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  • Les visiteurs - La Révolution

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    Pour nos potes Godefroy de Montmirail & Jacquouille la fripouille (Jean Reno & Christian Clavier), les voyages dans le temps sont loin d’être terminés ! Après le 20ème siècle, les voilà propulsés en 1793 où la Révolution française est en train de modeler une nouvelle société et ils doivent impérativement trouver un moyen de retourner à leur époque. Ils accumulent les ennuis puisqu’à peine arrivés, Godefroy et son fidèle valet sont pris pour des anglais et condamnés à la pendaison. Dans l’attente de leur exécution, ils vont faire la connaissance de Lorenzo Baldini (Ary Abittan) en compagnie duquel ils vont parvenir à prendre la fuite. Ils rejoignent alors Adélaïde de Montmirail (Karin Viard) qui est en train de prendre la fuite avec sa famille et tout ce beau monde va alors rejoindre Paris.

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    On ne pensait pas vraiment les revoir et pourtant 18 ans après Les visiteurs 2 : Les couloirs du temps, voilà que Godefroy & Jacquouille repointent le bout de leur nez. On retrouve également à leurs cotés Jean-Marie Poiré à la réalisation et on a envie de dire que rien n’a vraiment changé pas même les blagues. Les haleines fétides et l’odeur corporel de nos voyageurs du temps font toujours leurs effets, Clavier a l’occasion de se confronter à ses doubles et puis c’est à peu près tout ce que nous propose Les visiteurs - La Révolution. Les nouveaux visages comme Sylvie Testud, Karin Viard, Alex Lutz ou encore Franck Dubosc n’apportent strictement rien si ce n’est peut-être leurs noms à l’affiche mais évitons d’en faire une polémique ! Une fin ouverte laisse entrevoir un nouvel épisode mais qui en a réellement envie aujourd'hui ?

     


    Il faut le voir pour : Découvrir pourquoi on dit Hourra au lieu d'Hosanna !

     

    En savoir plus sur Les visiteurs ?

    En savoir plus sur Les visiteurs 2 : Les couloirs du temps ?

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  • Thérèse - Le Père Noël est une ordure

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    Thérèse : C'est fin, c'est très fin, ça se mange sans faim.

  • Les visiteurs

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    En l’an de grâce 1079, le Comte Godefroy de Montmirail (Jean Reno) vient de sauver la vie de son roi qui lui accorde ainsi le droit d’épouser Dame Frénégonde (Valérie Lemercier). C’est donc avec une certaine allégresse qu’il part retrouver sa bien-aimée mais la sorcière qu’il a capturée plus tôt va faire voler en éclat le bonheur qui lui tendait les bras. Empoisonné, le comte est victime d’hallucinations et pensant abattre un ours menaçant tue accidentellement le père de Frénégonde. Il doit alors faire appel au mage Eusebius (Pierre Vial) qui lui propose de remonter le temps et de dévier cette flèche mais une potion incomplète et Godefroy et son fidèle Jacquouille (Christian Clavier) se retrouvent propulsés en 1992 !!

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    Enorme succès lors de sa sortie en salles, Les visiteurs fait partie de ces comédies françaises que l’on prend toujours grand plaisir à revoir. Certes, techniquement on voit que le film de Jean-Marie Poiré vient lui aussi d’une autre époque mais l’essentiel réside dans son histoire originale et surtout ses succulents personnages. Entre Jean Reno, Christian Clavier et surtout une magnifique (et irremplaçable !) Valérie Lemercier avec son accent embourgeoisé ; le casting est un atout incontestable. Du rire, des répliques cultes, c’est assurément un incontournable et le seul regret c’est qu’on aura cherché à exploiter le succès de cet épisode à travers une suite peu inspirée et un remake américain tout simplement navrant.

     

    La scène culte à ne pas louper : Le bain de Godefroy & Jacquouille !

  • Fanny

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    Marius (Raphaël Personnaz) a embarqué sur La Malaisie et c’est un long voyage de 5 ans qui l’attend désormais. A Marseille, ses proches ont encore du mal à s’en remettre ; son père César (Daniel Auteuil) ne décolère pas d’avoir appris que son fils est parti comme un voleur tandis que Fanny (Victoire Belezy) est envahie de chagrin. Doucement, ils tentent de reprendre le cours de leur vie mais la jeune femme va de nouveau être bouleversée lorsqu’elle apprend qu’elle attend un enfant de Marius. Cette nouvelle tombe d’autant plus mal qu’Honoré Panisse (Jean-Pierre Darroussin) venait de renouveler sa demande en mariage auprès de la mère de Fanny.

