Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

film - Page 54

  • SMS

    star 01.5.jpg

    aff.jpg

    Après de nombreux travaux, notre pote Laurent (Guillaume de Tonquédec) pouvait pleinement profiter de sa belle maison avec sa femme Nathalie (Anne Marivin) et leur fils Milo (Timothé Vom Dorp). Dans l’idéal, c’est ce qu’il souhaitait sauf qu’aujourd’hui il y a de nombreuses fuites sur le toit et que cela annonce une journée plutôt intense pour ce père de famille. Alors qu’il marchait dans la rue avec Milo, il reçoit un SMS qui était en fait destiné à Nathalie et découvre ainsi qu’elle le trompe ! A peine le temps de réaliser cela et d’essayer de découvrir l’identité de l’expéditeur du message qu’il est victime d’une agression et son portable est dérobé. Après avoir tenté désespérément de le récupérer, Laurent découvre alors que son fils a disparu.

    01.jpg

    Ça démarre tambour battant et on se dit alors qu’on va passer un bon moment et puis sans qu’on s’y attende, subitement le coup de frein est donné et la sortie de route devient alors inévitable ! On reconnait que le réalisateur Gabriel Julien-Laferrière tente d’insuffler de l’énergie et du dynamisme à sa comédie à travers les flashbacks ou les interventions de la voix-off mais ce n’est pas avec ça qu’il va nous emballer. De la même façon, le personnage de Franck Dubosc qui aurait pu amener un second souffle n’apporte finalement rien si ce n’est du ridicule. En dépit de la sympathie éprouvée à l’égard du malheureux héros Guillaume de Tonguédec et de l’adorable bouille de Timothé Vom Dorp, il faut bien avouer que SMS est "Vrément PA T-Rible" !

     

    Il faut le voir pour : Toujours vérifier à qui vous envoyez vos SMS !

  • Mobile home

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Après une tentative de vie en couple avec Sylvie (Anne-Pascale Clairembourg), notre pote Simon (Arthur Dupont) est retourné vivre chez ses parents dans la campagne belge. Il y retrouve son pote d’enfance Julien (Guillaume Gouix) qui vit avec son père Luc (Jean-Paul Bonnaire), malade et dont il doit s’occuper régulièrement. Les deux garçons, sur un coup de tête, décident de tout plaquer pour s’acheter un mobile home et ainsi partir à l’aventure dans toute l’Europe. A eux Moscou, le Groenland ou encore les plages paradisiaques de Sardaigne mais leur voyage va tourner court puisque leur véhicule va tomber en panne. Avant de repartir, il leur faudra donc travailler pour payer les réparations et il y en a pour 3000 € !

    01.jpg

    Road-trip annoncé avec nos potes Arthur Dupont & Guillaume Gouix mais oubliez tout de suite la perspective de découvrir de splendides paysages car il n’y aura pas beaucoup de routes parcourues à bord de ce Mobile home. Il n’y a pas forcément besoin d’aller bien loin pour se découvrir et les 2 personnages sympathiques que sont ici Simon & Julien vont en faire l’expérience. Le duo fait preuve d’une belle entente, il est juste regrettable que cette sensation de sur-place du premier long-métrage de François Pirot soit aussi prégnante. Un petit film discret et qui a toutes les chances de le rester mais avec lequel on passe tout de même un agréable moment.

  • Délivre-nous du mal

    Envie de trembler dans les salles obscures ? Alors vous serez ravis d'accueillir Délivre-nous du mal. En tant que flic, notre pote Eric Bana pensait avoir tout vu mais il va réellement découvrir ce qu'est le Mal !

    Date de sortie : 03 Septembre 2014.


  • Catacombes

    star 02.jpg

    aff.jpg

    La Pierre philosophale, un simple mythe ? Pas pour Scarlett (Perdita Weeks) qui est persuadée de toucher au but après un voyage en Iran. Elle est aujourd’hui à Paris en compagnie de Benji (Edwin Hodge) qui tourne un documentaire sur l’incroyable quête menée par cette femme passionnée par l’Histoire et ses mystères. Elle a cependant besoin de l’aide de son pote d’enfance George (Ben Feldman) qui est seul capable de lire de l’Araméen et avec qui elle va trouver le lieu où serait caché la Pierre : les Catacombes ! Bien entendu, il leur faudra emprunter que peu de gens connaissent et c’est là qu’entrent en scène Papillon (François Civil) et son équipe.

    01.jpg

    Paris ce n’est pas que la Tour Eiffel ou les Champs Elysées mais aussi les Catacombes, lieu idoine pour nous donner quelques frissons. Pourtant dans la première heure, l’accent est surtout mis sur l’aspect aventure en compagnie de ces pilleurs de tombes modernes. Bon on ne va pas se mentir ; malgré les bonnes volontés du scénario, on n’y croit pas une seule seconde mais on peut reconnaitre que c’est assez judicieux. Histoire de rendre cette quête plus vivante, le réalisateur John Erick Dowdle a opté pour le Found-footage. C’est donc parti pour l’habituel festival d’images qui gigotent dans tous les sens et quelques effets visuels et sonores pour nous faire sursauter. Rien de nouveau à l’horizon ni dans les sous-sols.

