Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

russell crowe

  • La promesse d'une vie

    star 03.jpg

    AFF.jpg

    1919. Quatre ans après avoir perdu tragiquement ses 3 fils Arthur, Henry & Edward (Jack Patterson / Ryan Corr, Ben Norris / Ben O’Toole & Aidan Smith / James Fraser) lors de la Bataille des Dardanelles, notre pote Joshua Connor (Russel Crowe) vit un nouveau drame avec la disparition de sa femme. Eliza (Jacqueline McKenzie) n’avait jamais fait le deuil de ses enfants et n’aura cessé de blâmer son mari pour les avoir laissé partir à la guerre. C’est sur la tombe de celle-ci que Joshua lui fait la promesse de retrouver le corps de leurs enfants et de les ramener pour les enterrer en Australie. Trois mois plus tard, il arrive à Istanbul en Turquie pour rejoindre la péninsule de Gallipoli où sont morts ses fils mais des obstacles vont se dresser sur son chemin.

    01.jpg

    Si on retrouve Russel Crowe en tant qu’acteur, il signe également avec La promesse d'une vie sa toute première expérience en tant que réalisateur d’un long-métrage. A cette occasion, il revient sur une sombre période de l’histoire avec la Première Guerre Mondiale en s’intéressant plus particulièrement aux victimes tombées dans la Péninsule de Gallipoli. L’histoire de Joshua est inspirée d’une histoire vraie et on ne peut qu’être en empathie avec lui la seule chose c’est son espèce de sixième sens qui nous laisse un peu sceptique. Un premier film globalement plutôt réussi avec notamment des reconstituions de scènes de guerre réalistes et qui sonne comme un bel hommage aux victimes et à ces familles qui n’auront pas pu faire leur deuil.

     

    Il faut le voir pour : Lire votre avenir dans votre café !

  • Broken city

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Il y a 7 ans, notre pote Billy (Mark Wahlberg) a été poursuivi en justice pour avoir abattu de sang-froid un homme suspecté de viol et de meurtre. Le manque de preuves évidentes lui a permis d’échapper à la condamnation mais sa carrière s’est elle arrêtée net. Depuis, il est devenu détective privé d’un genre bien particulier puisqu’il est chargé de prouver l’infidélité de ses cibles. Un jour, Nicholas Hostetler (Russel Crowe), le maire de New York fait appel à lui pour ses mêmes raisons. Il est en effet convaincu que sa femme Cathleen (Catherine Zeta-Jones) le trompe et cela n’est pas vraiment une bonne publicité pour ce candidat à sa propre réélection à la tête de la ville. Billy semble avoir rapidement identifié cet amant mais s’agit-il simplement d’une affaire d’adultère ?

     

    01.jpg

    Politique et manipulation (ça va souvent de paire non ?) au cœur de New York, voilà donc le programme annoncé par le candidat Allen Hugues. Broken city est un thriller dont le scénario de prime abord simpliste à savoir un homme cherchant la preuve de l’infidélité de sa femme, trouve un rebondissement qui hélas n’atteint pas les hauts sommets. Déjà on n’est pas vraiment emballé par le personnage de Billy qui accumule quand même les clichés ; flic déchu, ancien alcoolique et compagnon jaloux. Les quelques rares scènes d’action sont quelconques et finalement il n’y a vraiment que les face à face entre Wahlberg & Crow qui donnent un peu d’intensité à ce film qui a toutes ses chances d’être éliminé à la course à l’élection.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de sortir avec une actrice !

  • Man of steel

    star 03.5.jpg

    aff.jpg

    La planète Krypton se meurt et la fin est proche. Jor-El (Russel Crowe) le sait que trop bien et c’est pourquoi il a pris cette décision difficile d’envoyer son fils, à peine sorti du ventre de sa mère, vers une autre planète. C’est sur Terre qu’atterrira ce vaisseau, l’enfant sera alors recueilli par un couple de fermiers du Kansas Martha & Jonathan Kent (Diane Lane & Kevin Costner). C’est ainsi que débute l’histoire de Clark (Dylan Sprayberry / Cooper Timberline / Henry Cavill) mais ses origines extraterrestres combinées à l’influence du soleil lui confèrent des pouvoirs extraordinaires. Ce don il le mettra au service de l’humanité, un sauveur que tout le monde connaitra sous le nom de Superman !

