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jackie berroyer

  • Phantom boy

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    Cela fait déjà un mois que notre pote Leo est hospitalisé car il est atteint d'une grave maladie et toute sa famille espère que le traitement qu'il suit actuellement le remettra sur pieds. Ce jeune garçon de 11 ans se montre donc très courageux et se découvre au jour un incroyable pouvoir. Lorsqu'il ferme les yeux, il parvient à quitter son corps et à flotter dans les airs tel un fantôme ! Jusqu'ici il aidait parfois les patients de l’hôpital à reprendre connaissance mais personne ne gardait le souvenir de Leo. Est alors arrivé Tanguy, un inspecteur de police qui a été blessé par un homme au visage cassé terrorisant tout New York.

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    On se souvient d'Une vie de chat, Alain Gagnol & Jean-Loup Felicioli reviennent avec ce nouveau long-métrage d'animation aux accents de super-héros. N'attendez pas non plus de Phantom boy un déluge de pouvoirs extraordinaires puisque le jeune Léo se contente de se promener tel un fantôme et va ainsi participer à une enquête policière. Les graphismes se distinguent des autres productions ; pas besoin de faire trop dans le sophistiqué pour plaire aux enfants mais ça peut aussi en rebuter certains. Une récréation agréable pour les petits tout simplement. Une dernière chose, je vais vous révéler l'incroyable histoire de l'homme au visage et … on me dit que je n'ai plus de place, désolé !

     

    Il faut le voir pour : Demander à vos parents de vous ramener des plats cuisinés quand vous êtes hospitalisés !

  • Les jours venus

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    Dans sa 61ème année mais à toujours 60 ans, notre pote Romain Goupil (Romain Goupil) doit commencer à songer à sa retraite. Il a même pris les devants en ce qui concerne ses obsèques mais ce réalisateur réfléchit aussi à son prochain film dont il a déjà trouvé l'idée. L'histoire serait centrée sur une caméra provoquant des catastrophes mais Romain éprouve les pires difficultés à développer le récit. Et puis il faut dire également qu'il doit s'occuper de l'association de la Cité qu'il préside avec Marie (Marina Hands) et s'inquiète également de l'opération de son père qui pourrait perdre la vue.

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    Voilà un film très décalé de la part de notre pote Romain Goupil où fiction et réalité s’enchevêtrent. Ceci est d'autant plus vrai que Les jours venus présentent également des images très intimes du réalisateur puisque issues de vidéos provenant de son passé à Sarajevo. Ces séquences extrêmement personnels nous laissent dubitatifs car on se demande ce qu'elles peuvent apporter à l'histoire de ce film en plein montage. Il y a aussi cet humour particulier teinté d'un esprit un peu donneur de leçon qui ne plaira pas à tout le monde. En dépit de quelques rares scènes plutôt marrantes, l’essentiel de ce film a toutes les chances de vous laisser indifférent.

     

    Il faut le voir pour : Faire attention aux pianos quand vous marchez dans la rue !

  • Mimi-Siku - Un indien dans la ville

    Bonjour !

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    01.jpgMoi c’est Mimi-Siku (Ludwig Briand), je viens d’arriver dans ce grand village avec Baboun (Thierry Lhermitte). Avant, je vivais à Lipo-Lipo avec ma mère Palikou (Miou-Miou) puis Baboun est venu et m’a promis qu’on irait voir la Tour-Eiffel quand je deviendrais un homme.

     

    Depuis qu’on est là, on n’a pas passé beaucoup de temps ensemble car il dit qu’il a beaucoup d’obligations. C’est pour ça que j’ai décidé de visiter ce grand village tout seul et d’aller voir la Tour-Eiffel.

     

    02.jpgJ’ai aussi rencontré Sophie (Pauline Pinsolle). Elle est belle et j’ai toujours son visage devant moi, Baboun me dit que je suis amoureux mais la vie à Lipo-Lipo me manque tellement.

     

     

    En savoir plus sur Un indien dans la ville ?

  • Mobile home

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    Après une tentative de vie en couple avec Sylvie (Anne-Pascale Clairembourg), notre pote Simon (Arthur Dupont) est retourné vivre chez ses parents dans la campagne belge. Il y retrouve son pote d’enfance Julien (Guillaume Gouix) qui vit avec son père Luc (Jean-Paul Bonnaire), malade et dont il doit s’occuper régulièrement. Les deux garçons, sur un coup de tête, décident de tout plaquer pour s’acheter un mobile home et ainsi partir à l’aventure dans toute l’Europe. A eux Moscou, le Groenland ou encore les plages paradisiaques de Sardaigne mais leur voyage va tourner court puisque leur véhicule va tomber en panne. Avant de repartir, il leur faudra donc travailler pour payer les réparations et il y en a pour 3000 € !

