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john erick dowdle

  • No escape

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    C’est une nouvelle vie qui commence pour notre pote Jack Dwyer (Owen Wilson) et sa famille qui quittent Austin au Texas pour s’installer en Thaïlande. Cardiff, une société de traitement des eaux lui a en effet proposé une offre qu’il ne pouvait pas refuser. Ce qu’il ignore c’est que la position de Cardiff au pays crée des tensions et la nuit dernière, le premier ministre thaïlandais a été assassiné. Quelques heures après avoir atterri, Jack va ainsi se retrouver au cœur d’un soulèvement visant tous les expatriés américains. Sa seule préoccupation sera de rejoindre sa femme Annie (Lake Bell) et leurs filles Lucy & Beeze (Sterling Jerins & Claire Geare) afin de les mettre à l’abri.

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    Owen Wilson en action hero ça avait de quoi interpeller plus d’un spectateur et c’est donc une belle surprise de voir qu’il s’en tire brillamment. Si au niveau de la carrure et du charisme ce n’est pas un Bruce Willis et qu'il n'a pas la classe d'un James Bond (c'est peut-être pour ça que Pierce Brosnan est du voyage ) on s'identifiera plus facilement à ce monsieur-tout-le-monde. La réalisation de John Erick Dowdle se montre aussi efficace ne laissant quasiment aucun temps morts et offrant quelques sueurs froides (vous apprendrez le lancer d’enfants). Avec tout ça, No escape nous fait passer un bon moment mais ça ne va pas relancer le tourisme en Thaïlande !

     

    Il faut le voir pour : Vous interroger quand vous goûterez du poulet avec un arrière-goût de raisin !

  • Catacombes

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    La Pierre philosophale, un simple mythe ? Pas pour Scarlett (Perdita Weeks) qui est persuadée de toucher au but après un voyage en Iran. Elle est aujourd’hui à Paris en compagnie de Benji (Edwin Hodge) qui tourne un documentaire sur l’incroyable quête menée par cette femme passionnée par l’Histoire et ses mystères. Elle a cependant besoin de l’aide de son pote d’enfance George (Ben Feldman) qui est seul capable de lire de l’Araméen et avec qui elle va trouver le lieu où serait caché la Pierre : les Catacombes ! Bien entendu, il leur faudra emprunter que peu de gens connaissent et c’est là qu’entrent en scène Papillon (François Civil) et son équipe.

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    Paris ce n’est pas que la Tour Eiffel ou les Champs Elysées mais aussi les Catacombes, lieu idoine pour nous donner quelques frissons. Pourtant dans la première heure, l’accent est surtout mis sur l’aspect aventure en compagnie de ces pilleurs de tombes modernes. Bon on ne va pas se mentir ; malgré les bonnes volontés du scénario, on n’y croit pas une seule seconde mais on peut reconnaitre que c’est assez judicieux. Histoire de rendre cette quête plus vivante, le réalisateur John Erick Dowdle a opté pour le Found-footage. C’est donc parti pour l’habituel festival d’images qui gigotent dans tous les sens et quelques effets visuels et sonores pour nous faire sursauter. Rien de nouveau à l’horizon ni dans les sous-sols.

     

    Il faut le voir pour : Préférer la visite touristique des Catacombes !

  • En quarantaine

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    Dans le cadre de l’émission télévisée Equipe de nuit, la présentatrice Angela Vidal (Jennifer Carpenter) et son caméraman Scott Percival (Steve Harris) ont partagé une nuit à la caserne des pompiers de Los Angeles. Ce sont Jake & Fletcher (Jay Hernandez & Johnathon Schaech) qui vont leur servir de guides mais la nuit est plutôt calme et Angela commence à s’impatienter attendant un peu d’action. Son vœu est exaucé lorsqu’une alarme retentit, les pompiers sont appelés à intervenir dans un immeuble où la police est déjà sur place. Des voisins ont appelé lorsqu’ils ont entendus Mme Espinoza (Jeannie Epper) pousser d’horribles cris mais tous sont loin d’imaginer la nuit d’horreur qui les attend.

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    Sorti en 2008 sur nos écrans, [Rec] fut l’un des cartons du box-office espagnol et des producteurs américains ont flairé la manne financière en achetant les droits. C’est donc un énième remake auquel nous avons droit parce qu’évidemment l’œuvre originale se déroulant dans un immeuble à Barcelone ne pouvait pas convenir au public américain. Il est vrai qu’il est certainement plus économique de tourner un autre film que d’insérer des sous-titres. L’action prend donc désormais place à Los Angeles et pour le reste c’est du très bon copier/coller si ce n’est qu’on ne retrouve aucunement l’ambiance angoissante du film espagnol. S’il vous fallait choisir entre les deux pas d’hésitations à avoir ; oubliez En quarantaine et optez pour la version originale !