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géraldine pailhas

  • Disparue en hiver

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    Tout a commencé dans ce restaurant où notre pote Daniel (Kad Merad) a ses habitudes où il a croisé le regard d’une jeune femme. Alors qu’il s’apprêtait à partir, cette dernière l’aborde pour être déposée quelque part mais elle a aussi une idée derrière la tête. Alors que la voiture se retrouve au beau milieu de la foret, elle fait une proposition indécente que Daniel refuse net et il décide d’abandonner sa passagère. Le lendemain, en rendant visite à Mme Savielli (Marie-Paule Von Roesgen), il apprend que sa petite-fille Laura (Lola Creton) n’est pas rentrée de la nuit et il se trouve qu’il s’agit de la fille qu’il a rencontrée hier.

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    A travers son scénario et son ambiance glaciale, Disparue en hiver nous fait un peu penser à ces thrillers venus du grand nord. Hélas, la comparaison s’arrête là car dans le cas présent, l’intrigue est bien trop mince et manque de rebondissements pour alimenter le suspense et donc notre intérêt. Si Kad Merad sait se montrer convaincant, le personnage de Daniel se montre lui très conventionnel avec son enquête où l’on retrouve en filigrane une blessure personnelle pas encore refermée. Cette réalisation de Christophe Lamotte a la chance de connaitre une sortie sur le grand écran mais a davantage des allures de téléfilm peu ambitieux.

     

    Il faut le voir pour : Enregistrer des cassettes au cas où ...

  • SMS

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    Après de nombreux travaux, notre pote Laurent (Guillaume de Tonquédec) pouvait pleinement profiter de sa belle maison avec sa femme Nathalie (Anne Marivin) et leur fils Milo (Timothé Vom Dorp). Dans l’idéal, c’est ce qu’il souhaitait sauf qu’aujourd’hui il y a de nombreuses fuites sur le toit et que cela annonce une journée plutôt intense pour ce père de famille. Alors qu’il marchait dans la rue avec Milo, il reçoit un SMS qui était en fait destiné à Nathalie et découvre ainsi qu’elle le trompe ! A peine le temps de réaliser cela et d’essayer de découvrir l’identité de l’expéditeur du message qu’il est victime d’une agression et son portable est dérobé. Après avoir tenté désespérément de le récupérer, Laurent découvre alors que son fils a disparu.

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    Ça démarre tambour battant et on se dit alors qu’on va passer un bon moment et puis sans qu’on s’y attende, subitement le coup de frein est donné et la sortie de route devient alors inévitable ! On reconnait que le réalisateur Gabriel Julien-Laferrière tente d’insuffler de l’énergie et du dynamisme à sa comédie à travers les flashbacks ou les interventions de la voix-off mais ce n’est pas avec ça qu’il va nous emballer. De la même façon, le personnage de Franck Dubosc qui aurait pu amener un second souffle n’apporte finalement rien si ce n’est du ridicule. En dépit de la sympathie éprouvée à l’égard du malheureux héros Guillaume de Tonguédec et de l’adorable bouille de Timothé Vom Dorp, il faut bien avouer que SMS est "Vrément PA T-Rible" !

     

    Il faut le voir pour : Toujours vérifier à qui vous envoyez vos SMS !

  • SMS

    Notre pote Guillaume De Tonquédec pensait avoir construit une belle vie de famille mais un SMS plus tard et son monde (ainsi que sa maison) s'écroule ! La réalisation est signée Gabriel Julien-Laferrière (Neuilly sa mère !) et ça a l'air plutôt pas mal.

    Date de sortie : 20 Août 2014.


  • Divin enfant

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    Cela fait maintenant plus d’un an que nos potes Sarah & Jean (Emilie Dequenne & Sami Bouajila) essayent d’avoir un enfant mais l’heureux évènement tarde à venir. Peu étonnant quand on sait que Jean a subit une vasectomie et qu’il ne peut donc plus avoir d’enfants et c’est donc une sacré surprise quand sa femme lui annonce qu’elle est enceinte ! Cette soirée de Noel s’annonce donc animée surtout que parmi les invités se trouvent les 3 anciens compagnons de Sarah à savoir Eric, Xavier & Thomas (Guillaume De Tonquédec, Pascal Demolon & Marco Prince) ainsi que leurs femmes respectives et toute une ribambelle d’enfants. Jean va donc avoir l’occasion de démasquer celui qui couche (encore) avec sa femme !

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    Rien de mieux qu’une belle et grande réunion familiale à Noël pour voir les choses déraper et ce Divin enfant s’annonçait comme une belle foire. Déjà on peut saluer un casting assez riche et cette bande aurait pu nous proposer une comédie plutôt sympa si elle avait basculé davantage dans le second degré. Vu qu’on part d’emblée avec un scénario improbable à travers cette famille recomposée XXL, il aurait fallu assumer le délire jusqu’au bout et nous faire plonger dans une certaine folie. Au lieu de quoi, on devra juste se contenter d’une comédie sans véritables inspirations qui fera juste passer le temps et qui, pour l’anecdote, constitue en fait un remake de la comédie suédoise Happy Christmas !