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    Road-trip annoncé avec nos potes Arthur Dupont & Guillaume Gouix mais oubliez tout de suite la perspective de découvrir de splendides paysages car il n’y aura pas beaucoup de routes parcourues à bord de ce Mobile home. Il n’y a pas forcément besoin d’aller bien loin pour se découvrir et les 2 personnages sympathiques que sont ici Simon & Julien vont en faire l’expérience. Le duo fait preuve d’une belle entente, il est juste regrettable que cette sensation de sur-place du premier long-métrage de François Pirot soit aussi prégnante. Un petit film discret et qui a toutes les chances de le rester mais avec lequel on passe tout de même un agréable moment.

  • Un indien dans la ville

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    Pour notre pote Stéphane (Thierry Lhermitte), ce voyage au Venezuela ne devait être qu’une formalité. Il pensait en effet rapidement signer les papiers de son divorce avec Patricia (Miou-Miou) qu’il n’avait pas revu depuis 13 ans et retourner en France pour reprendre son travail et épouser Charlotte (Arielle Dombasle). Cependant, lorsqu’il retrouve la trace de son ex-femme dans un village appelé Lipo-Lipo, il apprend qu’à l’époque où elle m’avait quitté elle était enceinte. Le voilà donc père de Mimi-Siku (Ludwig Briand), un jeune indien qu’il va devoir accueillir chez lui à Paris après une promesse un peu précipitée. C’est la découverte d’un univers totalement différent pour le garçon et son voyage en France ne manquera pas d’animation !

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    Ce ne sera pas forcément le cas de tout le monde mais Un indien dans la ville faisait partie de ma culture ciné durant mon adolescence. Je vous l’accorde, la comédie d’Hervé Palud a pris quelques rides depuis sa sortie en 1994 mais le plaisir de la redécouvrir est intact. Il y a d’abord le duo Lhermitte / Timsit qui fonctionne à merveille et surtout Ludwig Briand qui aura marqué la mémoire de milliers de spectateurs avec le rôle de l’attachant Mimi-Siku tout cela accompagné du Chacun sa route de Tonton David. Evidemment, ceux qui découvrent le film aujourd’hui ne partageront pas le même enthousiasme et ne verront qu’une réalisation bateau et un scénario aussi léger que la tenue des villageois de Lipo-Lipo.

  • Je suis supporter du Standard

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    Notre pote Milou (Riton Liebman) est un supporter inconditionnel de l’équipe de football du Standard de Liège ce qui peut paraitre bizarre pour quelqu’un qui habite à Bruxelles. Il ne manque aucun match que ce soit au stade ou devant sa télévision mais cette passion inconsidérée affecte fortement sa vie personnelle. Il s’est rendu compte de cela après avoir assisté sans le vouloir à une réunion des Alcooliques Anonymes ; il est standardodépendant ! Milou veut donc reprendre sa vie en main ce qui signifie faire une croix sur tout ce qui a trait de près ou de loin au football et au Standard. Peut-être ainsi pourra-t-il également reconquérir la belle Martine (Léa Drucker).

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    Une comédie romantique autour du football, voilà qui devrait éviter les disputes chez les couples devant le cinéma enfin c’est ce qu’on aurait voulu croire. Il y a de bonnes intentions qui se dégagent de cette première réalisation du belge Riton Liebman malheureusement Je suis supporter du Standard souffre d’un humour trop peu prononcé. On a comme l’impression que tout est précipité et qu’au final tout tombe à l’eau le meilleur exemple étant cette scène où Milou se retrouve dans un bar de supporters adverses. La seule idée qui m’a vraiment fait rire c’est Looping en train d’interpeller des vaches sinon c’est un film qui n’atteint pas son but puisqu’il est loin d’être prolifique en fous rires et qui nous laisse même un arrière-gout de non-match.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas avoir honte d’acheter encore des images Panini à votre âge !

  • Amour & turbulences

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    Elle pensait que c’était son jour de chance mais notre pote Julie (Ludivine Sagnier) va vite déchanter. Plutôt contente d’être surclassée pour ce vol reliant New-York à Paris, elle a la désagréable surprise d’avoir comme compagnon de route Antoine (Nicolas Bedos), un ex. Leur histoire date d’il y a maintenant 3 ans et ils ne se sont pas vraiment quitté en bons termes d’où une certaine tension pour ces retrouvailles inattendues. Tout avait pourtant bien commencé entre eux ; une rencontre dans des toilettes, une danse en haut de la Tour Eiffel et l’éternel séducteur qu’est Antoine était tout simplement tombé amoureux alors comment leur relation a-t-elle bien pu s’achever ?

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    La seule véritable surprise de cette nouvelle comédie romantique c’est d’avoir confié l’un des premiers rôles à Nicolas Bedos. Le comédien débutant signe par ailleurs les dialogues qui restent, dans l’ensemble, assez sages alors qu’on aurait apprécié retrouver la plume acerbe qui a fait sa réputation. En dehors de ça, pas grand-chose à signaler, on sait dès le départ dans quoi on s’est embarqué avec Amour & turbulences et on passe plutôt un bon moment. La participation de Clémentine Célarié mais aussi de Michel Vuillermoz, Jonathan Cohen & Jackie Boyer apportent également un petit plus.

