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niels arestrup

  • Papa lumière

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  • La dune

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    Sa dernière affaire fut un échec et notre pote Ruben Vardi (Niels Arestrup), inspecteur chargé des disparitions souhaite désormais prendre une retraite anticipée. Il pourrait ainsi passer plus de temps auprès de Paolo (Guy Marchand) et d’ailleurs, ils vont avoir l’occasion de voyager un Italie prochainement. Cependant, une nouvelle affaire se présente à lui ; un homme a été retrouvé inanimé sur une plage en Gironde. Rien ne permet de l’identifier et celui-ci reste curieusement muet depuis qu’il a repris conscience, on sait juste qu’il s’agit d’un bon joueur d’échecs. Même s’il était proche de décrocher, Ruben se rend en Gironde, une région qu’il connaît particulièrement bien pour y avoir passé sa jeunesse.

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    Après une séquence d’introduction située en Israël, on se retrouve soudainement dans les rues parisiennes à promener le chien de Niels Arestrup ; un sentiment de confusion qui ne nous quittera pas tout au long du film. La dune s’intéresse en fait aux deux personnages que sont Ruben et ce mystérieux homme qui à priori ne semblent pas se connaître mais partageant assurément un lien. Disons-le franchement même si le scénario tente d’alimenter le suspense sur cette relation, on devine aisément de quoi il en retourne. Quant à l’enquête menée par l’inspecteur, elle n’est pas très captivante et les occasions de décrocher ne manquent malheureusement pas.

     

    Il faut le voir pour : Acheter des pâtes fabriqués à Naples !

  • 96 heures

    cinéma, film, thriller, 96 heures,  	Gérard Lanvin, Niels Arestrup, Sylvie Testud, Anne Consigny, Laura Smet, Slimane Dazi, Cyril Lecomte, Pierre Kiwitt, Frédéric Schoendoerffer

    cinéma, film, thriller, 96 heures,  	Gérard Lanvin, Niels Arestrup, Sylvie Testud, Anne Consigny, Laura Smet, Slimane Dazi, Cyril Lecomte, Pierre Kiwitt, Frédéric Schoendoerffer

    C’est une nouvelle journée qui commence pour le Commissaire Gabriel Carré (Gérard Lanvin) mais il va avoir une désagréable surprise. Alors que sa femme Françoise (Anne Consigny) venait à peine de franchir la porte de leur appartement qu’elle est prise en otage par des hommes armés. Leur cible c’est le flic et Gabriel ferait mieux de leur obéir s’il tient à la vie de Françoise, leur objectif est de faire libérer leur boss Victor Kancel (Niels Arestrup). Une évasion planifiée dans ses moindres détails et qui se déroule sans problèmes mais le commissaire n’est pas au bout de ses peines car il va être retenu. Si Victor a plongé, il sait que c’est à cause d’un traitre et veut qu’on lui donne le nom de cette balance.

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    Face à face musclé entre Gérard Lanvin & Niels Arestrup, deux grandes figures du cinéma français le tout arbitré par Frédéric Schoendoerffer. Ça nous donne 96 heures, un thriller qui repose à la fois sur un combat psychologique et sur une histoire qui se dévoile au fil des minutes. S’il est difficile de reprocher quoi que ce soit au duo d’acteurs qui s’imposent naturellement par leur charisme, ce sont les personnages autour qui nous laissent de marbre avec un Slimane Dazi en simple valet et une Laura Smet tout aussi peu convaincante. Le réalisateur français signe donc un bon film qui a largement de quoi contenter le spectateur mais manque quand même de surprises pour remporter totalement notre adhésion.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir une garde à vue originale !

  • Diplomatie

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    Paris, dans la nuit du 24 au 25 Aout 1944. Les forces alliées se rapprochent de la capitale française provoquant ainsi le départ précipité des allemands. Le Général Dietrich Von Choltitz (Niel Arestrup) a été nommé gouverneur depuis 2 semaines et il s’apprête à exécuter l’ordre qu’on lui a donné : la destruction de Paris ! Alors que l’heure fatidique approche, il reçoit la visite inattendue du consul Raoul Nordling (André Dussolier) qui est au courant des opérations en cours. Son objectif est simple ; il doit absolument faire son possible pour dissuader le Général de détruire Paris. S’engage alors entre les 2 hommes une longue négociation au terme de laquelle le destin de la ville va se décider.

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    Dire que Paris aurait pu avoir aujourd’hui un tout autre visage ! C’est une formidable leçon d’histoire que vient nous apporter Diplomatie qui est l’adaptation d’une pièce de théâtre mettant en lumière un évènement qu’on ne connaissait pas forcément. L’histoire est déjà passionnante et le plaisir est d’autant plus au rendez-vous qu’on a droit à un face à face entre Niels Arestrup & André Dussolier de haute volée ! Bien sur, l’issue est assez prévisible (si ce n’est pas le cas, je ne sais pas trop quoi vous dire …) mais reste captivé par ce huis-clos et pour une fois qu’on a l’occasion d’enrichir sa culture au cinéma, ce serait bête de s’en priver.

