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julien boisselier

  • Marseille

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    Alors qu’il était en vacances, notre pote Paolo (Kad Merad) a reçu un appel de son frère Joseph (Patrick Bosso) qui lui annonce une mauvaise nouvelle. Leur père Giovanni (Venantino Venantini) s’est fait renverser par un scooter et se trouve actuellement dans le coma entre la vie et la mort mais quand même plus proche de la mort. Paolo saute donc dans le premier avion avec son fils et décolle du Canada pour se rendre à Marseille où il n’est pas revenu depuis 25 ans et en arrivant il a la surprise de constater que l’état de son père n’était pas si alarmant. Il souffre cependant d’amnésie et a tout oublié ; le visage de ces enfants jusqu’à son propre nom.

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    Quand s’annonce un film appelé Marseille et réunissant le duo Kad Merad / Patrick Bosso ; on s’attend à une comédie s’appuyant sur les clichés mais ce n’est pas totalement le cas . On retrouve effectivement certains lieux communs comme l’accent chantant marseillais (concurrencé quand même par le québecois), le culte pour le football avec un caméo sympathique et comment pourrait-on oublier le traditionnel Pastaga ! La surprise vient en fait de l'histoire qui nous dépeint le portrait d'une famille morcelée malheureusement l'émotion n'est pas vraiment au rendez-vous et tout ça est entourée de naïveté. De bonnes intentions qui ne se traduisent pas à l'écran.

     


    Il faut le voir pour : Dire à vos potes que vous n’avez pas besoin d’un gilet pare-balles pour aller à Marseille !

  • Bis

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    Ils se sont retrouvés à l'occasion d'un dîner dans la maison de campagne en Normandie et c'est une fin de soirée mélancolique pour nos potes Eric & Patrice (Fabian Wolfrom / Franck Dubosc & Antonin Chalon / Kad Merad). Alors qu'ils descendaient à la cave, ils font une chute brutale mais aussi extraordinaire puisqu'ils se réveillent nus et en 1986, quelques jours avant leurs résultats du bac. Cela paraît invraisemblable mais c'est une occasion unique pour Eric de revoir son Père (Gérard Darmon) tandis que Patrice se demande ce que deviendrait sa vie s'il n'avait pas épousé Caroline (Eden Ducourant / Alexandra Lamy) qu'il a justement rencontré à cette époque.

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    Dominique Farrugia à la baguette, Franck Dubosc et Kad Merad pour déclencher les rires ; on se disait que cette association ne pouvait échapper au succès. Au générique de fin de Bis, cette certitude a disparu pour laisser place à une belle déception. Déjà, on se montrera conciliant avec un scénario qui fait dans le recyclage et au dénouement écrit d'avance. Ça donne tout de même l'occasion de faire vibrer la fibre nostalgique de quelques spectateurs au détours de pubs télévisées, musiques ou produits emblématiques des années 1980. En dehors de la relation entre Eric et son père qui apporte un peu d'émotions, une comédie sans éclat qui ne tient pas ses promesses.

     

    Il faut le voir pour : Profiter de vos cheveux tant que vous le pouvez encore !

  • Fastlife

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    Enfant déjà il savait qu’il était destiné à briller. C’est d’ailleurs ce qu’a fait notre pote Franklin Ebagé (Thomas Ngijol) en remportant brillamment une médaille d’argent aux Jeux Olympiques. 7 ans plus tard, ce n’est plus vraiment la même histoire ; sa carrière est au point mort et on pourrait aller jusqu’à dire qu’elle est sur la pente descendante. Franklin tente bien de se relancer en cherchant à se qualifier pour les prochains Jeux Olympiques mais il semblerait qu’il n’ait plus vraiment le niveau. Comme si cela ne suffisait pas, Pauline (Karole Rocher) l’a mis à la porte car après lui avoir annoncé qu’elle attendait un enfant, elle a appris qu’il a mis enceinte une autre femme d’à peine 17 ans !

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    Entre 2 films avec son complice Fabrice Eboué, notre pote Thomas Ngijol joue ici cavalier seul signant sa 2nde réalisation avec Fastlife. Coté scénario, l’idée n’a rien de bien extraordinaire puisqu’on accompagne une pseudo-star de l’athlétisme dans sa chute avant la traditionnelle remise en question s’accompagnant d’un inévitable retour en grâce (enfin plus ou moins ici). On s’étonne quand même que le retour aux sources au Cameroun mette autant de temps à arriver et qu’il se résume en un jogging et à une nouvelle coupe de cheveux. Une comédie qui ne brille pas avec un humour qui n’arrive jamais à trouver son rythme, en toute humilité vous pouvez la zapper et le plus vite sera le mieux !

     

    Il faut le voir pour : Faire plus souvent des tomates farcies !