     

    Il faut le voir pour : Choisir un Père Noël qui n’a pas d’accent !

  • Jeune et jolie

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    A 17 ans, notre pote Isabelle (Marine Vacth) est devenue une femme après avoir eue sa première expérience avec le beau Félix (Lucas Prisor) mais cette relation ne restera tout au plus qu’un souvenir de ses vacances d’été. De retour à Paris, la lycéenne retrouve son quotidien à la différence que depuis quelques temps elle se prostitue ! Un jour à la sortie des cours, elle fut en effet abordée par un homme et après mure réflexion, Isabelle l’avait rappelé. Après ce qu’elle considérait comme une simple expérience, elle a éprouvé l’envie de continuer ce genre de relations en allant jusqu’à proposer ses services sur Internet.

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    C’est un sujet osé auquel s’attaque François Ozon et il l’évoque sans prendre de gants comme l’illustre la prestation remarquée de Marine Vacth. Le personnage d’Isabelle a cette particularité de considérer la prostitution non pas comme une exigence financière mais plutôt comme une sorte de prolongement de sa découverte de la sexualité. Un sujet sérieux que le réalisateur parvient à dédramatiser avec quelques notes d’humour et une relation frère / sœur plutôt ouverte. Pour en revenir à la Jeune et jolie interprète principale, elle offre une belle prestation malgré le fait qu’on aurait apprécié de la voir davantage mettre à nue son âme plutôt que son corps.

     

    Il faut le voir pour : Se poser des questions si votre fille s’est payé récemment un sac Prada.

  • Les randonneurs

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    Un petit trek dans le Gers ; ce n’est pas vraiment le programme idéal pour des vacances pour nos potes Mathieu (Vincent Elbaz) et son frère Louis (Philippe Harel) mais ils sont quand même là ! Bon, c’est vrai, ils ne sont venus que dans l’espoir de passer du temps avec Bernadette (Marine Delterme) hélas celle-ci a du renoncer au voyage à la dernière minute. Toujours est-il qu’ils sont maintenant sur place en compagnie de Cora (Karin Viard) et de Nadine (Géraldine Pailhas). Leur guide s’appelle Eric (Benoit Poelvoorde) et c’est aussi accessoirement le copain de Cora bien qu’il soit déjà marié et père de 2 enfants. Cette marche est l’occasion de découvrir de somptueux paysages et ils ne s’ennuieront pas !

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    Il n’a peut-être pas la stature d’une comédie culte toujours est-il qu’on prend un certain plaisir à voir et revoir ce film de Philippe Harel également présent devant la caméra. Les randonneurs séduit d’abord par son scénario simple mais efficace ; un trek dans le paysage montagneux corse qui offre une bouffée d’air frais aux spectateurs. Et puis il y a évidemment le groupe de potes d’enfance mené par un Benoit Poelvoorde à l’aise dans ses chaussures de randonnée sauf quand il se perd. La bande constituée par Géraldine Pailhas, Karin Viard, Philippe Harel & Vincent Elbaz fonctionne parfaitement à l’écran au point qu’ils se réuniront 10 ans plus tard dans Les randonneurs à Saint-Tropez.

     

    En savoir plus sur Les randonneurs à Saint-Tropez ?

  • Le paradis des bêtes

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    Cathy, Dominique (Géraldine Pailhas, Stefano Cassetti) et leurs 2 enfants Clarisse & Ferdinand (Valentine Klingberg & Léon Brachet) ont tout de la famille idéale mais ce ne sont là que des apparences. Dominique est un coureur de jupons invétéré et ne se gêne pas pour tromper sa femme sous ses propres yeux mais le plus grave reste qu’il peut très vite devenir violent. Excédée d’être traitée de la sorte, Cathy a pris une importante décision et est partie vivre à Grenoble avec ses enfants néanmoins son mari va de nouveau se manifester. Il tente de la raisonner mais devant son refus, il s’emporte et l’abandonne dans un état grave ; il part alors récupérer Clarisse & Ferdinand pour s’enfuir en Suisse.

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    Portrait d’une famille en pleine décomposition, Le paradis des bêtes nous fait avant tout découvrir la relation nocive qui s’est installée dans le couple Pailhas / Cassetti avec comme point d’orgue une scène particulièrement violente. En périphérie de cette souffrance, émerge le sort des enfants qui sont pris entre deux feux et qui ne sont parfois que les otages de ce déchirement. Après avoir joué les actrices, Estelle Larrivaz met en scène un sujet difficile pour son premier film dont elle signe également le scénario. Animé par un casting sans fautes - Muriel Robin ne vous laissera pas indifférente - il y a une vraie authenticité qui se dégage de cette histoire qui pourrait malgré cela ne pas passionner tout le monde.