     

    Il faut le voir pour : Remercier Napoléon III d’avoir fait fabriquer cet escalier secret.

  • Quai d’Orsay

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    Le langage ! Voilà la nouvelle responsabilité de notre pote Arthur Vlaminck (Raphaël Personnaz) que vient de luis confier Alexandre Taillard de Worms (Thierry Lhermitte) autrement dit le Ministre des Affaires étrangères ! Il va ainsi devoir rédiger toute une série de discours, une mission à priori à sa portée mais il ne sait pas encore dans quoi il s’est embarqué. Au début, il se retrouve en effet à travailler sur un bout de table mais surtout il va constater le capharnaüm qui règne dans ce ministère. Heureusement qu’il peut compter sur le soutien de Claude Maupas (Niels Arelstrup) qui lui permet de voir un peu plus clair face aux exigences souvent extravagantes du ministre.

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    On a rarement l’occasion de rire quand on aborde la politique alors ne boudons pas notre plaisir avec cette adaptation de la bande-dessinée que l’on doit au duo Christophe Blain & Abel Lanzac.  On découvre ainsi les coulisses du pouvoir à travers l’arrivée d’Arthur au sein du ministère et il va sans dire qu’on ne s’ennuie pas ! Décomposé en pastilles introduits par les citations d’Héraclite ce qui donne un assez bon rythme à la comédie de Bertrand Tavernier mais cette absence d’unité finit aussi par lasser sur la dernière demi-heure. Bon point pour le casting avec un Thierry Lhermitte au top de sa forme et surtout un Niels Arelstrup toujours aussi excellent, Quai d’Orsay s’impose comme la comédie du moment.

     

    Il faut le voir pour : Choisir les livres qui sont stabylotés sinon ça veut dire qu’ils ne sont pas intéressants.

  • A perdre la raison

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    Notre pote Mounir (Tahar Rahim) vit avec André (Niels Arestrup), médecin et soutien indéfectible aussi bien pour lui que pour toute sa famille. Lorsque Mounir rencontre la femme de sa vie, André n’hésite pas un seul instant et invite Murielle (Emilie Dequenne) à emménager avec eux. C’est une drôle de situation mais l’entente est cordiale cependant le poids des années vont faire voler en éclats ce ménage. Le couple donne naissance à 4 enfants et des tensions apparaissent au point que Murielle plonge dans une profonde dépression et ne tient le coup qu’avec l’aide d’une psychologue.

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    Ils nous avaient scotchés avec Un prophète ; Niels Arestrup & Tahar Rahim sont de nouveau réunis à l’écran pour un drame intense. S’il fallait encore vous convaincre de la complicité évidente liant les 2 comédiens, il va sans dire que votre vœu sera exaucé et toujours de belle manière. Cette relation quasi-filiale est au cœur de l’intrigue mais A perdre la raison met aussi en évidence une superbe Emilie Dequenne prise en étau entre les hommes de sa vie. Une prestation intense qui se manifeste jusqu’à son impressionnante transformation physique témoignant du calvaire qu’a pris sa vie ; un film poignant !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus écouter "Femmes, je vous aime" de la même façon

  • Cheval de guerre

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    C’est par pure fierté que Ted Narracott (Peter Mullan) a acheté ce cheval et sa femme Rose (Emily Watson) n’arrive toujours pas à croire qu’il ait dépensé 30 Guinées pour ça ! Alors qu’elle souhaitait rendre l’animal, son fils Albert (Jeremy Irvine) réussit à la convaincre de le garder à la condition de le dresser comme il se doit. Il lui donne ainsi le nom de Joey qui va devenir un vrai pote d’enfance. Bien que celui-ci soit magnifique, il n’est pas taillé pour les travaux de la ferme et pourtant, alors que personne n’y croyait, il va accomplir des miracles. Hélas pour Albert, ses parents traversent une période difficile et Ted n’a d’autres choix que de vendre le cheval. La guerre vient en effet d’être déclarée et Joey va traverser de nombreux champs de bataille.

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    En jetant un coup d’œil rapide à l’histoire, on se dit que l’amitié entre un garçon et son cheval va quand même avoir du mal à nous captiver mais Steven Spielberg n’est pas n’importe qui ! C’est sur que si Cheval de guerre avait continué sur le même rythme que la première demi-heure, on aurait pu trouver le temps long. Seulement, le réalisateur a l’ingéniosité de nous faire partager d’autres récits autour de ce cheval exceptionnel et surtout le film se pare de magnifiques scènes de guerre, l’impressionnante attaque des cavaliers en tête. Il faut un peu de temps pour se laisser entrainer mais après ça on ne décroche plus de l’écran et l’émotion est au rendez-vous.  