     

    Il faut le voir pour : Préférer la visite touristique des Catacombes !

  • Des lendemains qui chantent

    star 02.5.jpg

    AFF1 (2).jpg

    Le 10 Mai 1981, la vie de Léon (Pio Marmaï) a changé. Certes, François Mitterrand vient d’être élu Président de la république ce qui laisse augurer des lendemains qui chantent mais surtout il a rencontré la belle Noémie (Lætitia Casta) ! Une relation qui ne durera que 3 jours puisque la jeune femme quitte Saint-Étienne pour construire sa carrière à Paris. Il faudra attendre 3 ans pour que Léon suive le même chemin lorsqu’il se voit proposer un poste chez Libération. Il y rejoint son frère Olivier (Gaspard Proust) qui travaille dans la communication mais aussi son pote d’enfance Sylvain (Ramzy Bedia) qui a fait fortune grâce à une invention qui va changer la vie de nombreux français : le minitel rose !

    01.jpg

    Dans le principe, ce film signé Nicolas Castro rappelle un peu Le nom des gens à savoir une comédie évoquant la classe politique et en l’occurrence ici la Gauche socialiste. Au-delà des évolutions politiques, Des lendemains qui chantent nous permet surtout de suivre une bande de potes d’enfance sur 20 ans. Des parcours croisés où se mêlent amour, désillusions, succès et au cœur desquels on se sent un peu comme des étrangers. Il faut bien avouer que ces personnages nous laissent totalement indifférents et que surtout l’humour semble être aux abonnés absents. C'est plus l'ennui et le désenchantement qui prédominent ici.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir pourquoi vous aviez des factures astronomiques de minitel à l'époque !

  • Expendables III

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Barney Ross (Sylvester Stallone) et ses potes les Expendables traquent un important marchand d’armes du nom de Victor Minns. Avant cela, ils font un petit détour pour libérer un des leurs ; Doc (Wesley Snipes) dont les talents pourraient bien être utiles. Une fois ce sauvetage accompli, ils retournent à leur mission mais Barney va avoir une sacrée surprise lorsqu’il découvre que derrière Victor Minns se cache en fait Conrad Stonebanks (Mel Gibson), un frère d’armes avec lequel il a fondé les Expendables. Les retrouvailles sont pour le moins explosifs et la bande parvient à s’en tirer non sans dégâts puisque Caesar (Terry Crews) est gravement touché et une décision importante sera prise pour le groupe.

    01.jpg

    On ne change pas une formule qui gagne et qui surtout a trouvé des fans à travers le monde, Sylvester Stallone reprend les armes avec sa bande de mercenaires. A cette occasion, le casting subit un petit lifting avec les arrivées de Kellan Lutz ou de Ronda Rousey qui apporte la touche de féminité dans cet univers de sang et d’explosions. Les vétérans répondent aussi présents avec les nouveaux venus que sont Harrison Ford, Mel Gibson ou le rigolo Antonio Banderas. Pas la peine de s’attarder sur le scénario comme toujours sommaire, Expendables III est fidèle à nos attentes à savoir un divertissement fun certes répétitif mais ponctué de scènes d’action de gros calibre où vos méninges pourront se reposer.

     

    Il faut le voir pour : Trouver une bonne équipe si vous avez besoin de démolir un immeuble !

  • Le rôle de ma vie

    star 03.jpg

    AFF.jpg

    Sale période pour notre pote Aidan Bloom (Zach Braff) ; non seulement sa carrière d’acteur est toujours au point mort mais surtout il vient d’apprendre que le cancer de son père Gabe (Mandy Patinkin) est revenu. Ce dernier poursuit ainsi un traitement expérimental qui lui coute cher et c’est pourquoi il ne peut plus payer l’école de ses petits-enfants Grace & Tucker (Joey King & Pierce Gagnon). Au vu de leurs difficultés financières, Aidan et sa femme Sarah (Kate Hudson) n’ont pas d’autres choix que de retirer leurs enfants de leur école et de s’essayer aux cours à domicile. Plus facile à dire qu’à faire pour ce père qui va s’improviser professeur avec plus ou moins de réussite.

    01.jpg

    Il aura donc fallu attendre près de 10 ans après Garden State pour que Zach Braff, héros de la série Scrubs, mène à terme sa seconde réalisation financée grâce au crowdfunding. Le rôle de ma vie est le portrait d’un acteur qui prend soudainement conscience de la fragilité de son équilibre familial qu’il pensait avoir construit. L’heure est donc à la remise en question et on se laisse séduire par des personnages attachants, à quelques situations loufoques (notamment avec le frère incarné par Josh Gad) et l’émotion est aussi au rendez-vous. Malgré quelques moments creux, c’est une comédie décalée qui fait du bien et qui mérite qu’on y jette un œil.

