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  • Le rôle de ma vie

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    Sale période pour notre pote Aidan Bloom (Zach Braff) ; non seulement sa carrière d’acteur est toujours au point mort mais surtout il vient d’apprendre que le cancer de son père Gabe (Mandy Patinkin) est revenu. Ce dernier poursuit ainsi un traitement expérimental qui lui coute cher et c’est pourquoi il ne peut plus payer l’école de ses petits-enfants Grace & Tucker (Joey King & Pierce Gagnon). Au vu de leurs difficultés financières, Aidan et sa femme Sarah (Kate Hudson) n’ont pas d’autres choix que de retirer leurs enfants de leur école et de s’essayer aux cours à domicile. Plus facile à dire qu’à faire pour ce père qui va s’improviser professeur avec plus ou moins de réussite.

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    Il aura donc fallu attendre près de 10 ans après Garden State pour que Zach Braff, héros de la série Scrubs, mène à terme sa seconde réalisation financée grâce au crowdfunding. Le rôle de ma vie est le portrait d’un acteur qui prend soudainement conscience de la fragilité de son équilibre familial qu’il pensait avoir construit. L’heure est donc à la remise en question et on se laisse séduire par des personnages attachants, à quelques situations loufoques (notamment avec le frère incarné par Josh Gad) et l’émotion est aussi au rendez-vous. Malgré quelques moments creux, c’est une comédie décalée qui fait du bien et qui mérite qu’on y jette un œil.

     

    Il faut le voir pour : Chercher les vidéos de chatons sur Youtube !

  • White house down

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    Bien décidé à regagner l’amour de sa fille Emily (Joey King), notre pote John Cale (Channing Tatum) lui a fait une belle surprise avec cette visite à la Maison Blanche. La cerise sur le gâteau ce serait que cet ancien soldat intègre les services de protection du Président des Etats-Unis James Sawyer (Jamie Foxx) mais son entretien se passe mal. Il n’aura pas le temps de tergiverser sur cet échec car une bombe vient d’exploser dans le Capitole et l’état d’alerte maximale est déclenchée : la Maison Blanche est attaquée ! Séparée de sa fille, John va prendre tous les risques pour la retrouver et ce faisant il va également venir en aide au Président. Le sort des Etats-Unis est désormais entre ses mains.

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    Roland Emmerich aime détruire la Maison Blanche ; après Le jour d’après, 2012 & Independence Day (qui fait d’ailleurs l’objet d’un petit clin d’œil), c’est donc avec John McClane … ah non pardon John Cale autrement dit Channing Tatum qu’il va lancer un joli feu d’artifices. Pas de surprises, White house down s’accompagne de bonnes scènes d’actions rythmées par des fusillades, explosions et crashs d’hélicoptères sans oublier l’élan patriotique de rigueur pour ce genre de films. Un divertissement assumé mais on reste un peu sur notre faim, La chute de la Maison Blanche m’avait lui laissé un meilleur souvenir.

     

    Il faut le voir pour : Avoir la confirmation qu’il y avait bien des tunnels secrets pour faire entrer Marylin !

  • Conjuring : Les dossiers Warren

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    Pour Carolyn & Roger Perron (Lili Taylor & Ron Livingston), l’achat de cette maison était une vraie opportunité pour eux mais surtout pour leurs 5 filles. Malheureusement des évènements étranges vont rapidement se manifester à commencer par la mort inexplicable de leur chien lors de leur première nuit. Des bruits suspects, l’impression d’une présence malsaine, une odeur nauséabonde ; tous ces signes leur font penser que cette maison est habitée par quelque chose qui leur veut du mal. Pour échapper à ce cauchemar, Carolyn décide ainsi de solliciter l’aide de Lorraine & Ed Warren (Vera Farmiga & Patrick Wilson), des démonologistes pour qui ce genre de phénomènes n’a presque plus de secrets

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    Comme beaucoup de films du genre, Conjuring : Les dossiers Warren s’appuient sur de véritables faits aussi on aurait pu s’attendre à un énième et vulgaire Jump scare. Il se trouve que James Wan à qui l’on doit notamment Saw ou plus récemment Insidious ne cherche pas à nous faire faire sursauter à chaque plan mais qui laisse monter doucement la sauce prenant ainsi le temps d’installer une atmosphère angoissante. Casting plutôt soigné également avec les présences de Vera Farmiga & Patrick Wilson, il est juste regrettable que la conclusion soit aussi moisie ce qui gâche l’ensemble mais ça reste un bon moment pour les amateurs du genre.