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à appeler un cheval !

  • Tu seras mon fils

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    Les vendanges approchent à grands pas et Paul De Marseul (Niels Arestrup) vient d’apprendre une terrible nouvelle : son régisseur et pote d’enfance François (Patrick Chesnais) est atteint d’un cancer ! Bien entendu, l’état de santé de son ami occupe ses pensées mais il est également inquiet pour l’avenir de son domaine viticole malgré la présence à ses cotés de Martin (Lorànt Deutsch). Il faut dire que les relations entre le père et le fils sont particulièrement difficiles et Paul n’imagine pas une seule seconde que celui-ci soit capable de prendre en charge les vendanges. Il entre alors en contact avec Philippe (Nicolas Bridet), fils de François actuellement en Californie pour l’informer de la maladie de son père. Lorsque celui-ci fait son retour au domaine, l’idée de faire de lui le prochain régisseur fait progressivement son chemin.

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    Que celles et ceux qui apprécient le cinéma et le bon vin se lèvent car voici le film indispensable du moment pour eux. Tu seras mon fils, c’est la confrontation entre un père et son fils unis en apparence mais tellement étrangers l’un pour l’autre à la suite un drame qui aura bouleversé leurs vies. A l’image d’un bon vin, plus le temps s’écoule et plus l’immense Niels Arestrup devient irrésistible et c’est l’occasion de découvrir Lorànt Deutsch dans un registre bien différent lui qu’on a plutôt l’habitude de voir dans des comédies. Le film de Gilles Legrand évoque également l’univers des vignobles où se perpétue savoir-faire ancestrale et traditions familiales, une plongée véritablement passionnante. Un excellent cru à déguster sans modération !

     

    Il faut le voir pour : Eviter les vins de l’année 1963, ils ont un gout particulier.

  • Je n'ai rien oublié

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    C’est l’un des plus beaux jours de sa vie, Simone (Alexandra Maria Lara) célèbre son mariage avec Philippe (Yannick Renier) et la soirée s’est déroulée sans fausses notes jusqu’à l’arrivée remarquée de Conrad (Gérard Depardieu). Ce dernier est un pote d’enfance de Thomas (Niels Arestrup), père de Philippe et la famille lui avait confié la surveillance d’une maison à Biarritz qui a fini incendiée.  Son retour auprès de cette famille va remuer des souvenirs que l’on pensait enterrés ; autrefois considéré comme un frère, Thomas le traite désormais avec un certain mépris. Au milieu de tout ça, Simone va se rapprocher de Conrad et essayer de comprendre le lourd secret qui lie tous ces personnages.

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    Hasard ou coïncidence, après La tête en friche notre pote Gérard Depardieu retrouve de nouveau un rôle rempli de légèreté en incarnant un homme atteint d’Alzheimer. Beau casting pour le film de Bruno Chiche qui réunit également Niels Arestrup, Nathalie Baye, Françoise Fabian et la charmante Alexandra Maria Lara qui nous sert de fil conducteur. Ces personnages très étoffés sont d’ailleurs la principale force de ce film dramatique et le seul bémol reste une intrigue dont on peut trop aisément deviner le dénouement. Adapté du roman Small world de Martin Suter, Je n'ai rien oublié méritera donc essentiellement le coup d’œil pour son jeu d’acteurs d’un niveau extraordinaire.

     

    Il faut le voir pour : Vous mettre au croquet !

  • L’homme qui voulait vivre sa vie

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    Paul Exben (Romain Duris) est un homme heureux ; il a une superbe famille qui vient de s’installer dans une belle maison qui fait le bonheur de ses enfants. Son boulot d’avocat lui permet d’avoir une belle situation permettant ainsi à sa femme Sarah (Marina Foïs) de se consacrer à l’écriture. Les apparences n’ont jamais été aussi trompeuses ; Paul apprend que Sarah a une liaison avec Grégoire Kremer (Eric Ruf), un photographe qui habite dans le voisinage. Après une violente altercation avec ce dernier, Paul le tue accidentellement et désemparé par ce geste, il décide de camoufler sa mort. Il va encore plus loin en lui volant son identité et commencer une toute autre existence.

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    Le roman est signé Douglas Kennedy adapté à l’écran par Eric Lartigau qui nous avait agréablement surpris avec Prête-moi ta main. L’homme qui voulait vivre sa vie est un drame qui repose (une fois encore) sur une grande performance de Romain Duris ce qui n’empêche pas un certain déséquilibre du film. Si au départ on s’attache assez rapidement à ce père de famille lambda qui va s’apercevoir que sa vision du bonheur est obstruée, sa fuite en quête de sa véritable identité me laisse un peu plus perplexe. Cela ne change rien au fait qu’il s’agit d’un film réussi qui saura facilement trouver son public.

     

    Il faut le voir pour : Vivre votre vie !