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film - Page 23

  • Je suis à vous tout de suite

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    S'il y a bien un trait de caractère dont a hérité notre pote Hanna (Vimala Pons), c'est bien la gentillesse de ses parents. Sa mère Simone (Agnès Jaoui) est toujours à l'écoute des autres tandis que son Père (Ramzy Bedia) tient une petite épicerie où il offre plus qu'il ne vend. Dès sa plus tendre enfance, Hanna a donc appris à tendre la main aux autres et aujourd'hui encore cette gentillesse maladive lui joue des tours surtout quand elle doit licencier quelqu'un ! Dire non est difficile et elle ne pouvait donc pas refuser de donner un rein à son frère Hakim (Mehdi Djaadi) même si entre eux il y a de vraies tensions.

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    Quand on se fie aux bande-annonces de Je suis à vous tout de suite, on s'attend à se retrouver devant une comédie pas très raffinée et en réalité c'est un tout autre film qu'on découvre. On fait ainsi la connaissance d'une famille plutôt atypique puisqu'elle déborde de bonnes intentions ce qui est assez rare pour être signalé. Une gentillesse qui atteint de telles proportions qui précipite la toujours pétillante Vimala Pons dans des situations parfois bien cocasses. Le plus étonnant en fait dans ce film c'est qu'il présente finalement un aspect bien plus dramatique que ce que l'on attendait si bien qu'au générique de fin le tout est assez mitigé.

     
    Il faut le voir pour : Mieux négocier votre licenciement !

  • Le labyrinthe : La terre brûlée

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    Ils ont échappé à Wicked et son désormais en sécurité dans un sanctuaire dirigé par un certain Janson (Aidan Gillen). Place au soulagement pour Thomas (Dylan O'Brien), Teresa (Kaya Scodelario) et leurs potes d'enfance mais ils vont également découvrir qu'ils ne sont pas les seuls à s’être échappés d'un labyrinthe. Parmi eux se trouve Aris (Jacob Lofland) qui va alerter Thomas d'un drôle de manège au sein de ce fameux sanctuaire qui n'est pas l'abri qu'on leur annonçait. Après avoir découvert la vérité sur Janson et ses intentions, ils parviennent à prendre la fuite et se retrouvent dans le désert de la Terre brûlée. D'autres dangers les attendent puisque cela grouille de Fondus, des créatures assoiffées de sang !

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    Second volet de la saga imaginée par James Dashner, on reprend les mêmes et on recommence ! Toujours aussi en jambes, nos jeunes héros ne vont pas non plus s'ennuyer avec cet épisode où la menace des araignées mécaniques laisse place à celle pas très originale des Fondus, de dangereux zombies. On en découvre toujours un peu plus avec une histoire mettant plus particulièrement en lumière le duo Thomas / Teresa reléguant davantage les autres personnages en tant que faire-valoir. Malgré tout, ça reste toujours aussi riche en action et on n'a vraiment pas le temps de s'ennuyer avec Le labyrinthe : La terre brûlée ce qui en fait un sympathique divertissement. On prend déjà rendez-vous pour le prochain épisode !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que rien ne sert de courir … enfin si quand même !

     

    En savoir plus sur Le labyrinthe ?

  • Le grand jour

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    Ils s’appellent Deegii, Nidhi, Albert & Tom ; vivent aux quatre coins du monde et ont tous un rêve. Devenir un boxeur professionnel, intégrer une école de cirque, réussir un prestigieux concours ou encore être nommé Ranger d'un parc naturel ; tels sont leurs objectifs. Bien entendu, nos potes ont conscience que pour cela ils vont devoir fournir beaucoup de travail et de sacrifices. Nous allons ainsi accompagner Deegii & Albert pour qui chaque journée est ponctuée d'un intense entraînement tandis que Nidhi & Tom seront plongés dans les révisions qui leur permettront peut-être de réussir leurs tests.

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    Après Le chemin de l’école, Pascal Plisson nous revient pour un nouveau documentaire qui s’apparenterait presque à une suite. Ici aussi le spectateur a droit à différents portraits tournés dans plusieurs parties du monde et là encore on retrouve les mêmes défauts. Passons rapidement sur le doublage français douteux, le plus gênant reste la forme empruntée par Le grand jour à savoir des protagonistes jouant leur propre rôle (et pas forcément très bien) pour mieux broder leurs belles histoires. La finalité de tout ça c’est que le travail, les efforts, l’implication finissent toujours par être récompensés enfin au-delà d’un certain âge, ce message restera de l’ordre de l’utopie.

     

    Il faut le voir pour : Travailler votre souplesse si vous voulez faire comme la petite Deegii !

  • Knock knock

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    Sa femme Karen (Ignacia Allamand) et ses enfants sont partis en week-end pour la plage, notre pote Evan Webber (Keanu Reeves) se retrouve seul à la maison. Cet architecte va en profiter pour travailler en paix mais en cette nuit pluvieuse il va recevoir une visite inattendue. Genesis & Bel (Lorenza Izzo & Ana de Armas) sonnent ainsi à sa porte ; les deux jeunes femmes qui voulaient rejoindre une fête se rendent comptent qu'elles ont été déposées par erreur dans le quartier. Totalement trempées, Evan va les convier à se mettre au chaud en attendant qu'on vienne les chercher mais ce père de famille est loin de se douter de l'horrible nuit qui l'attend car ses deux invitées ne sont pas ce qu'elles prétendent être !

