakata ; un nom pas complètement inconnu du grand public puisqu’il s’est déjà occupé de Ring. Rendez-vous donc avec un nouveau film d’épouvante efficace qui tient avant tout à son atmosphère pesante issue notamment des croyances asiatiques. Comme les autres succès japonais du genre, un remake américain et sans inspirations (je sais c’est un pléonasme) a vite été mis en place sorti sur nos écrans en 2005 confiant le rôle principal à Jennifer Connelly. Si vous devez en voir qu’un c’est évidemment l’original qui aura vos faveurs.

     

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