     

    Il faut le voir pour : Chercher les vidéos de chatons sur Youtube !

  • La dune

    star 02.5.jpg

    AFF.jpg

    Sa dernière affaire fut un échec et notre pote Ruben Vardi (Niels Arestrup), inspecteur chargé des disparitions souhaite désormais prendre une retraite anticipée. Il pourrait ainsi passer plus de temps auprès de Paolo (Guy Marchand) et d’ailleurs, ils vont avoir l’occasion de voyager un Italie prochainement. Cependant, une nouvelle affaire se présente à lui ; un homme a été retrouvé inanimé sur une plage en Gironde. Rien ne permet de l’identifier et celui-ci reste curieusement muet depuis qu’il a repris conscience, on sait juste qu’il s’agit d’un bon joueur d’échecs. Même s’il était proche de décrocher, Ruben se rend en Gironde, une région qu’il connaît particulièrement bien pour y avoir passé sa jeunesse.

    01.jpg

    Après une séquence d’introduction située en Israël, on se retrouve soudainement dans les rues parisiennes à promener le chien de Niels Arestrup ; un sentiment de confusion qui ne nous quittera pas tout au long du film. La dune s’intéresse en fait aux deux personnages que sont Ruben et ce mystérieux homme qui à priori ne semblent pas se connaître mais partageant assurément un lien. Disons-le franchement même si le scénario tente d’alimenter le suspense sur cette relation, on devine aisément de quoi il en retourne. Quant à l’enquête menée par l’inspecteur, elle n’est pas très captivante et les occasions de décrocher ne manquent malheureusement pas.

     

    Il faut le voir pour : Acheter des pâtes fabriqués à Naples !

  • The double

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Une mallette emportée malencontreusement par un train, un agent de sécurité qui semble le voir pour la première fois alors que cela fait 7 ans qu’il travaille là ; c’est une drôle de journée pour notre pote Simon James (Jesse Eisenberg) ! Sa seule condition sera de retrouver la belle Hannah (Mia Wasikowska), un plaisir qui se prolonge après le travail puisqu’il habite l’immeuble en face de chez elle. Les yeux plongés dans son télescope, il va aussi être témoin du suicide d’un homme, un drame qui sera le point de départ d’évènements encore plus étranges. Lorsqu’il retourne sur son lieu de travail, son patron M. Papadopoulos (Wallace Shawn) est fier de lui présenter un jeune employé prometteur un certain … Simon James !

    01.jpg

    Il vous faudra au grand maximum 10 minutes avant que le mot "Bizarre" arrive à votre bouche. Oui, The double est un véritable ovni déjà par son histoire extravagante mais aussi à travers cette atmosphère rétro. En fait, la réalisation de Richard Ayoade (à qui l’on dit déjà le réussi Submarine) évoque les univers fantaisistes de Terry Gilliam ou encore de Michel Gondry. Film totalement décalé et donc imprévisible, on se laisse amuser par cette confrontation entre les 2 Jesse Eisenberg même s’il faut avouer que l’histoire finit par nous échapper un peu. A réserver aux spectateurs qui cherchent à échapper aux productions formatés et se montrant avides de curiosités cinématographiques.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les nouveaux employés qui débarquent à votre bureau !

  • Le beau monde

    star 02.5.jpg

    AFF.jpg

    Si notre pote Alice (Ana Girardot) est sur le point d’intégrer une école de broderie à paris aujourd’hui, elle le doit en grande partie à Agnès (Aurélia Petit). Cette dernière l’avait en effet encouragé à tenter sa chance et l’ancienne pâtissière peut désormais aspirer à poursuivre ses rêves. L’histoire entre les deux femmes ne s’arrête pas là puisque lorsque Alice s’installe dans la capitale, elle se rapproche d’Antoine (Bastien Bouillon) qui n’est autre que le fils d’Agnès. Une relation pas toujours évidente entre ces deux personnes issues de deux mondes totalement différents malgré tout l'amour va les réunir.

    01.jpg

    Selon l'expression populaire, l'amour rend aveugle mais peut-être pas au point de faire oublier certaines différences. On est dans la même lignée que le film Pas son genre réalisé par Lucas Belvaux où s'opposent 2 personnages d'abord unis par l'amour qui vont progressivement voir ressurgir leurs différences de classe sociale, de mode de vie. Si Ana Girardot est magnifique et parvient à nous séduire par sa fragilité, de l’autre coté Bastien Bouillon est un ton en-dessous et a bien plus de mal à nous toucher. Avec tout ça Le beau monde est au final un film certes délicat mais où l'ennui pointe aussi trop souvent le bout de son nez.

     

    Il faut le voir pour : Vous tricoter un joli pull, ça pourra peut-être changer votre vie !