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cinéma - Page 9

  • Les visiteurs - La Révolution

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    Pour nos potes Godefroy de Montmirail & Jacquouille la fripouille (Jean Reno & Christian Clavier), les voyages dans le temps sont loin d’être terminés ! Après le 20ème siècle, les voilà propulsés en 1793 où la Révolution française est en train de modeler une nouvelle société et ils doivent impérativement trouver un moyen de retourner à leur époque. Ils accumulent les ennuis puisqu’à peine arrivés, Godefroy et son fidèle valet sont pris pour des anglais et condamnés à la pendaison. Dans l’attente de leur exécution, ils vont faire la connaissance de Lorenzo Baldini (Ary Abittan) en compagnie duquel ils vont parvenir à prendre la fuite. Ils rejoignent alors Adélaïde de Montmirail (Karin Viard) qui est en train de prendre la fuite avec sa famille et tout ce beau monde va alors rejoindre Paris.

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    On ne pensait pas vraiment les revoir et pourtant 18 ans après Les visiteurs 2 : Les couloirs du temps, voilà que Godefroy & Jacquouille repointent le bout de leur nez. On retrouve également à leurs cotés Jean-Marie Poiré à la réalisation et on a envie de dire que rien n’a vraiment changé pas même les blagues. Les haleines fétides et l’odeur corporel de nos voyageurs du temps font toujours leurs effets, Clavier a l’occasion de se confronter à ses doubles et puis c’est à peu près tout ce que nous propose Les visiteurs - La Révolution. Les nouveaux visages comme Sylvie Testud, Karin Viard, Alex Lutz ou encore Franck Dubosc n’apportent strictement rien si ce n’est peut-être leurs noms à l’affiche mais évitons d’en faire une polémique ! Une fin ouverte laisse entrevoir un nouvel épisode mais qui en a réellement envie aujourd'hui ?

     


    Il faut le voir pour : Découvrir pourquoi on dit Hourra au lieu d'Hosanna !

     

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  • Batman V Supeman : L'aube de la justice

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    L'apparition du super-héros Superman (Henry Cavill) est-elle réellement une bénédiction ? C'est la question qui se pose actuellement et la réponse est toute trouvée pour notre pote Bruce Wayne (Ben Affleck) qui se cache également derrière le masque de Batman. Lors du combat entre le Général Zod (Michael Shannon), ce riche héritier a pu constater tous les dégâts mais aussi les victimes collatérales engendrés par Superman, un être dangereux dont les pouvoirs pourraient décimer l'humanité. Bruce cherche donc un moyen de le neutraliser et c'est par l'intermédiaire de Lex Luthor (Jesse Eisenberg) qu'il va trouver la solution. Un morceau de kryptonite a en effet été découvert et ce matériau semble être la seule faiblesse de l'homme d'acier.

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    C'est la réunion que les fans de DC Comics attendaient ; les 2 figures emblématiques de la maison d'édition se retrouvent enfin sur le grand écran. Le justicier de Gotham City attire les regards puisque Ben Affleck porte le masque pour la première fois et ne nous fera pas oublier Christian Bale. L'intérêt de Batman V Supeman : L'aube de la justice réside surtout sur cette confrontation qui tient ses promesses et où Wonder Woman vient aussi taper l'incruste. Enfin, il faut quand même se coltiner 1H30 loin de se montrer extraordinaire et durant lesquels le show de Jesse Eisenberg finit par nous taper sur les nerfs. Le film de Zack Snyder est un bon divertissement que l'on soit fan ou non de ces héros et qui préfigure de prochaines aventures avec la réunion de la Justice League mais qui propose peu de surprises.

     


    Il faut le voir pour : Découvrir enfin qui est le plus fort entre Batman et Superman !

     

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    En savoir plus sur Superman / Batman : Apocalypse ?

