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adaptation

  • Annie

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    Abandonnée devant un commissariat de New York alors qu'elle n'avait que 4 ans, notre pote Annie (Quvenzhané Wallis) vit aujourd'hui sous la tutelle de la peu sympathique Mademoiselle Hannigan (Cameron Diaz). Au plus profond d'elle, cette petite fille reste persuadée qu'elle retrouvera ses parents et fait tout son possible en ce sens. Un jour, alors qu'Annie court à la rescousse d'un chient, elle est sauvée in-extremis d'un accident par Will Stacks (Jamie Foxx) qui se trouve être un candidat à la prochaine élection du Maire de la ville. Cet acte héroïque est vite relayé par les réseaux sociaux ce qui fait remonter à la hausse la popularité de Will qui en avait bien besoin.

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    C'est une comédie musicale qui a fait les belles heures de Broadway et qui a déjà eu droit à une adaptation ciné au début des années 1980. On nous livre une version plus moderne avec un casting riche et quelques guests (Rihanna, Michael J. Fox, Mila Kunis ...) ayant répondu à l'appel de producteurs de renom parmi lesquels Will Smith ou encore Jay-Z. Oui si on s’arrête là, on se dit qu'Annie pouvait être intéressant seulement quand ça ne pousse pas la chansonnette, ce film reste en travers de la gorge. En cause ; ce jeu volontairement grossier visant un public enfantin mais qui, disons le sans détour, finit par être insupportable. Enfin, il s'agit d'une impression très personnelle mais si la jeune Quvenzhané Wallis (la découverte de Les Bêtes du sud sauvage) possède une belle voix, son interprétation dans l'ensemble assez mécanique ne transmet aucune émotion.

     

    Il faut le voir pour : Montrer que c'est sympa de faire le ménage en chantant !

  • Cinquante nuances de Grey

    C'est peu dire que ce film est attendu après le succès qu'il a connu en librairie ! Il faudra donc prendre son mal en patience jusqu'à la prochaine Saint-Valentin pour découvrir l'adaptation de Cinquante nuances de Grey réunissant le couple Dakota Johnson / Jamie Dornan.

    Date de sortie : 11 Février 2015


  • Les yeux jaunes du crocodile

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    C’en est trop pour notre pote Joséphine (Julie Depardieu) qui a pris son courage à deux mains et qui a mis son mari Antoine (Samuel Le Bihan) à la porte. Ce dernier végétait à la maison depuis qu’il s’est retrouvé au chômage et puis surtout il entretient une relation avec une autre femme. Ce sera dur pour Joséphine de s’en sortir financièrement surtout avec ses 2 filles Hortense & Zoé (Alice Isaaz & Apollonia Luisetti) mais cette chercheuse au CNRS a de l’énergie à revendre. De son coté, sa sœur Iris (Emmanuelle Béart) a une vie bien plus confortable mais semble s’ennuyer. Quand elle annonce qu’elle veut écrire un livre, beaucoup se montre incrédules surtout lorsque cela évoque le destin d’une femme marchande du XIIème siècle. Un sujet que connait particulièrement bien sa sœur ce qui lui donne une drôle d’idée.

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    Adaptation du roman homonyme de Katherine Pancol, Les yeux jaunes du crocodile se pare déjà d’une belle distribution féminine. Outre le duo Depardieu / Béart, on est aussi sous le charme d’Alice Isaaz & Edith Scob  dans un rôle certes plus caricatural. L’histoire de ces 2 sœurs est plutôt intense mais curieusement pas assez développé et plus précisément dans leurs rapports qu’elles entretenaient avec leurs parents durant leur enfance. Un aspect trop vite balayé alors que dans le même temps, on ne comprend pas trop ce que vient faire le couple Karole Rocher / Jacques Weber dans tout ça. Coté réalisation, on ne peut pas dire que Cécile Telerman fasse de vraies merveilles, c’est assez banal et le pompon reste tout de même ce baiser échangé sous une belle pluie de neige carbonique.

