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histoire vraie

  • 127 heures

    Salut,

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    01.jpgJe m’appelle Aron Ralston (James Franco), nous sommes le Dimanche 26 Avril 2003 et cela fait 24 heures que je suis parti faire une excursion dans les gorges de l’Utah. Insouciant comme je suis, personne ne sait où je suis et je dois vous avouer que je le regrette terriblement à l’heure actuelle.

     

    Au cours de ma randonnée, j’ai glissé et je suis tombé dans une faille au Blue John Canyon et comble de malchance, un rocher m’a accompagné dans ma chute. Le résultat est là devant vos yeux ; mon bras est complètement coincé et je suis condamné car mes provisions s’amenuisent à vitesse grand V.

    02.jpgMes parents s’appellent Donna & Larry (Kate Burton & Treat Williams) et vivent à Englewood, dans le Colorado si vous trouvez cette vidéo, merci de la leur transmettre et vous pouvez garder le caméscope.

     

    Maman, papa, je vous aime

     

    En savoir plus sur 127 heures ?

  • Conviction

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    Dès sa plus tendre enfance, notre pote Kenny Waters (Sam Rockwell) a eu des soucis avec les forces de l’ordre. Avec la complicité de sa sœur Betty Anne (Hilary Swank), ils s’amusaient à voler des bonbons ou à entrer chez les gens en s’imaginant avoir une vie normale. Des années plus tard, Kenny est cette fois dans de sales draps puisqu’on l’accuse de meurtre ; une femme a été retrouvée baignant dans une mare de sang poignardée sauvagement à plusieurs reprises. Une fois de plus, Betty Anne est la première à prendre sa défense mais en raison de difficultés financières, elle ne peut faire appel à un avocat. Elle décide donc de reprendre ses études qui lui permettront de devenir membre du barreau et défendre ainsi son frère.

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    Conviction a tout de la belle histoire - hormis le fait qu’il y ait un meurtre en toile de fond évidemment- d’autant plus qu’elle est tirée de faits réels. C’est notre chère Hilary Swank qui prête ses traits à Betty Anne Waters, femme héroïque qui a consacré une partie de sa vie pour obtenir la libération de son frère accusé à tort. Une relation fraternelle forte jusqu’à la limite du fusionnel que nous restitue à la perfection le duo d’acteurs notamment Sam Rockwell, un acteur plutôt discret dans le cinéma américain. Un film au déroulement très classique mais qui réussit tout de même à semer le trouble à certains moments, bref une belle séance de cinéma !

     

    Il faut le voir pour : Se dire qu’on a vraiment pas de chance d’être fils ou fille unique !

  • Fighter

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    Il est surnommé la Fierté de Lowell, son heure de gloire il l’a connu lorsqu’on lui a offert la chance de boxer contre Sugar Ray Leonard et qu’il a réussit à le mettre au tapis. Dès qu’il en a l’occasion, notre pote Dicky Ecklund (Christian Bale) ne manque pas de raconter à qui veut l’entendre son exploit et il est d’autant plus excité qu’actuellement la chaine HBO lui consacre un documentaire sur sa vie. A ses cotés, il y a Micky Ward (Marl Wahlberg), son frère qui est lui aussi boxeur mais qui a davantage la réputation de tremplin que de véritable compétiteur. Managé par sa mère et entrainé par Dicky ; il en a assez de ramasser les coups et aimerait lui aussi lancé sa carrière et cela passe par des décisions difficiles à prendre.

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    A part la saga Rocky et le biopic consacré à Mohamed Ali, l’incursion de la boxe au cinéma se fait plutôt rare et on reçoit donc Fighter tel un terrible uppercut. Coté casting, on a de nouveau un énorme Christian Bale décrochant pour l’occasion l’Oscar du meilleur second rôle masculin. Sa transformation physique est impressionnante et n’est pas sans nous rappeler celle qu’il avait opéré dans The machinist. La prestation de Wahlberg n’est pas en reste, on est captivé par les relations ambigües qu’entretiennent ces deux frères et par les combats de boxe de toute beauté. Un grand film assurément et donc un joli Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à faire de la boxe ; Corps, tête, corps, tête … C’est simple non ?

  • 127 heures

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    C’est une manie chez notre pote Aron Ralston (James Franco) ; lorsqu’il part faire de l’escalade, il n’y a plus rien qui compte pour lui. C’est toujours avec une grande excitation qu’il se rend au Blue John Canyon où il a l’occasion de grimper n’importe où et de découvrir de somptueux paysages. Sur la route, il fait la connaissance de Megan & Kristi (Amber Tamblyn & Kate Mara) et ce trio se met à s’aventurer dans les failles des rochers pour atterrir dans une crypte de toute beauté. Aron reprend ensuite sa route mais un mauvais pas va lui couter cher ; un rocher s’effondre et bloque sa main contre la paroi. Il tente vainement de se dégager mais va devoir se résoudre à accepter l’idée qu’il a rendez-vous avec la mort.