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    On vous a pourtant répété de ne pas ouvrir la porte à n'importe qui ! On a beau s'appeler Keanu Reeves, on n'est pas à l'abri d'une mauvaise visite même si c'est celle de beautés empoisonnées comme Lorenza Izzo & Ana de Armas. Le film d'Eli Roth part donc sur un pitch aussi simple qu'efficace mais on attendait franchement bien plus du réalisateur qui s'est fait connaître avec le sanglant Hostel. Knock knock se contente du minimum syndical ; la prise en otage de ces 2 demoiselles reste en effet étonnamment sage en dehors d'une maison saccagée et d’œuvres d'art dégradées. Pas de doute, c'est la déception qui sonne à la porte !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas laisser votre mari seul pendant la fête des pères !

  • Premiers crus

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    Autrefois, le domaine Maréchal était réputé pour son vin mais les temps ont bien changé ! Cela fait quelques années que notre pote François (Gérard Lanvin) a perdu la flamme ; il ne s'implique plus vraiment dans son exploitation et la conséquence ne s'est pas fait attendre puisqu'il pourrait tout perdre. Une situation désespérée que vient d'apprendre son fils Charlie (Jalil Lespert), grand critique de vin qui a depuis longtemps quitté le domaine. Un départ que François a toujours du mal à accepter et pourtant c'est peut-être grâce à l'aide de son fils que les choses pourront s'arranger. Sacré défi pour Charlie qui met en jeu la réputation qui s'est construite au fil des années et qui est beaucoup plus habitué à goûter qu'à fabriquer le vin.

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    Le vin reste incontestablement l'un des fleurons du patrimoine français et ces Premiers crus n'entendent pas écorner cette image. Le réalisateur Jérôme Le Maire sait nous brosser dans le sens du poil ; le sort indécis d'un domaine familial transmis en génération en génération, de beaux paysages de vignes bercés par le soleil (et par opposition aux décors sombres des grandes villes), tout ça sent un peu la piquette ! Mettez un peu de "C'était mieux avant" avec notre pote Jalil Lespert qui va révolutionner la production pour compléter le tout et vous obtenez un film peu inspiré. Peut-être que le regarder en ouvrant une bonne bouteille pourrait changer les choses mais je n'y crois pas beaucoup !

     


    Il faut le voir pour : Apprendre qu'il faut récolter le raisin quand son grain a un goût de réglisse mais ça c'est si vous avez des vignes ou vous pouvez le répéter pour vous la jouer !

  • Asphalte

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    Les habitants de l’immeuble n’avaient plus le choix, il fallait remplacer l’ascenseur seulement notre pote M. Sternkowitz (Gustave Kervern) n’en a pas l’utilité puisqu’il habite au 1er étage. Finalement, il n’aura pas à le payer mais s’engage aussi à ne pas l’utiliser ce qui risque d’être difficile puisqu’il va se retrouver dans un fauteuil roulant ! Dans les étages supérieurs, Charly (Jules Benchetrit) va faire connaissance avec sa nouvelle voisine Jeanne Meyer (Isabelle Huppert) qui s’avère être une ancienne comédienne. De son coté, Mme Hamida (Tassadit Mandi) va recevoir une drôle de visite, pas une rencontre du 3ème type mais presque.

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    Entre 2005 et 2010, il avait écrit Les chroniques de l'asphalte et c'est notre pote Samuel Benchetrit himself qui s'est chargé de l'adaptation. On a d’abord une sorte de film choral à l’échelle d’un petit immeuble de cité avant que des duos aussi atypiques qu’attachants ne se forment. Il y aura une tendresse particulière à l’encontre de la formidable Tassadit Mandi (elle m’éclate quand elle sort son "mange" à l’américaine) et de l’astronaute Michael Pitt. On s’amuse aussi en compagnie des deux autres tandems avec notamment les débuts remarqués de Jules Benchetrit, fils du réalisateur. Décalé et drôle, Asphalte est sans conteste une belle découverte !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas hésiter à participer aux frais de l’ascenseur de votre immeuble !

  • Everest

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    Depuis que des hommes comme Tensing Norgay ou Edmund Hillary ont escaladé jusqu’au sommet de l’Everest dans les années 1950, cela a fait de nombreux émules par la suite. Nous sommes en 1996 et de nombreuses sociétés ont vu le jour afin de proposer cette incroyable expédition à toute personne se sentant l’âme d’un aventurier. Pour conquérir l’Everest, il faut cependant une condition physique optimale car dans cet environnement hostile vous pouvez y laisser votre vie ! A la tête d’Adventure consultants, notre pote Rob Hall (Jason Clarke) prépare sa prochaine ascension et sa priorité est et restera toujours de tout faire pour ramener ses clients en vie.