     

    Il faut le voir pour : Faire comme les suisses ; tremper votre saucisse dans le chocolat !

  • Les yeux de sa mère

     

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    C’est la mort de son père qui a tout déclenché, soudain Maria Canalès (Géraldine Pailhas) a réalisé qu’elle devait revoir son fils qu’elle n’a jamais connu. Elle avait 16 ans à l’époque et ne pouvait pas s’occuper de lui car elle ambitionnait de devenir danseuse étoile, un objectif qu’elle a aujourd’hui réalisé. Cette grossesse, elle ne l’a jamais avoué à ses parents et encore moins à sa mère Lena Weber (Catherine Deneuve), célèbre présentatrice du journal télévisé depuis 15 ans maintenant. Entre les deux femmes, les relations se sont distanciées progressivement ; des secrets familiaux qui intéressent Mathieu Roussel (Nicolas Duvauchelle), journaliste qui a réussit à s’immiscer dans leurs vies sans qu’elles suspectent quoi que ce soit.

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    Portrait d’une famille sur 3 générations incarnée respectivement par Catherine Deneuve, Géraldine Pailhas & Jean-Baptiste Lafarge Les yeux de sa mère est un joli mélo signé Thierry Klifa. Le cinéma de l’ancien critique de Studio magazine repose énormément sur la richesse de ses personnages (entendez vous attendez pas à de l’action) et il nous en donne encore la preuve en l’occurrence. Si l’impressionnant casting démontre la volonté du réalisateur de nous offrir un film d’une grande densité, il y a des aspects qui interpellent comme cette starification trop superficielle de Catherine Deneuve ou encore les relations ambigües de Nicolas Duvauchelle. Un film plutôt plaisant.

     

     

     Il faut le voir pour : Ne plus étonner de voir des personnes s’évanouir soudainement.

  • Espion(s)

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    Il n’y a encore pas si longtemps Vincent (Guillaume Canet) bossait à l’aéroport de Roissy avec son pote d’enfance Gérard (Bruno Blairet). De temps à autre, ils se permettaient d’ouvrir des bagages pour récupérer 2-3 bricoles qui leur plaisaient jusqu’au jour où ils tombent sur une valise diplomatique. Gérard sort un flacon de parfum qui s’avère en fait être un dangereux explosif et il meurt quelques instants plus tard à l’hôpital. Vincent lui se retrouve impliqué dans une affaire dont il n’avait pas idée et est recruté par la DST pour récolter plus d’informations sur le propriétaire de la valise. Il débarque ainsi à Londres où il se fait passer pour le membre d’une ONG.

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    Ça part sur les chapeaux de roue et on trépigne d’en savoir plus mais très vite, tout retombe à plat ! Espion(s) préfère s’attarder sur les rapports entre Guillaume Canet et la belle Géraldine Pailhas plutôt que de développer un peu plus le coté espionnage du film et c’est carrément frustrant. Avare en action, on a rapidement fait le tour du film et ce n’est pas les états d’âme du personnage de Vincent qui vont y changer grand-chose. Même la fin est assez grotesque et c’est donc beaucoup de bruit pour pas grand-chose que cette première réalisation Nicolas Saada.

     

    Il faut le voir pour : Faire attention quand vous versez le lait pour votre thé.

  • Les randonneurs à Saint-Tropez

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    Depuis que nos potes d’enfance Coralie, Nadine, Louis & Mathieu (Karin Viard, Géraldine Pailhas, Philippe Harel & Vincent Elbaz) se sont rencontrés lors d’une randonnée, ils ne se sont plus jamais quitté. Quand arrivent les vacances, c’est l’occasion de se retrouver et de passer du bon temps pour oublier les tracas du quotidien. Cette année, ils ont décidé de partir du coté de Sainte-Maxime et profiter ainsi du soleil de la cote. Par le plus grand des hasards, ils vont retrouver Eric (Benoit Poelvoorde), le guide qu’ils avaient rencontré en Corse 10 ans auparavant et accessoirement l’ex de Nadine. C’est qu’il en a fait du chemin depuis la randonnée devenant ainsi un mec plein aux as.

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    Réaliser la suite d’un film est toujours un exercice délicat qui laisse souvent place à de la déception. Le premier bon point avec Les randonneurs à Saint-Tropez, c’est d’avoir réussi à réunir le casting originel et … c’est à peu près tout ! Inutile de tergiverser, pour une comédie on s’ennuie ferme et les retrouvailles tourne donc vite à la mauvaise surprise. Karin Viard tente bien de nous amuser tandis que Pailhas, Elbaz & Harel semblent totalement absent. Même Poelvoorde se remet dans la peau d’Eric sans trop y croire. On va donc tout faire pour oublier rapidement cet épisode qui n’aurait jamais du voir le jour et on préfèrera revoir Les randonneurs pour passer du bon temps.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre le geste qui sauve si quelqu’un avale une arête !