  • La Dream Team

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    Ce n'était encore qu'un adolescent lorsque notre pote Maxime Belloc (Medi Sadoun) a quitté le Berry pour rejoindre le centre de formation du PSG. A la suite de cela, sa carrière a vite explosé ; footballeur d'exception il enchaîne les succès sans oublier les juteux contrats publicitaires qui ont fait sa fortune. Pourtant, aujourd'hui âgé de 33 ans, le joueur semble sur le déclin comme l'atteste sa non-sélection avec l'équipe de France. Pour ne rien arranger, il s'est bêtement blessé et sera ainsi éloigné des terrains et son agent trouver alors l'idée d'un retour aux sources. C'est ainsi qu'il revient là où tout a commencé à Mareuil-en-bresle où il retrouve son père Jacques (Gérard Depardieu) avec qui les relations sont tendues.

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    Si vous appréciez le ballon rond autant que le cinéma, vous savez sans doute que le mariage des deux donne rarement de bons résultats. La Dream Team n'échappe hélas pas à cette règle car notre pote Thomas Sorriaux nous a pondu une comédie on ne peut plus convenue. Une star du foot à l'ego surdimensionné et critiquée de toutes parts retrouve son village natal et un Gérard Depardieu en père un peu bourru. Le dénouement de l'histoire n'est pas très difficile à deviner sans oublier la présence de Barbara Cabrita pour apporter un peu de romance. En fait, si vous avez moins de 12 ans alors oui cette comédie pourra prétendre à vous faire passer un bon moment autrement vous pouvez passer votre chemin.

     

     

    Il faut le voir pour : Éviter de vous tatouer des caractères chinois !

  • 10 Cloverfield lane

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    Notre pote Michelle (Mary Elizabeth Winstead) a pris une décision difficile en quittant Ben (Bradley Cooper) et a ainsi pris la route lorsqu’elle a été victime d'un accident. A son réveil, la jeune femme s'aperçoit qu'elle est retenue captive du moins c'est ce qu'elle pense dans un premier temps. Apparait alors Howard (John Goodman) qui l'a secouru et soigné, celui-ci lui annonce alors une terrible nouvelle. Il y a eu une attaque foudroyante et on ignore encore s'il s'agit d'une déclaration de guerre d'un autre pays ou d'une menace extraterrestre. Toujours est-il que l'air est devenu toxique et que Michelle va devoir rester dans ce bunker en compagnie d'Howard mais aussi d'Emmett (John Gallagher Jr.).

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    Il s'agissait d'une des affaires rentables de l'année 2008, Cloverfield avait su piquer la curiosité des spectateurs et on n'est pas vraiment surpris de voir un nouveau volet débarquer. Un épisode toutefois assez différent d'abord avec la réalisation de Dan Trachtenberg qui laisse de côté le Found-footage pour une réalisation plus classique. Surtout 10 Cloverfield lane introduit de nouveaux personnages qui se dévoilent au cours d'un huis-clos où la tension va grandissant. Avec une pointe d'action dans ses derniers instants, le film sait donc se montrer plutôt divertissant sans pour autant marquer nos mémoires.

     


    Il faut le voir pour : Penser à ajouter un bunker si vous faites construire votre maison !

     

    En savoir plus sur Cloverfield ?

  • Triple 9

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    Un impressionnant braquage vient d'avoir lieu et 5 hommes armés ont pris la fuite avec leur butin ; quelques liasses de billets ainsi que le contenu du coffre d'un particulier. Leur projet a cependant connu un couac, s'en est suivi une fusillade à laquelle ils ont réussi à s'échapper. Cette équipe est composée des frères Russel & Gabe (Norman Reedus & Aaron Paul), Michael, Jorge & Marcus (Chiwetel Ejiofor, Clifton Collins Jr. & Anthony Mackie) ; ces deux derniers se trouvant être des policiers ! Ce braquage a été commandité par Irina Vlaslov (Kate Winslet) pour le compte de son mari et leur travail n'est pas totalement terminé. L'équipe devra encore obtenir des données confidentielles auprès de la Sécurité Intérieure mais la question est de savoir comment neutraliser l'intervention des forces de Police.

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    Les premières minutes sont menées tambour battant et Triple 9 nous met rapidement dans le bain d'autant plus qu'il y a du beau monde au rendez-vous. On retrouve ainsi le tandem Casey Affleck / Anthony Mackie en tête de gondole mais on notera également les présences de Woody Harrelson, Norman Reedus (pour les fans de The walking dead) ou encore Kate Winslet dans un rôle assez étonnant. Un casting riche mais qui accouche de personnages qui sont loin de marquer les esprits des spectateurs. Le thriller de John Hillcoat bénéficie par contre d'un scénario plutôt malin, l'action est là bien qu'elle se montre moins flamboyante dans la seconde partie ; il y a largement ce qu'il faut pour passer un bon moment.