  • Fastlife

    Ce n'est pas de sa faute mais notre pote Thomas Ngijol est destiné à briller et jusqu'à présent tout allait bien pour lui mais les choses vont changer. Un retour aux sources et ça semble reparti pour lui et sa Fastlife !

    Date de sortie : 16 Juillet 2014.


  • Jamais le premier soir

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    Julie (Alexandra Lamy) est en pleine dépression ! C’est le résultat d’une rupture à laquelle elle ne s’attendait pas et ses potes d’enfance Louise & Rose (Mélanie Doutey & Julie Ferrier) essayent maintenant de la consoler. Peine perdue mais la jeune femme va se mettre à dévorer les livres et notamment le best-seller de Viktor Bells (Michel Vuillermoz) : Le bonheur c’est facile. Progressivement, Julie commence à remonter la pente en prônant la zen attitude et puis surtout elle fait beaucoup de rencontres à commencer par Marc (Jean-Paul Rouve) le libraire qui la fournit en livres mais il y a surtout le bel Ange (Grégory Fitoussi). Une question se pose quand même, est-elle réellement prête à se lancer dans une nouvelle histoire d’amour ?

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    Voilà une comédie féminine au casting plutôt sympathique puisque le trio d’héroïnes se compose d’Alexandra Lamy, Mélanie Doutey & Julie Ferrier. On avait donc un potentiel comique intéressant mais ce qui est bien dommage c’est qu’on en voit à aucun moment la couleur. Il y a bien ce passage au restaurant italien et le pétage de plomb de Julien Boisselier qui me fera esquisser un sourire mais rien de plus. Il y a aussi ce moment émouvant où le personnage de Rose se livre qui arrive toutefois comme un cheveu sur la soupe. Pour le reste, c’est assez flagrant de voir que Mélissa Drigeard signe sa première réalisation sur grand écran quand se cumulent incohérences, dialogues totalement creux et manque de rythme. Nous sommes d’accord sur le principe du Jamais le premier soir mais ni les autres soirs non plus !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais donner les clés de votre appartement !

  • Comme un chef

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    Parce que peu de gens comprennent la conception de la cuisine qu’a notre pote Jacky Bonnot (Michael Youn), celui-ci n’arrive pas à garder un job sur le long-terme. Pourtant, il va devoir faire preuve de plus de responsabilités puisqu’il va bientôt être père et qu’il a promis à sa compagne Béatrice (Raphaëlle Agogué) de ramener de l’argent à la maison. Seulement quand Alexandre Lagarde (Jean Reno), chef réputé du 3 étoiles le Cargo Lagarde, lui demande de devenir son second de cuisine, Jacky ne peut pas laisser une telle opportunité lui échapper. Sa venue va être une délivrance pour Alexandre car il est sur le point de recevoir la visite de critiques et une de ses étoiles est gravement menacée, s’il la perd il perd aussi la tête du restaurant.

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    Avec toutes ces émissions de cuisine qui émulsionnent actuellement le petit écran, il n’est pas vraiment surprenant que le cinéma veuille profiter de ce phénomène pour le mettre à sa sauce. Au menu ; une comédie à base d’un duo Reno / Youn hélas l’appétit des spectateurs ne risque pas d’être rassasié au vu des maigres portions de rires proposées. Comme un chef ne semble pas avoir trouvé la recette du succès puisque l’ensemble est assez plat et on n’a même pas la consolation d’offrir du plaisir à nos yeux ! Que ceux qui espéraient saliver devant de somptueux plats s’essuient la bouche car il n’y a rien de tout ça. Un film plus proche du plateau repas insipide que de la création gastronomique.

     

    Il faut le voir pour : Parler aux légumes que vous cuisinez !

  • Nuit blanche

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    Bien qu’ils aient préparé leur coup, nos potes Vincent & Manuel (Tomer Sisley & Laurent Stocker) ont du faire face à un imprévu mais au final ils ont réussi à piquer près de 10 kilos de cocaïne. Le seul problème c’est qu’on a reconnu Vincent et celui-ci reçoit vite un coup de fil de Marciano (Serge Riaboukine) qui veut récupérer sa came et qui a pour cela enlevé Thomas (Samy Seghir), le fils de Vincent. Sans hésiter, ce dernier décide d’aller rendre la drogue et il rejoint ainsi Le tarmac, une boite de nuit où la soirée s’annonce très longue. L’échange aurait pu se dérouler simplement mais le flic ripoux fait l’objet d’une enquête et dès lors rien ne va se passer comme prévu.