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    Adapté de l’histoire vraie d’Aron Ralston ; 127 heures n’est pas sans nous rappeler le récent Buried. A l’inverse du film de Rodrigo Cortés, notre pote James Franco se retrouve certes en plein air mais non moins dans une situation inconfortable et le spectateur avec. Pendant plus d’une heure, Danny Boyle nous laisse ainsi en compagnie de cet aventurier hors du commun. Plus habitué aux seconds rôles, James Franco se plie en quatre de manière exceptionnelle pour nous garder en haleine pendant plus d’une heure et ça fonctionne ! Un film haletant et un magnifique hommage à cet homme miraculé, du bon divertissement en somme mais qui s’oublie rapidement.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’offrir des produits fabriqués en Chine à vos potes qui font de l’escalade.


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Les chemins de la liberté

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    1939. L’invasion de la Pologne par l’Allemagne d’Hitler et par l’URSS de Staline déclenche le début de la 2nde Guerre Mondiale. Accusé d’espionnage à l’encontre de Staline, Janusz (Jim Sturgess) a été arrêté et conduit dans un camp de travail en plein cœur de la Sibérie. Dans des conditions de détention déplorables, il sait qu’il ne pourra pas survivre bien longtemps à cet enfer et décide donc avec d’autres prisonniers d’organiser leur évasion. Echapper à leurs geôliers est une chose, survivre dans l’environnement hostile de la Sibérie en est une autre et leur voyage sera long avant d’atteindre le seuil de la liberté.

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    Pas de doute, cette histoire vraie est belle et Les chemins de la liberté se voulait donc être un flamboyant hommage à ces héros. Que ce soit à travers le vent glacial de Sibérie ou au cœur du désert de Gobi, Peter Weir a su trouver la bonne formule pour nous embarquer dans ce long périple. Dommage qu’on ne retrouve pas la même attention en ce qui concerne les personnages traités de manière plutôt superficiel. D’autant plus regrettable quand on compte Ed Harris dans ses rangs, égal à lui-même qui rehausse un peu l’intérêt du film. Pas forcément le chemin à suivre pour une bonne séance de ciné.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à dessiner des femmes nues, ça pourrait vous être utile !

  • I love you Philipp Morris

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    A partir du jour où notre pote Steven Russell (Jim Carrey) a appris qu'il avait été adopté, il a pris la décision d'être un modèle de perfection. Mari exemplaire, père aimé, défenseur de la justice et homme dévoué à Dieu ; sa vie ne pouvait être plus heureuse enfin presque ! Du jour au lendemain, son quotidien est bouleversé lorsqu'il décide de dévoiler sur la place publique son homosexualité. Il quitte alors sa femme et s'installe avec son petit-ami et mène une existence dissolue mais également très chère. Pour se faire de l'argent rapidement, il se lance alors dans des arnaques mais son manège va le conduire plus d'une fois en prison. Lieu où il rencontre Philipp Morris (Ewan McGregor), l'amour de sa vie.

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    Une histoire d'amour sur fond d'arnaque rien de bien passionnant à priori mais quand ce sont Jim Carrey & Ewan McGreggor qui s'échangent de doux baisers, des voix s'élèvent. Il n'y a pourtant rien de choquant dans la relation qu'ils partagent (pas de scènes extraverties pour choquer les spectateurs) juste l'histoire d'un homme qui n'a pas froid aux yeux. Inspiré par l'histoire vraie de Steven Russel qui a ridiculisé l'Etat du Texas avec toutes ces manigances, I love you Philipp Morris est un film réussi à un détail près. Les clichés sur les homosexuels pullulent ce qui pourrait le rendre insupportable pour certains spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Consulter Ciné2909 quand tu es en prison, c'est possible mais pour ça il faut s....

     

  • Le dernier vol

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    1933. A cette époque, le Sahara est un territoire conquis par la France mais la présence des militaires est accueillie de manière mitigée. Antoine Chauvet (Guillaume Canet) Tente de pacifier les relations parfois houleuses entre l'armée française et les touaregs. C'est dans ce contexte bien particulier que Marie Vallières de Beaumont (Marion Cotillard), une aviatrice, arrive pour demander de l'aide afin de retrouver son compagnon. Celui-ci s'est en effet écrasé avec son avion dans le désert du Ténéré, une région qui n'est pas sans dangers mais son sauvetage est loin d'être une priorité pour l'armée. L'obstination de Marie va finir par payer.

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    En couple à l'écran comme dans la vie, Marion Cotillard & Guillaume Canet se retrouvent après Jeux d'enfants devant les caméras de Karim Dridi. Le réalisateur du très bon Khamsa quitte les rives phocéennes pour les paysages désertiques sans fin du Sahara en adaptant l'histoire vraie de Bill Lancaster. Le désert c'est aussi ce qui définit Le dernier vol où il ne se passe strictement rien si ce n'est un long voyage où Guillaume Canet se chamaille avec son supérieur pendant que Marion Cotillard joue la veuve éplorée. Le développement des personnages était intéressant mais le rythme irrégulier du film finit par voir raison de notre patience.