     

    Il faut le voir pour : Savoir ce qu’il faut faire au restaurant si votre femme vous demande de commander pour elle !

  • Rue Mandar

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    C’est une tragédie qui réunit aujourd’hui Emma, Rosemonde & Charles (Sandrine Kiberlain, Emmanuelle Devos & Richard Berry) ; ils doivent faire leurs adieux à leur mère. Un évènement douloureux pour tous et notre pote Rosemonde doit en plus gérer le départ de son fils Elie (Ivan Cori) qui part étudier à New York pendant 3 ans. Il faut aussi réfléchir à ce qu’ils veulent faire de l’appartement de leur mère situé 13, rue Mandar où ils ont grandi et la décision de la mettre en vente s’impose naturellement. C’est Emma qui sera chargé de la vendre car il faut dire qu’entre les crises d’hystérie de sa sœur et la folle envie de Charles de vouloir effectuer les travaux chez lui, elle est la seule qui puisse s’en occuper.

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    Inspirée par ses souvenirs personnels, la réalisatrice Idit Cebula nous convie à une réunion de famille qui se transforme en une belle foire dans laquelle on se sent parfois un peu perdu. Les situations cocasses s’enchainent et à certaines occasions ça part même dans des envolées loufoques mais les émotions elles ne sont pas au rendez-vous. Rue Mandar peut toutefois compter sur l’évidente complicité liant le trio Sandrine Kiberlain / Emmanuelle Devos & Richard Berry qui viennent apporter un peu d’animation dans la période de deuil que traversent leurs personnages. Une comédie qui n’est pas non plus à la rue et qui malgré quelques bons moments n’a vraiment rien de très attrayant.

     

    Il faut le voir pour : Demander à avoir un cercueil sur-mesure !

  • Pauvre Richard

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    Tout le quartier ne parle que de ça ; quelqu’un est l’euro gagnant de 124 millions d’euros, une fortune qui fait bien des envieux ! La question est maintenant de savoir qui est l’heureux élu et il suffira d’attendre une livraison de meubles pour que tout le monde sache qu’il s’agit de Richard (Frédéric Diefenthal). Pourtant, il ne faut pas se fier aux apparences car le véritable gagnant est en fait son pote d’enfance Omar (Yacine Belhousse) qui a préféré garder l’anonymat  et semant un peu plus le trouble. Désormais Richard est sollicité de toute part et il n’en peut vraiment plus, il ne veut désormais qu’une chose : retrouver le gagnant et régler ses comptes !

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    Allez, on en a tous rêvé et si j’étais riche …. Bon revenez vite sur Terre car pour l’instant on se retrouve avec Pauvre Richard et c’est vrai qu’en terme de pauvreté, on est gâté ! On sera conciliant et on passera outre un scénario très léger par contre niveau réalisation et jeu d’acteurs, on est plus proche du film amateur qu’autre chose. Bien sur, le film de Malik Chibane n’a pas bénéficié d’un grand budget mais le problème c’est que ceci est bien trop flagrant à l’écran (est-ce trop compliqué d’avoir des ordinateurs allumés dans une banque ?). Ajouté à cela des personnages bien caricaturaux plongés dans cette mer de moralité qui nous apprend que l’argent ne fait pas le bonheur et ce film le fait encore moins !

     

    Il faut le voir pour : Eviter de vous faire livrer des meubles, ça attirera le regard de vos voisins !

  • Cherchez Hortense

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    Il ne peut désormais plus reculer, Damien Hauer (Jean-Pierre Bacri) doit déjeuner avec son père Sébastien (Claude Rich), Président du Conseil d’Etat. On ne peut pas dire que tous deux soient très proches aussi Damien a beaucoup hésité avant d’aller solliciter son aide mais c’est sa femme Iva (Kristin Scott-Thomas) qui va le pousser à le faire. Elle a en effet une pote d’enfance qui, à la suite d’un divorce, est sous la menace d’une expulsion du territoire français. Avec ses relations, Sébastien pourrait certainement arranger la situation mais la rencontre avec son fils tourne court et celui-ci n’a même pas le temps d’exposer sa requête.

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    C’est l’histoire d’un mec et déjà quand on sait que ce mec est incarné par Jean-Pierre Bacri, on se doute déjà que rien ne va se passer comme c’était prévu. Le fil rouge de cette comédie de Pascal Bonitzer c’est un service que doit demander notre héros à un père débordé par ses fonctions. De brèves échanges à un déjeuner plein de surprises, l’acteur forme avec Claude Rich un tandem irrésistible et le casting féminin n’est pas en reste avec Kristin-Scott Thomas & Isabelle Carré. D’un scénario assez simple nait toutefois un film d’une grande richesse et porté par un Bacri fidèle à lui-même avec lequel on prendra un grand plaisir à faire ce qui nous est demandé : Cherchez Hortense !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas abuser du saké si vous ne voulez pas qu’on touche à vos orteils.