    01.jpg

    Après l’essai de Bryan Singer qui sonnait comme un hommage aux aventures de feu Christopher Reeve, c’est Zack Snyder qui est maintenant chargé de redorer le blason de Superman. Visuellement, le lifting est incontestablement réussi, Man of steel délivre une vraie version modernisée de l’icône de DC mais sur le fonds il manque quelque chose. Le spectacle est là (Smallville & Metropolis en prennent un coup !) mais il y a une certaine froideur qui se dégage de ce héros; Henry Cavill a une belle carrure et c’est à peu près tout. En plus de ça la comparaison avec un certain Jésus-Christ est amusante au début mais devient vite gonflant pour ne pas dire gênant. Un bon divertissement mais qui manque vraiment d’humilité pour réellement mériter le titre de Super.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que le blason de Superman n’est pas un S !

  • Les misérables

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Pour avoir volé du pain dans le simple but de nourrir son neveu, notre pote Jean Valjean (Hugh Jackman) fut emprisonné 19 ans durant. S’il peut de nouveau gouter aux joies de la liberté, il a bien du mal à retrouver une place dans une société qui ne cesse de le rejeter. Un homme lui tendra toutefois la main et cette rencontre changera à jamais sa vie même si son ancien geôlier, l’impitoyable Javert (Russel Crowe) peine à y croire. 8 ans plus tard, sous l’identité de M. Le Maire, Jean Valjean va recueillir la petite Cosette (Isabelle Allen/ Amanda Seyfried), une promesse qu’il avait faite à Fantine (Anne Hathaway), la mère de la jeune fille.

    01.jpg

    Monument littéraire français, Les misérables version Tom Hooper c’est avant tout l’adaptation de la comédie musicale anglaise inspirée du roman de Victor Hugo. De toute façon, il n’y a pas moyen de se tromper car ce film est composé à 99,29 % de séquences chantées et autant dire que sur 2H30, ça risque de vous saouler ! C’est bien là le principal défaut, contrairement à un spectacle sur scène, ici on n’a pas droit au moindre entracte et c’est carrément lourd à digérer. Pour le reste pas grand-chose à redire si ce n’est que les séquences chantées sont dispensées de postsynchronisation ce qui crée une certaine proximité entre le film et le spectateur mais il faut aussi un certain temps d’adaptation.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir une pièce de théâtre au cinéma !

  • L’homme aux poings de fer

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Depuis la mort de Lion d’or (Kuan Tai Chen), le sang n’aura jamais autant coulé à Jungle Village. Le clan des lions est désormais aux mains de Lion d’argent (Byron Mann) qui propage la guerre alors que son prédécesseur œuvrait pour faire régner la paix. Notre pote Thaddeus (RZA), le forgeront a été l’un des témoins directs de ces évènements lui qui reste rarement les bras croisés et capable de fabriquer des armes plus mortelles les unes que les autres. Pendant ce temps, Zen Yi (Rick Yune), fils de Lion d’or comprend que son père a été trahi et prend la direction de Jungle Village pour le venger. Une fois arrivé sur place il est stoppé par Corps de cuivre (Dave Batista), un combat dont il survivra in extremis grâce à l’aide du forgeron.

    01.jpg

    C’est donc Quentin Tarantino himself qui aurait mis le pied à l’étrier à RZA, l’un des membres du groupe Wu-Tang Clan si vous ne le saviez pas, pour se lancer au cinéma. Hommage aux films asiatiques et notamment aux Wu Xian Pan, L’homme aux poings de fer est un coup d’essai … qui restera un coup d’essai ! Si la passion pour le genre est palpable, le film ne trouve jamais son rythme de croisière (on pourrait même dire qu’il reste au poing mort ! Désolé) entre un RZA comédien sans envergure et des combats aux chorégraphies bien pauvres. Décevant est donc le maitre-mot, c’est loin d’être le pop-corn movie et le rendez-vous fun qui nous était promis.

     

    Il faut le voir pour : Trouver un adversaire de taille pour un défi au bras de fer !