     

     

    Il faut le voir pour : Vous méfier de votre belle-sœur !

  • Marseille

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    Alors qu’il était en vacances, notre pote Paolo (Kad Merad) a reçu un appel de son frère Joseph (Patrick Bosso) qui lui annonce une mauvaise nouvelle. Leur père Giovanni (Venantino Venantini) s’est fait renverser par un scooter et se trouve actuellement dans le coma entre la vie et la mort mais quand même plus proche de la mort. Paolo saute donc dans le premier avion avec son fils et décolle du Canada pour se rendre à Marseille où il n’est pas revenu depuis 25 ans et en arrivant il a la surprise de constater que l’état de son père n’était pas si alarmant. Il souffre cependant d’amnésie et a tout oublié ; le visage de ces enfants jusqu’à son propre nom.

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    Quand s’annonce un film appelé Marseille et réunissant le duo Kad Merad / Patrick Bosso ; on s’attend à une comédie s’appuyant sur les clichés mais ce n’est pas totalement le cas . On retrouve effectivement certains lieux communs comme l’accent chantant marseillais (concurrencé quand même par le québecois), le culte pour le football avec un caméo sympathique et comment pourrait-on oublier le traditionnel Pastaga ! La surprise vient en fait de l'histoire qui nous dépeint le portrait d'une famille morcelée malheureusement l'émotion n'est pas vraiment au rendez-vous et tout ça est entourée de naïveté. De bonnes intentions qui ne se traduisent pas à l'écran.

     


    Il faut le voir pour : Dire à vos potes que vous n’avez pas besoin d’un gilet pare-balles pour aller à Marseille !

  • Jodorowsky's Dune

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    Après une petite expérience dans le théâtre au Mexique, notre pote Alejandro Jodorowsky s'est invité au cinéma en réalisant des films comme Fando et Lis, El Topo ou La montagne sacrée. Des œuvres totalement décalées qui reflètent la folie de ce génie créateur qui divise tout comme il est capable de nous fasciner et ce fut ainsi une merveilleuse découverte pour le producteur français Michel Seydoux. Une amitié est ainsi née et c'est tout naturellement qu'ils vont collaborer sur un projet commun : l'adaptation au cinéma du livre de Frank Herbert Dune ! Nous sommes en 1975, une époque où Star Wars n'a pas encore envahi les salles et Alejandro Jodorowsky voit son film comme le messie de la Science-fiction.

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    Que ce soit le livre de Frank Herbert ou encore l'adaptation cinématographique de David Lynch, je dois bien avouer que Dune fait partie d'une de mes lacunes culturelles. Jodorowsky's Dune revient ainsi sur le projet incroyable sur lequel avait planché le réalisateur matérialisé en un immense livre. Un casting aux allures de Dream Team, des dessins et esquisses signés par les maitres Moebius, Chris Foss ou encore H.R. Giger ; une Bande-Originale confiée à Pink Floyd et Magma ; tout ça ne peut que nous laisser rêveur. Rien ne dit que ce film fantasmé aurait connu le succès escompté et ce documentaire manque effectivement parfois d'objectivité mais il n'en reste pas moins passionnant. En tout cas, cela donne envie de (re-)découvrir l’œuvre originale !

     


    Il faut le voir pour : Espérer voir un jour le Dune d'Alejandro Jodorowsky !

  • Seul contre tous

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    Le Docteur Bennet Omalu (Will Smith) travaille à Pittsburgh, Pennsylvanie en tant que légiste ; un travail qu’il prend très à cœur. Sa manière de traiter les autopsies est en effet assez originale et crée parfois des tensions mais encore récemment cela a permis d’éviter une erreur judiciaire. Son destin va être bouleversé lorsqu’il va devoir examiner le corps de Mike Webster (David Morse), ancien champion de football américain. Si aux yeux du grand public sa mort résulte simplement d’un suicide, les causes de son acte sont bien plus profondes. Les examens approfondis de Bennet vont être édifiantes au point de faire trembler la toute puissante NFL mais personne semble vouloir le prendre au sérieux.