     

    Il faut le voir pour : Savoir ce qu’il vous reste à faire si vous voulez qu’on vous embrasse lors d’un rendez-vous mesdemoiselles !

  • Divergente

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    Il y a 100 ans, une grande guerre éclata laissant un monde en ruines. A l’heure de la reconstruction, l’organisation de la société fut radicalement changée puisque la population se divise désormais en 5 factions. Les Erudits, les Audacieux, les Altruistes, les Sincères et les Fraternels sont ainsi les groupes destinés à préserver la paix. Pour déterminer son groupe, un test est effectué et c’est le grand jour pour nos potes Béatrice & Caleb Prior (Shailene Woodley & Ansel Elgort). Les résultats de ce test n’ont rien de définitif puisqu’au final chacun choisira son propre groupe mais tout semble indiquer que Béatrice possède des dons exceptionnels qui font d’elle une Divergente.

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    Voilà de quoi apporter un peu de concurrence à Hunger Games, Divergente est également l’adaptation d’une série de romans à succès signés Veronica Roth. Pas mal de points communs entre les 2 sagas ; on est plongé dans un monde futuriste pas très rose avec une héroïne qui va venir bouleverser les choses et bien sur (attention gros spoiler) une belle romance. Visant un public jeune, le film de Neil Burger devrait toucher sans mal sa cible mais difficile de ne pas souligner une histoire peu surprenante et des scènes d’action peu spectaculaires (le must étant un jeu de guerre). Espérons que ça bougera un peu plus dans les suites à venir.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à sauter d’un train si vous voulez devenir un Audacieux !

     

    En savoir plus sur Divergente 2 : L'insurrection ?

  • Ken le survivant

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    La Terre est devenue un champ de ruines et la survie est un combat quotidien. Dans cet enfer, Lord Shin (Costas Mandylor) s’est proclamé Maitre du monde et impose sa loi, il est l’héritier de l’école d’arts martiaux de la Croix du Sud. Le peuple opprimé garde toutefois l’espoir qu’un sauveur viendra les délivrer, ils sont persuadés que celui qu’on le nomme le Chevalier de Vega ramènera un jour la paix. Un homme marche seul dans le désert, sa poitrine arbore 7 cicatrices laissées par Lord Shin qui fut auparavant son pote d’enfance mais qui lui a arraché son grand amour Julia (Isako Washio). Il s’appelle Kenshiro (Gary Daniels) et son destin est de sauver l’humanité.

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    Souvenirs, souvenirs ; Ken le survivant a marqué toute une génération de téléspectateurs que ce soit pour sa grande violence ou par ses dialogues extravagants. En 1995, le manga de Buronson & Tetsuo Hara prend soudainement vie mais ce sont les américains qui se chargent de cette adaptation en film live qui restera aussi dans nos mémoires pour ses qualités plus que douteuses. Acteurs catastrophiques, réalisation affreuse, décors dignes d’une décharge publique non vraiment c’est un beau navet. On saluera tout de même la volonté de vouloir rester fidèle à l’œuvre originale en faisant exploser les têtes ou en faisant jaillir l’hémoglobine mais c’est bien trop édulcoré pour convaincre les fans de la première heure. Un film à offrir à vos pires ennemis et encore mieux s’ils apprécient le manga !

  • Kick-Ass 2

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    Qui l’eût crut, l’apparition du héros Kick-Ass semble avoir fait des émules puisque les rues de New York sont désormais surveillées par de nombreux justiciers masqués. Notre pote Dave Lizewski (Aaron Johnson) a encore du mal à y croire d’autant plus qu’il va rejoindre un groupe nommé Justice Forever. Au même moment, Chris D’Amico (Christopher Mintz-Plasse) ne digère pas le fait d’avoir perdu son père explosé au bazooka et fomente un plan pour assouvir sa vengeance. Celui qui s’est fait connaitre sous le pseudonyme de Red Mist se fait désormais appeler Motherfucker et recrute les plus grands tueurs pour partir à la chasse de Kick-Ass !