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    Après La fille du puisatier, Daniel Auteuil continue de nous faire redécouvrir l’univers de Marcel Pagnol en adaptant La Trilogie Marseillaise avec ses 2 premiers volets Marius & Fanny. Les vedettes se nomment Victoire Belezy & Raphaël Personnaz et ça saute aux yeux, ils forment un magnifique couple à l’écran ce qui est déjà un bon point de départ. Pour le reste, on ne peut pas dire que le réalisateur français ait fait preuve d’audace puisque les 2 films sont d’un grand classicisme ce qui facilite en même temps le sentiment nostalgique qu’éprouveront certains spectateurs. Evidemment, ça n’enlève en rien à leurs qualités ; les seconds rôles sont savoureux (avec notamment un beau duo Chazel /Ascaride), les accents chantants et surtout les dialogues de Pagnol qui font toujours autant rire. Ne reste plus qu’à attendre la conclusion de tout ça avec César.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller votre femme enceinte, un accouchement à 7 mois de grossesse ça peut arriver !


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  • Marius

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    Marius (Raphaël Personnaz) travaille avec son père César (Daniel Auteuil) au Café de la marine mais le jeune homme rêve en secret de prendre un jour la mer. Grace à Piquoiseau (Rufus), il pourrait prochainement trouver une place à bord du voilier La Malaisie mais partir n’est pas si facile car il laisserait derrière lui la belle Fanny (Victoire Belezy). Véritable pote d’enfance, Marius a réellement pris conscience de ses sentiments pour elle lorsque celle-ci a annoncé qu’elle épouserait prochainement le vieux Panisse (Jean-Pierre Darroussin). Fou de jalousie, il fera tout pour l’en dissuader mais dans le même temps il ne peut pas révéler ce qu’il ressent vraiment car il garde au fond de lui l’espoir de prendre la mer.

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    Après La fille du puisatier, Daniel Auteuil continue de nous faire redécouvrir l’univers de Marcel Pagnol en adaptant La Trilogie Marseillaise avec ses 2 premiers volets Marius & Fanny. Les vedettes se nomment Victoire Belezy & Raphaël Personnaz et ça saute aux yeux, ils forment un magnifique couple à l’écran ce qui est déjà un bon point de départ. Pour le reste, on ne peut pas dire que le réalisateur français ait fait preuve d’audace puisque les 2 films sont d’un grand classicisme ce qui facilite en même temps le sentiment nostalgique qu’éprouveront certains spectateurs. Evidemment, ça n’enlève en rien à leurs qualités ; les seconds rôles sont savoureux (avec notamment un beau duo Chazel /Ascaride), les accents chantants et surtout les dialogues de Pagnol qui font toujours autant rire. Ne reste plus qu’à attendre la conclusion de tout ça avec César.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à caser 4/3 dans un verre !


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    Fanny ?

  • La vengeance d’une blonde

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    C’est l’heure des adieux pour Gérard Bréha (Christian Clavier) qui quitte la chaine régionale Télé Bretagne pour devenir membre de l’équipe de TV8. A la recherche d’un logement, c’est chez la mère de sa femme Corine (Marie-Anne Chazel) qu’ils se sont installés provisoirement avec leurs 2 enfants. Une nouvelle vie commence et la carrière de Gérard va vite s’envoler grâce notamment à l’intérêt que lui porte Marie-Ange de la Baume (Clémentine Célarié). Après un coup du sort, il va ainsi se retrouver présentateur vedette du journal télévisé ; son bagou séduit les téléspectateurs et les scores d’audience explosent. Le succès est là et lui fait même tourner la tête au point de délaisser sa famille mais gare car la vengeance d’une blonde peut être terrible !

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    Projet plutôt amusant que de nous dévoiler les coulisses d’une chaine de télévision, cela tourne cependant vite à la caricature facile à l’image d’un Thierry Lhermitte parfaitement façonné. La vengeance d’une blonde repose ensuite sur le trio Célarié/Chazel/ Clavier et la déception est toutefois de rigueur quand, au vu du titre, notre chère blonde règle ses comptes avec si peu de panache. Ce n’est pas non plus le faible niveau de l’humour affiché qui va nous donner plus de satisfaction. A la réalisation on retrouve Jeannot Szwarc que l’on connait très peu mais qui compte dans sa filmographie des Dents de la mer 2 ou encore Supergirl mais qui déroule ici une comédie sans grandes inspirations et devant laquelle on restera plutôt insensible.