     

    Il faut le voir pour : Interdire à vos enfants de jour à Cache & Tape !

  • En quarantaine

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    Dans le cadre de l’émission télévisée Equipe de nuit, la présentatrice Angela Vidal (Jennifer Carpenter) et son caméraman Scott Percival (Steve Harris) ont partagé une nuit à la caserne des pompiers de Los Angeles. Ce sont Jake & Fletcher (Jay Hernandez & Johnathon Schaech) qui vont leur servir de guides mais la nuit est plutôt calme et Angela commence à s’impatienter attendant un peu d’action. Son vœu est exaucé lorsqu’une alarme retentit, les pompiers sont appelés à intervenir dans un immeuble où la police est déjà sur place. Des voisins ont appelé lorsqu’ils ont entendus Mme Espinoza (Jeannie Epper) pousser d’horribles cris mais tous sont loin d’imaginer la nuit d’horreur qui les attend.

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    Sorti en 2008 sur nos écrans, [Rec] fut l’un des cartons du box-office espagnol et des producteurs américains ont flairé la manne financière en achetant les droits. C’est donc un énième remake auquel nous avons droit parce qu’évidemment l’œuvre originale se déroulant dans un immeuble à Barcelone ne pouvait pas convenir au public américain. Il est vrai qu’il est certainement plus économique de tourner un autre film que d’insérer des sous-titres. L’action prend donc désormais place à Los Angeles et pour le reste c’est du très bon copier/coller si ce n’est qu’on ne retrouve aucunement l’ambiance angoissante du film espagnol. S’il vous fallait choisir entre les deux pas d’hésitations à avoir ; oubliez En quarantaine et optez pour la version originale !

  • Crazy, stupid, love

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    La soirée s’achevait et le diner s’était plutôt bien déroulé jusque-là mais en guise de dessert Cal (Steve Carell) vient d’apprendre que sa femme Emily (Julianne Moore) demande le divorce après 25 ans de mariage. Ce n’est pas tout puisqu’elle lui révèle également qu’elle l’a trompé avec David Lindhagen (Kevin Bacon), un collègue de bureau. Cal redevient donc bien malgré lui célibataire et noie ses soirées dans un bar où il ressasse ses désillusions à qui veut bien l’entendre et justement cela arrive aux oreilles de Jacob (Ryan Gosling) qui va le prendre en main. Celui-ci est le tombeur de la boite, (presque) aucune femme ne lui résiste et il va révéler tous ses secrets à son nouveau pote d’enfance. Première mission : changer complètement sa garde-robe et en un instant Cal va devenir le nouveau playboy du coin.

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    Quand Julianne Moore fait sa crise de la quarantaine, c’est notre pote Steve Carell qui en fait les frais et ça donne une comédie bien sympathique. Il ne faut pas être trop regardant sur le scénario qui reste très basique mais on s’attache rapidement aux personnages de Crazy, stupid, love et même le beau gosse Ryan Gosling parvient à se rendre charmant avec ses abdominaux en béton qui en énerveront plus d’un. Les seconds rôles (Jessica & Robbie) ont également une place importante dans le film et apportent un peu plus de fantaisie ainsi qu’une pointe de fraîcheur à l’histoire. Ça n’a rien de la comédie incontournable mais c’est en tout cas un film agréable qui vous fera sans aucun doute passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Répéter la chorégraphie de Dirty Dancing.