     

    Il faut le voir pour : Rester attaché à votre dromadaire si jamais vous vous perdez dans le désert, il a un instinct de survie plus développé.

     

  • The informant

     

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    Il n’a rien d’un espion et c’est bien normal car ce n’en est pas un ! Mark Whitacre (Matt Damon) bosse chez Archer Daniel Midlands, un acteur de poids dans l’industrie agroalimentaire et soudainement il s’est retrouvé impliqué dans une affaire impliquant le FBI. Tout a commencé lorsqu’il a suspecté qu’un de ses concurrents avait envoyé une taupe dans la société pour saboter leurs productions. Les conversations téléphoniques ont commencé à être surveillées et de fil en aiguille Mark a alors été amené à révéler un grand secret : il y a une entente illégale sur les prix pratiqués sur le plan international. Pour étayer ses dires, il a accepté de jouer les informateurs secrets sauf qu’il est tout sauf discret.

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    C’est un fait divers improbable mais totalement réel qui est à l’origine de ce nouveau film de Steven Soderbergh qui retrouve pour l’occasion Matt Damon, un acteur qu’il avait déjà dirigé dans la trilogie Ocean. Les premières minutes sont assez perturbantes, on est noyé par la mise en route de l’histoire bardée de termes techniques et donc tout ça est donc très laborieux. Ce n’est que par la suite que l’on comprend mieux toute la complexité qui entoure le personnage de Mark Whitacre, imprévisible et mythomane né.  Trop déséquilibré, The informant est une petite récréation sans génie où l’on s’ennuie souvent malgré les efforts de Damon pour tenter de nous amuser.



    Il faut le voir pour : Se dire qu’on pourrait devenir un jour un espion !

  • Julie & Julia

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    Parce qu’elle a besoin de s’échapper de son quotidien morne et ennuyeux, notre pote Julie Powell (Amy Adams) a décidé de créer un blog. Après avoir longuement cherché son thème de prédilection, elle en est venue à se lancer dans un incroyable projet : réaliser toutes les recettes d’un livre de cuisine rédigé par la célèbre Julia Child (Meryl Streep). Pour boucler tout cela, elle s’est fixé une échéance d’une année au cours de laquelle elle devra être capable de réaliser les 524 recettes du livre et de partager ses impressions sur son blog. Elle se dit alors qu’elle a trouvé là la recette du bonheur mais il lui faudra beaucoup de volonté pour réussir son projet.

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    Ce n’est pas un mais deux livres qui ont été adapté à l’occasion de ce film ; l’un consacré à Julia Child, une pionnière de la gastronomie américaine et l’autre à Julie Powell qui a participé aux premiers pas de la blogosphère. Difficile de ne pas avoir les papilles en éveil devant ce défilé de bons petits plats (sauf si le beurre vous écœure) d’autant plus quand c’est agrémenté d’une merveilleuse Meryl Streep et de son accent français. Pourtant, on frôle vite l’indigestion entre les allers-retours incessants de la vie de ces 2 femmes pas toujours très passionnants, Julie & Julia finit alors par perdre beaucoup de sa saveur. Pour les amateurs de cuisine, c’est un film sympathique qui s’essouffle malheureusement sur la longueur.

     

    Il faut le voir pour : Laisser des commentaires sur les blogs, ça fait toujours plaisir (sauf ceux de maman, ils ne comptent pas !)

  • Sri Lanka National Handball Team

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    C’est une énorme déception pour nos 2 potes d’enfance Stanley & Manoj (Dharmapriya Dias & Gihan De Chickera) qui se sont vus une nouvelle fois refuser leur visa pour l’Allemagne. Cela fait des lustres qu’ils tentent par tous les moyens d’obtenir ce précieux sésame qui leur permettrait de quitter le Sri Lanka et ainsi aider leurs familles respectives. Alors qu’ils commençaient à perdre espoir, une folle idée leur vient à l’esprit ; ils ont eu vent d’un tournoi amical de handball organisé en Bavière. L’Allemagne leur tend maintenant les bras et pour cela il suffit juste de monter une équipe mais une autre question se pose alors : qu’est ce que le handball ?

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    A la manière d’un Rasta Rocket, voilà de nouveau un film dont l’histoire est aussi invraisemblable qu’elle est basée sur des faits réels. Motivés par la perspective de quitter un pays où les perspectives d’avenir s’avèrent peu réjouissantes, des sri-lankais ont donc crée de toutes pièces une équipe de handball pour migrer en Allemagne. Derrière cette histoire légère, c’est l’occasion de souligner les problèmes rencontrées par ce pays (absence de travail, promiscuité et conditions de vie difficile…). Sri Lanka National Handball Team est une petite comédie pas exempte de faiblesses mais qui mérite qu’on lui donne sa chance.

     

    Il faut le voir pour : Célébrer comme il se doit un but !