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    Qui n’aurait pas envie de fait un tour sur le toit du monde ? Atteindre le sommet de l’Everest n’est pas à la portée du premier venu mais surtout cette ascension est bordée de dangers comme en témoigne cette histoire rendant hommage à Rob Hall et ses compagnons. Avec des paysages enneigés à perte de vue, quelques plans qui vous donneraient presque le vertige ; on est happé dans leur incroyable aventure et vous n'échapperez pas à quelques frissons. On regrette juste que le réalisateur Baltasar Kormákur parasite son film avec ces quelques scènes ne cherchant qu'à tirer quelques larmes aux spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous plaindre quand vous devez monter des escaliers !

  • Boruto : Naruto, le film

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    Il l'a toujours dit et aujourd'hui son rêve est devenu réalité ; notre pote Naruto Uzumaki est devenu le 7ème Hokage de Konoha ! Un rôle important qui s'accompagne de nombreuses responsabilités si bien qu'il se retrouve débordé et manque même de temps à consacrer à sa famille. Avec Hinata, ils ont donné naissance à Himawari & Boruto et ce dernier a hérité du caractère impétueux de son père puisqu'il accepte mal son absence. Il ira jusqu'à se trouver un autre modèle puisqu'il va devenir le disciple de Sasuke qui va l’entraîner dans le cadre du prochain examen Chunin. Cependant Sasuke est aussi revenu au village à la suite d'un combat qu'il a mené contre deux individus menaçants.

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    Pour ceux qui ont grandi avec le personnage de Masashi Kishimoto, c'est un événement de le voir ainsi évoluer et découvrir la nouvelle génération de Konoha. C'est clair que Boruto : Naruto, le film reste d'abord une curiosité réservée aux fans qui auront l'occasion de découvrir le nouveau statut des différents héros. A cela s'ajoute le petit plaisir qu'on prend à essayer de deviner quels couples se sont formés ou encore les enfants nés de ces unions (ne manquez pas la révélation de la fin du générique !). A part ça, l’intérêt de ce film s'étiole vite avec une histoire peu inspirée à l'image de méchants en bois juste là pour faire de la figuration.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier que ce sont bien vos parents qui sont avec vous et pas un Kage bunshin no jutsu !

     

    En savoir plus sur Naruto the last, le film ?

  • The program

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    Après avoir remporté des courses aux États-Unis, notre pote Lance Armstrong (Ben Foster) est venu tenter sa chance en Europe. Malgré ses efforts, ses performances sont décevantes et pour cet homme obsédé par la victoire cela ne peut pas durer plus longtemps. Il est prêt à tout quitte à prendre des produits interdits et c’est ce qui va le conduire à contacter le médecin Michele Ferrari (Guillaume Canet). Le cycliste se métamorphose et rencontre ses premières victoires mais en 1996, sa carrière est brusquement remise en cause lorsqu'on lui diagnostique un cancer des testicules. Comment deviner alors que cet homme deviendra le septuple vainqueur du Tour de France.

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    Pas la peine d’être un grand spécialiste du vélo pour connaître Lance Armstrong qui a fait la une des médias d’abord pour ses performances sportives puis par le scandale du dopage. Stephen Frears revient sur son ascension fulgurante tout comme le fut sa chute ; on y découvre un champion qui aura longtemps vécu dans le déni avant de devenir le héros déchu que l'on connaît aujourd'hui. Pour l'incarner et c'est l'un des points forts de The program, notre pote Ben Foster nous livre une prestation à l'image de sa transformation c'est-à-dire impressionnante. Un biopic sur un personnage malgré tout fascinant et qui doit beaucoup à son interprète principal.

     

    Il faut le voir pour : Ressortir votre vélo !

  • The visit

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    Cela fait des années qu'elle (Kathryn Hahn) est en froid avec ses parents mais les choses pourraient prochainement s’améliorer. C’est du moins ce qu’espèrent ses enfants Becca & Tyler (Olivia DeJonge & Ed Oxenbould) qui vont avoir l’occasion de passer une semaine avec des grands-parents qu’ils n’ont jamais vu. Passionnée de cinéma, Becca profite de cette occasion pour tourner un documentaire sur cette éventuelle réconciliation mais elle est loin de se douter que cette visite sera riche en événements. Les enfants vont en effet constater que leurs Grands-parents (Deanna Dunagan & Peter McRobbie) font parfois preuve de comportements suspects.

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    The visit commence comme beaucoup de films d’épouvante-horreur qui plus est adoptant une réalisation en found-footage. A ce moment-là difficile alors de deviner que celui qui se cache derrière la caméra n'est autre que Night Shyamalan, le roi des twists qui n’est pas prêt de lâcher sa couronne. On est donc assez surpris de le retrouver dans ce genre d'exercice même si ça se ressent au niveau de la mise en scène bien plus soignée que la moyenne. On retrouve ainsi un niveau d'angoisse allant grandissant associé à quelques notes d'humour sans oublier la petite surprise du chef (assez prévisible) ; un film qui fonctionne bien donc mais vu le réalisateur on attendait bien plus !

     

    Il faut le voir pour : Demander à vos enfants de nettoyer le four !