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    Peu de chances que le nom de Bennet Omalu vous dise quelque chose à moins de suivre de très près l’actualité du football américain et la magie du cinéma est là pour réparer cette erreur. Seul contre tous est donc un biopic consacré à un médecin qui se sera battu pour sa légitimité et aura défié la NFL pour la reconnaissance des risques quant à la pratique de ce sport. Un combat qui semblait perdu d’avance quand on connait la place de cette ligue au cœur de la société américaine, un sport devenu presque une religion. Souffrant de quelques longueurs (on se serait bien épargné les scènes du couple Gugu Mbatha-Raw / Will Smith mais il fallait bien une touche de féminité), le film de Peter Landesman se montre aussi très prévisible.

     

     

    Il faut le voir pour : Demander à ce qu’on utilise des instruments neufs si jamais vous deviez être autopsié !

  • Room

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    Jack (Jacob Tremblay) célèbre aujourd’hui ses 5 ans mais contrairement aux autres enfants de son âge, il n’a pas eu droit à une grande fête avec ses potes d’enfance. L’amitié est d’ailleurs une notion qu’il ignore totalement car depuis sa naissance, ce petit garçon n’a jamais quitté cette chambre où il vit auprès de sa mère Joy (Brie Larson). Leur seul contact avec le monde extérieur c’est la télévision ou cette fenêtre au-dessus de leurs têtes, de temps à autre ils reçoivent aussi la visite du vieux Nick (Sean Bridgers). Jack ignore donc tout du monde qui l’entoure mais Joy a décidé de lui révéler la vérité ; comment sa vie a soudainement basculé il y a 7 ans.

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    Plusieurs faits-divers auront inspiré la romancière Emma Donoghue dont le film de Lenny Abrahamson est l'adaptation. Room s'intéresse ainsi à la captivité d'une femme désespérée dont le seul rayon de soleil reste un fils qui a préservé toute son innocence. Au-delà de ce huis-clos, ce sont aussi les conséquences psychologiques de ce drame pour les personnes concernées directement mais aussi pour leur entourage proche qui nous sont dévoilées. Récompensée par l’Oscar de la meilleure actrice 2016, Brie Larson délivre effectivement une grande performance partagée avec celle de son jeune partenaire Jacob Tremblay lui aussi exceptionnel. Une histoire forte et une interprétation irréprochable pour un film indispensable.

     

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les abris de jardin de vos voisins !

  • Un vrai faussaire

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    Tous les amateurs de tableaux de maitres connaissent les œuvres de Braque, Duffy, Picasso ou encore Matisse mais connaissez-vous le nom de Guy Ribes ? Non il ne s’agit pas d’un grand peintre ou du moins pas dans le sens où vous l’entendez ; cet homme est surtout réputé pour ses pastiches. Passionné par le dessin dès sa plus tendre enfance, il se lancera dans la peinture d’abord pour rendre hommage à ses maîtres puis afin de gagner sa vie. Il acquiert très vite une facilité déconcertante à reproduire le style des différents peintres jusqu’à réaliser ses propres toiles. Durant de nombreuses années, Guy Ribes va ainsi inonder le marché de l’art avec ses tableaux pour lesquels de riches collectionneurs débourseront jusqu’à des centaines de milliers d’euros.

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    Après avoir jeté un œil sur Un vrai faussaire, il est possible que vous observiez les grands tableaux sous un autre angle ! Si jusqu’à aujourd’hui vous n’aviez pas entendu parler de Guy Ribes, une chose est sur c’est que vous ne risquez pas de l’oublier de sitôt ! On a devant nous un véritable personnage qui aura connu un parcours incroyable mais qui surtout se révèle prodigieux pinceau à la main aussi à l’aise pour reproduire du Picasso que du Matisse. Si on laisse volontiers subjugué par les récits offerts par cet artiste, le réalisateur Jean-Luc Leon apporte quelques touches de nuances en faisant intervenir cet agent de la police judiciaire. Un documentaire passionnant !

     

     

    Il faut le voir pour : Éviter d’investir dans les tableaux de maîtres !