Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

tristan vichard

  • La guerre des boutons (2011)

    aff1.jpg

    Couilles molles. C’est par cette simple déclaration qu’une nouvelle guerre est sur le point de débuter entre les Velrans et les Longeverne, une guerre sans merci et sans boutons ! La rivalité entre ces 2 villages ne date pas d’hier et elle est désormais entrée dans une phase critique ; les Longeverne sont parvenus à attraper un prisonnier et ils lancent les hostilités en le dépouillant de tous ses boutons. La riposte ne tarde pas et c’est leur chef Lebrac (Vincent Bres) qui va en faire directement les frais ; la guerre est loin d’être terminée ! Malgré son jeune âge, d’énormes responsabilités pèsent sur les épaules de Lebrac qui doit prendre soin de sa famille depuis la disparition de son père. Sa mère insiste pour qu’il trouve rapidement un travail et cela implique donc qu’il quitterait l’école et tous ses camarades.

    01.jpg

    Cette fois la guerre est lancée et c’est Yann Samuell qui dégaine le premier ses armes avec sa version de La guerre des boutons. Bon l’histoire tout le monde doit la connaitre, c’est la confrontation de 2 bandes de gamins dont le butin de guerre sera constitué de tous les boutons de leurs adversaires. Assez vite, on se rend compte qu’un soin particulier a été apporté aux dialogues comme pour essayer de trouver un héritier au légendaire "Si j’avais su, j’aurais pas venu" de Tigibus et à certains moments ça manque clairement de naturel. Un peu comme la présence de ces adultes Eric Elmosnino, Alain Chabat ou encore Fred Testot dont on se serait bien passé mais qui permettent de vendre un peu mieux le film. Dommage car le casting des enfants était plutôt bien réussi mais on ne retrouve pas vraiment l’insouciance qui caractérisait l’histoire, le film d’Yves Robert a encore de beaux jours devant lui.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’une calme tempête est un oxymore !