Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

claudia tagbo

  • Je suis à vous tout de suite

    star 02.5.jpg

    AFF1 (2).jpg

    S'il y a bien un trait de caractère dont a hérité notre pote Hanna (Vimala Pons), c'est bien la gentillesse de ses parents. Sa mère Simone (Agnès Jaoui) est toujours à l'écoute des autres tandis que son Père (Ramzy Bedia) tient une petite épicerie où il offre plus qu'il ne vend. Dès sa plus tendre enfance, Hanna a donc appris à tendre la main aux autres et aujourd'hui encore cette gentillesse maladive lui joue des tours surtout quand elle doit licencier quelqu'un ! Dire non est difficile et elle ne pouvait donc pas refuser de donner un rein à son frère Hakim (Mehdi Djaadi) même si entre eux il y a de vraies tensions.

    01.jpg

    Quand on se fie aux bande-annonces de Je suis à vous tout de suite, on s'attend à se retrouver devant une comédie pas très raffinée et en réalité c'est un tout autre film qu'on découvre. On fait ainsi la connaissance d'une famille plutôt atypique puisqu'elle déborde de bonnes intentions ce qui est assez rare pour être signalé. Une gentillesse qui atteint de telles proportions qui précipite la toujours pétillante Vimala Pons dans des situations parfois bien cocasses. Le plus étonnant en fait dans ce film c'est qu'il présente finalement un aspect bien plus dramatique que ce que l'on attendait si bien qu'au générique de fin le tout est assez mitigé.

     
    Il faut le voir pour : Mieux négocier votre licenciement !

  • Bon rétablissement !

    star 03.jpg

    AFF.jpg

    Un homme vient de faire une chute vertigineuse dans la Seine et notre pote Pierre (Gérard Lanvin) a de la chance d’être toujours en vie. Lorsqu’il se réveille à l’hôpital, il n’a aucune idée de ce qui a bien pu lui arriver ce qui rend l’enquête de Maxime (Fred Testot) un peu plus difficile. Avec une jambe dans le plâtre, il doit rester alité mais peut compter sur la visite de son entourage à commencer par son petit frère Hervé (Jean-Pierre Darroussin). Et puis à l’hôpital il fait des rencontres comme l’infirmière Myriam (Claudia Tagbo) ou Maëva (Mona Jabeur), une adolescente qui traine souvent devant sa chambre et même un peu trop !

    01.jpg

    Adapté du livre de Marie-Sabine Roger, Bon rétablissement ! a cette particularité que quasiment tout se déroule dans la chambre du patient bougon qu’est Gérard Lanvin. Cette comédie signée Jean Becker est ainsi rythmée par les différentes visites mais aussi de touchantes rencontres (dont celle incarnée par un remarquable Swann Arlaud) sans oublier quelques scènes de flashbacks. Celles-ci viennent apporter un peu de lumière sur Pierre mais il faut bien reconnaitre que cela reste assez superficiel tout comme certains personnages secondaires. S’il ne s’agit pas du remède parfait pour se marrer, ça n’en reste pas moins un divertissement simple et agréable.

     

    Il faut le voir pour : Garder un œil sur votre ordinateur si jamais vous l’apportez à l’hôpital !

  • Le crocodile du Botswanga

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Leslie Conda (Ibrahim Koma) est le nouvel espoir du football et notre pote Didier (Fabrice Eboué) peut remercier le ciel d’être son agent. Tous deux se rendent au Botswanga, pays d’origine du footballeur qui souhaite notamment disperser les cendres de sa mère disparue. Ils sont accueillis en grande pompe par le Président Bobo (Thomas Ngijol), un chef d’état aux méthodes quelque peu dictatoriales. Celui-ci s’est d’ailleurs mis en tête de créer une équipe nationale de football ; les Crocodiles du Botswanga et il compte bien entendu sur l’enfant du pays pour les mener à la victoire. Après avoir offert une jolie mallette d’1 million d’euros, il charge Didier de convaincre son joueur mais c’est loin d’être gagné !

    01.jpg

    Notre pote Fabrice Eboué est de retour à la réalisation et il en signe également le scénario. Le crocodile du Botswanga nous confronte à un dictateur plutôt original incarné par son inséparable compère Thomas Ngijol. A l’image de Case départ, cette comédie est loin de faire dans le raffiné bien au contraire ; il ne fait que puiser dans les habituels clichés pour nous faire rire. Un humour qui une fois encore ne plaira pas à tout le monde mais lorsqu’on l’apprécie difficile de s’empêcher de se marrer. On peut juste déplorer un certain manque de surprises ; les anciens du Jamel Comedy Club ne prennent malheureusement pas beaucoup de risques mais l’essentiel reste qu’on s’amuse plutôt bien.

     

    Il faut le voir pour : Demander à ce qu’on crée un Ministère des cabinets en France !