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    Après un premier volet plutôt réussi, les fans du comics crée par le tandem Mark Millar & John Romita Jr. (publié chez nous chez Panini Comics si ça vous intéresse) attendaient de pied ferme le retour du pas si super héros. On se montre d’abord enthousiastes à retrouver Kick-Ass et l’incontournable Hit Girl dans leurs nouvelles aventures mais au fil des minutes c’est une certaine monotonie qui vient s’installer. Bien sur il y a quelques scènes d’action pas avares en hémoglobine et des moments plus "funs" mais ce qu’il en ressort c’est qu’on fait plus dans la surenchère qu’autre chose. A l’instar du premier épisode, Kick-Ass 2 est une adaptation bien trop sage (il est passé où le final à Times Square ?) pour nous emballer totalement.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de croiser le "Sick stick" !


    En savoir plus sur Kick-Ass ?

  • Thérèse Desqueyroux

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    Le mariage pour Thérèse (Audrey Tautou) est davantage une affaire de propriété que d’amour. Elle ne s’en cache pas et l’a d’ailleurs avoué à son futur mari Bernard Desqueyroux (Gilles Lellouche) qui est également le grand frère de sa meilleure pote d’enfance Anne (Anaïs Demoustier). Lorsque cette dernière fait la connaissance de Jean Azevedo (Stanley Weber), elle en tombe éperdument amoureuse, une relation mal vue au sein de sa famille. Il n’y a qu’auprès de Thérèse qu’elle trouve une oreille attentive du moins le pense-t-elle car en réalité elle agit de connivence avec sa belle-famille motivée par une certaine jalousie.

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    Ce que l’on retiendra avant tout avec Thérèse Desqueyroux, c’est qu’il s’agit de l’ultime œuvre cinématographique de Claude Miller. Hormis cela, il faut bien se résoudre à l’idée que cette adaptation du roman de François Mauriac ne nous laissera pas un grand souvenir malgré les bonnes volontés de ses comédiens. On aime bien Tautou & Lellouche mais on est loin de leurs plus grands rôles en tout cas ils se fondent dans le moule d’une réalisation classique, beaucoup trop pour espérer rendre le destin de cette femme un tant soit peu passionnante. Pas grand-chose à retenir de ce film donc qui ne parvient à aucun moment à enflammer le cœur des spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais laisser votre femme préparer vos gouttes !

  • Resident Evil : Retribution

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    Verra-t-elle un jour la fin de ce cauchemar ? Notre pote Alice (Milla Jovovich) se retrouve de nouveau prisonnière d’Umbrella Corporation et sans une aide providentielle, elle le serait encore à l’heure actuelle. Quelqu’un a provoqué une panne de système ce qui lui a permis de s’échapper et elle va rapidement découvrir l’identité de son sauveur. Il s’agit de Wesker (Shawn Roberts) et il a besoin d’Alice car celle-ci possède une arme capable de sauver l’humanité entière ; encore faut-il qu’elle puisse s’échapper de ce complexe. Non content de recevoir l’appui d’Ada Wong (Bingbing Li), une équipe est également envoyée à sa rescousse.  Bien entendu, la Reine rouge ne va pas rester les bras croisés et lance à leur poursuite une Jill Valentine (Sienna Guillory) toujours possédée.

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    On reste dans la continuité que ce soit au niveau du scénario ou dans la réalisation ; les films se suivent et se ressemblent si bien que sans qu’on s’en rende compte on atteint déjà le 5ème volet. Pour les nouveaux venus, vous aurez droit à un petit résumé afin de mieux profiter de Resident Evil : Retribution. Ca fait longtemps que la saga a perdu toute notion d’intrigue et cet épisode en est un flagrant exemple où l’on se contente de nous asséner des scènes d’action. La formule avait plus ou moins bien marché dans les 2 volets précédents mais ici ça commence sérieusement à s’essouffler. Reprenant quelques séquences introduites précédemment, on a même l’impression que Paul W.S. Anderson nous sert un best of -attendez le terme de pot pourri est plus approprié- remixé avant sa future conclusion. Et oui suite et fin au prochain épisode. Ça sent l’argent facile tout ça !