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    Notre pote Tomer Sisley troque le beau costume de milliardaire de Largo Winch pour celui d’un flic ripoux et ça donne un film assez plaisant. Nuit blanche nous invite à passer la soirée dans une boite, un huis-clos qui ne manque pas de rebondissements et de bonnes scènes d’action (incroyable tout ce qu’on peut faire dans une cuisine !) mais également avec un brin d’humour parfois trop répétitif. La nuit s’annonce donc plutôt bonne du moins dans la première heure, les derniers instants s’avèrent plus délicates pour le spectateur. Une désagréable impression de déjà-vu s’installe et fait s’envoler le plaisir qu’on avait jusqu’alors mais ça n’enlève rien au fait qu’on se laisse entrainer facilement dans l’aventure.

     

    Il faut le voir pour : Aller fouiller dans le plafond des toilettes des femmes, vous trouverez peut-être votre bonheur.

  • Gardiens de l'ordre

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    Fraichement muté sur Paris, Simon (Fred Testot) a vécu une première nuit très éprouvante. Ce CRS était en patrouille avec ses deux nouveaux collègues lorsqu'ils sont intervenus dans un appartement pour tapage nocturne. Au moment où ils se présentent à la porte, un jeune homme sous l'influence d'une nouvelle drogue ouvre le feu et abat froidement un des policiers. L'affaire est vite  étouffée car le suspect est fils d'un député mais Julie (Cécile De France) & Simon n'ont pas l'intention de cacher la vérité et vont devoir mener clandestinement leur propre enquête. Ils veulent savoir d'où vient cette nouvelle drogue et vont infiltrer un réseau à leurs risques et périls.

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    Plus connu pour ses rôles comiques Fred Testot se voit offrir un rôle beaucoup plus dramatique par Nicolas Boukhrief qui à l'époque déjà avait su donner sa chance à Jean Dujardin avec Convoyeurs. Pari réussi, Fred est excellent dans le rôle de ce flic et forme un duo convaincant avec Cécile De France le hic concerne le scénario. L'histoire est vraiment très banale donc pas très excitante et beaucoup trop prévisible pour qu'on ait envie de s'intéresser à Gardiens de l'ordre. Boisselier en méchant de service, ce n'est pas non plus l'idée du siècle ; de bonnes intentions mais un résultat vraiment décevant.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais avaler des pilules fluorescentes !

  • Les femmes de l'ombre

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    L’Europe durant la Seconde Guerre Mondiale. L’armée allemande continue son invasion, la résistance orchestrée par les forces alliées doit redoubler de vigilance. Alors que Louise (Sophie Marceau) a récemment perdu son époux ; elle se voit confier une mission d’une importance capitale sous l’autorité de son frère Pierre (Julien Boisselier). Avec une équipe composée de 4 autres femmes, elle a pour objectif de sauver un géologue anglais qui s’est fait passer pour un soldat allemand blessé. De cette mission dépend l’issue de cette guerre car cet homme effectuait les repérages d’un prochain débarquement des américains.

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    Après un début un peu dans l’esprit de Mission impossibleSophie Marceau part recruter ses équipières ; on se laisse vite séduire par l’histoire. Assez de ces films de guerre où seuls les hommes sont reconnus pour avoir remporté les batailles et place aux femmes et à leurs missions d’infiltration qui ont elles aussi leur rôle à jouer dans la capitulation allemande. Les femmes de l’ombre est un film dramatique définissant la bravoure des résistants et en l’occurrence des françaises qui ont participé activement à la libération. S’il est appauvri au niveau de l’action pure, le scénario est assez accrocheur pour passer 2h en charmante compagnie.

     

    Il faut le voir pour : Rendre hommage aux femmes qui ont contribué à la libération.

  • J’veux pas que tu t’en ailles

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    Sur son divan de psychiatre, Paul (Richard Berry) en a vu défiler de toutes les couleurs et quand il voit débarquer ce nouveau patient qu’est Raphaël (Julien Boisselier), il ne se doute pas qu’il est en train de traiter l’amant de sa femme. Il avait déjà quelques doutes car c’est vrai que sa relation avec Carla (Judith Godrèche) n’a plus la même intensité qu’avant mais il n’y prêtait pas plus d’attention que cela. C’est donc en faisant la thérapie de Raphael qu’il comprend alors ce que traverse sa femme et il est bien décidé à tout faire pour la reconquérir.

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    De prime abord, on ne peut s’empêcher de penser à Petites confidences (à ma psy) bien que les 2 films prennent des chemins bien différents au grand dam de cette comédie française. Si le film américain tirait tout son intérêt de l’interprétation dynamique de Meryl Streep, dans J’veux pas que tu t’en ailles aucun comédien ne parvient à insuffler un tant soit peu d’énergie. Pire, les échanges entre Boisselier & Berry paraissent interminables et condamne ce qui devait être une comédie en un fatras sentimental pour le moins ennuyeux.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus faire confiance à son psy.