  • Godefroy de Montmirail - Les visiteurs

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    Godefroy de Montmirail : Que trépasse si je faiblis !

  • Josette & Pierre - Le père Noël est une ordure

    01.jpgJosette : Hey monsieur Pierre ! Y’a un monsieur très malpoli qui a téléphoné, il voulait enculer Thérèse !
    Pierre : Oui mais c'est un ami !
    Josette : Ah bah ca va alors.

  • Les bronzés font du ski

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    Après des vacances idylliques au Club Med, c’est désormais à la montagne que Gigi, Nathalie, Christiane, Jérôme, Bernard, Jean-Claude & Popeye (Marie-Anne Chazel, Josiane Balasko, Dominique Lavanant, Christian Clavier, Gérard Jugnot, Michel Blanc & Thierry Lhermitte) ont décidé de se réunir. Au programme : descente des pistes, fondue entre potes d’enfance ou encore une excursion inoubliable. Si des couples se sont formés, Popeye traverse quelques difficultés avec sa femme mais ça il vous l’expliquera mieux que moi quant à Jean-Claude il est à deux doigts de conclure ce qui ne l’empêche pas de tenter sa chance avec tout ce qui se présente. Après tout sur un malentendu, ça peut marcher !

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    Au spectateur il suffira d’entendre les premières mesures du célèbre générique de Pierre Bachelet pour s’imaginer descendre les pistes de ski, travailler son planter de baton ou encore déguster un bon vin chaud ! Dans la foulée de leurs pitreries au Sénégal, on retrouve avec bonheur toute la troupe du Splendid aux sports d’hiver et on a droit à une énorme avalanche de fous rires.  La suite est un exercice périlleux d’autant plus quand il s’agit d’une comédie mais Les bronzés font du ski relève avec brio le défi voire même le surpasse. On adore le couple sans gêne Nathalie / Bernard, les leçons de séduction de Jean Claude Dusse sans oublier le pauvre Bruno qui s’en prend plein la tronche. Parce qu’on ne se lassera jamais de le revoir et qu’on connait toutes les répliques par cœur, un film qui nous survivra.

     

    La scène à ne pas louper : La dégustation de la Foune à l’étalée et de la liqueur d’échalote !


    En savoir plus sur Les bronzés ?

    En savoir plus sur Les bronzés 3 - Amis pour la vie ?


    Découvre la réplique culte de Bernard & Jean-Claude !!

    Découvre la réplique culte de Jean-Claude Dusse !!

    Découvre la 2ème réplique culte de Jean-Claude Dusse !!

    Découvre la 3ème réplique culte de Jean-Claude Dusse !!

    Découvre la réplique culte de Jean-Claude & Popeye !!

  • La fille du puisatier

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    Patricia (Astrid Berges-Frisbey) est une charmante jeune femme de 18 ans mais c’est également une fille remarquable. Lorsqu’elle n’apporte pas le déjeuner à son père le Puisatier (Daniel Auteuil), elle s’occupe de la maison et de ses 5 sœurs. En ce jour du 21 Avril où on célèbre sa fête, elle a fait la rencontre d’un homme dont elle apprendra qu’il s’agit de Jacques Mazel (Nicolas Duvauchelle), fils du bazar et aviateur. Entre eux deux c’est le coup de foudre mais à peine se sont-ils connus qu’ils doivent déjà se séparer ; Jacques a été appelé pour partir en Afrique. Il n’a pas le temps de prévenir Patricia mais charge sa mère (Sabine Azéma) de l’avertir.

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    Evoquer Marcel Pagnol dans le cinéma français c’est forcément penser à des films comme La gloire de mon père et Le château de ma mère qui ont jalonné notre jeunesse. Daniel Auteuil fait donc parler la fibre nostalgique pour séduire le spectateur et effectue ses premiers pas en tant que réalisateur. Après la version de Pagnol datant des années 1940 avec Raimu & Fernandel, il dépoussière son œuvre avec passion, un film dans son ensemble plutôt agréable à voir. Auteuil & Merad sont excellents dans leurs rôles, on est moins convaincu par les premières scènes hésitantes d'Astrid Berges-Frisbey et d’un Nicolas Duvauchelle peu crédible. Pour qui a envie d’entendre à nouveau le chant des cigales, voici le film idéal à voir en famille.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas laisser trainer vos filles avec des hommes en motocyclettes, ennuis garantis !