     

    Il faut le voir pour : S’offrir un tour du monde en quelques minutes.


    En savoir plus sur Resident Evil Afterlife ?

    En savoir plus sur Resident Evil Retribution ?

  • Jane Eyre

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    C’est devant la porte de sa demeure que notre pote St. John Rivers (Jamie Bell) a trouvé cette femme complètement hagarde et désemparée. Elle s’appelle Jane Eyre (Amelia Clarkson / Mia Wasikowska) et vient de vivre un énorme choc, elle qui n’a pas été épargnée par les malheurs. Orpheline, elle fut élevée par sa tante Mme Reed (Sally Hawkins), une femme qui ne la porta jamais dans son cœur allant jusqu’à l’envoyer à l’internat de Lowood pour s’en débarrasser. Des années plus tard, Jane s’est trouvé une place en tant que gouvernante à Thornfield-Hall où elle s’occupera de la petite Adèle (Romy Settbon Moore) et c’est aussi là qu’elle allait rencontrer l’amour. Cet homme n’est autre que le maitre des lieux ; Edward Rochester (Michael Fassbender), une relation à priori improbable et pourtant …

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    Soyons honnête, Jane Eyre je connais de nom mais je ne connais ni le roman de Charlotte Brontë ni les nombreuses adaptations ; je me disais que ce n’était pas trop ma came. Les miracles existent parfois mais en l’occurrence ce film de Cary Fukunaga (auteur du passionnant Sin nombre) ne fait que confirmer mon ressenti bien qu’ayant apprécié à sa juste valeur le couple Mia Wasikowska /Fassbender. Tout le monde ne peut pas être touché par ce scénario assez fleur bleue d’autant plus que cela s’accompagne d’une réalisation étonnamment sobre mais pas dans le meilleur sens du terme. Les spectateurs qui connaissent sur le bout des doigts le livre se jetteront certainement dessus, les autres risquent de trouver le temps souvent long.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas hésiter à dire à certaines petites filles qu’elles n’ont pas le talent pour chanter !

  • The Dark Knight Rises

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    Les années passent mais personne à Gotham City n’a oublié l’héroïsme du procureur Harvey Dent disparu il y a 8 ans maintenant. La criminalité dans la ville n’est désormais plus qu’un vague souvenir et Batman semble s’être retiré tout comme son alter-ego Bruce Wayne (Christian Bale) devenu un vrai fantôme. Le justicier devra pourtant reprendre du service car Gotham est en proie aux actions d’un dangereux terroriste appelé Bane (Tom Hardy) mais est-il encore capable de protéger sa ville ? Pendant ce temps, une certaine Selina Kyle (Anne Hathaway) s’est introduite dans son manoir afin de dérober un objet précieux ; le commanditaire de ce vol a en effet pour objectif d’anéantir l’empire de Wayne.

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    Après un 2nd épisode aussi immense, le défi était de taille pour Christopher Nolan de conclure comme il se doit sa trilogie hélas nos attentes ont peut-être été trop grandes. Attention, s’il s’agit d’un bon Batman, le film n’arrive pas à s’élever outre mesure du fait d’un scénario assez basique. La révolution menée par Bane est un pétard mouillé et même si le colosse est impressionnant, il n’a pas l’envergure nécessaire pour marquer nos esprits comme l’avait fait le Joker. Il y avait des doutes également sur Catwoman et s’il n’y a pas grand-chose à dire sur son interprète, sa présence dans The Dark Knight Rises n’apporte strictement rien. Un final qui s’achève en demi-teinte mais il aura réussi au moins à réhabiliter le héros et offert aux adaptations de comics une autre dimension auprès des spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu'aucun coffre n'est inviolable !



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