  • Les trois prochains jours

    aff.jpg

    Tout est allé extrêmement vite. La police est entrée et a arrêté Lara (Elizabeth Banks) suspectée de meurtre après que l’on ait retrouvé ses empreintes sur l’arme du crime. Depuis ce jour, John Brennan (Russell Crowe) se bat chaque jour pour prouver l’innocence de sa femme espérant que sa famille puisse enfin être réunie. Seulement il a épuisé tous les recours possibles mais ne peut se résoudre à la laisser en prison aussi décide t-il de se lancer dans un projet invraisemblable ; la faire évader ! Plutôt que de se faire tatouer les plans de la prison sur son corps, il rassemble toutes les informations nécessaires et prépare l’évasion de sa femme dans les moindres détails. Ce qu’il n’avait pas prévu c’est que Lara allait être transférée et qu’il doit donc mettre son plan à exécution au plus vite.

    01.jpg

    Emballé par le film de Fred Cavayé, Paul Haggis s’est vite emparé des droits de Pour elle pour l’adapter à sa sauce. C’est l’imposant Russell Crowe qui occupe le rôle de Vincent Lindon et Elizabeth Banks celui de Diane Kruger dans Les trois prochains jours pour un remake dynamique mais toutefois sans surprises. On appréciera surtout le fait que le réalisateur n’ait pas voulu faire de la surenchère au niveau de l’action (à noter une évasion très spectaculaire) conservant avant toute chose l’aspect humain du scénario. Les plus chauvins d’entre nous préféreront sans aucun doute l’original porté par un duo plus authentique que cette version américaine de très belle facture.

     

    Il faut le voir pour : Veiller à toujours verrouiller la porte coté passager de votre voiture.

  • American gangster

    e91c7cdc4e4dd3ade234d24f860d8c61.jpg

    Notre pote Frank Lucas (Denzel Washington) connait parfaitement le quartier de Harlem grâce à son ami et mentor Bumpy Johnson (Clarence Williams III). Gangster reconnu mais grand bienfaiteur, Frank a tout appris de lui et lorsque Bumpy meurt il saisit l’occasion pour lancer son propre business en allant récupérer l’héroïne à sa source en Asie. Pendant ce temps, l’inspecteur Richie Roberts (Russell Crowe) est nommé à la tête d’une brigade spéciale chargée d’enquêter sur les trafiquants de drogues qui polluent les rues. Bien évidemment, au fur et à mesure que le dossier avance, il va tomber nez à nez avec le nom de Frank Lucas.

    fe5ad0c8f98ac6fc9669cf6966504abd.jpg

    Après Une grande année où il mettait déjà en scène Russell Crowe, Ridley Scott change radicalement de registre en abordant le gangstérisme des années 70. Si vous appréciez les films de mafieux, vous allez être servis ; le réalisateur délivre un film complet et passionnant grâce également aux talents de son héros principal. Impeccable Denzel Washington dans la peau de ce truand aussi redoutable que respectable qui tire la couverture à lui face à un Russell Crowe un peu trop effacé. On n’a pas tous les jours un film d’une telle qualité et vous auriez tort de vous en priver ce qui mérite bien un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais rendre un million de dollar si vous avez la chance de les trouver.

  • Une grande année

     

    medium_aff.398.jpg

    Sur le marché de la bourse, il faut savoir prendre des risques pour s’enrichir et dans ce domaine ; notre pote Max Skinner (Russel Crowe) est un vrai requin ! Ne respectant aucunes règles, sa seule ambition est de faire de l’argent et tant pis pour les autres mais il vient d’apprendre une mauvaise nouvelle : son oncle Henry (Albert Finney) est mort. Il part alors en France afin de régler au plus vite la succession mais quand il pénètre dans la propriété et le vignoble de son oncle, de nombreux souvenirs d’enfance rejaillissent.

     

    medium_01.373.jpg

    Je n’étais pas franchement emballé par l’idée d’aller voir ce film et ce fut donc une agréable surprise puisque j’ai passé un délicieux moment. On se plonge avec plaisir dans l’enfance heureuse de Max en découvrant ses meilleurs souvenirs, des moments empreints de simplicité mais qui ont contribué à son bonheur. En plus de cela, on ne peut que se réjouir des présences à l’écran de Marion Cotillard et du franchouillard Didier Bourdon qui, espérons le vivront en 2007 Une grande année !

     

    Il faut le voir pour : Faire un break à la campagne française.